Hanoi : Tuấn Ben Mohamed Bensaïd est un marocain de sang, souffrant de pauvreté et de maladie grave dans un Vietnam encore bastion communiste où une large partie de la population est en presque abandon dans des villages forestiers insalubres et sans eau.
Tuân Ben Mohamed Bensaid - PH Lao Dong
Le média vietnamien Lao Dong a réalisé un reportage écrit, sur un jeune homme marocain née en 1961, du mariage d’un soldat marocain,Mohamed ben Said, qui combattait au Vietnam, avec une femme vietnamienne.
De leur union, est né Tuấn, membre d’une fratrie de trois enfants. Ses deux frères sont morts jeunes detyphoïdes. Cette maladie dangereuse l’avait atteint lui aussi, sauf qu’il n’en avait pas mourut, mais elle lui a laissé des séquelles graves. L’ayant atteint à ses méninges, le jeune Tuân a été atteint de paralysie aux membres inférieurs, perdant ainsi, dés son enfance, l’usage de ses deux jambes.
Selon le média vietnamien, Tuän, son père marocain et sa mère vietnamienne, avaient été contraints par les autorités du pays, à vivre dans un centre rural érigé par le gouvernement, pour accueillir les ressortissants africains mariés à des vietnamiennes. Il s’agit d’exploitations agricoles pour africains, dirigées sur le modèle des ancienskolkhozes soviétiques.
Tuân grandit dans un environnement empreint de pauvreté. Hormis son handicap, il put se marier en1994 et avoir des enfants, sauf que ceux-ci, dés qu'ils ont grandi, l'ont abandonnè, de même fut pour son épouse qui l'a plaqué pour aller s’impliquer dans des trafics illicites transfrontaliers avec la Chine. Actuellement, le jeune homme marocain, vit seul, et se nourrit grâce à la générosité de ses voisins.
De là oû il est, pour Tuân le Maroc est si loin. Il n’avait de liens avec le pays de son père, que les traits de son visage qui le rendent très visible et très distingué du reste de sa communauté villageoise vietnamienne. Et puis il y avait les récits de son vieux père, mort il y peu de temps, qui lui racontait que sa famille restée au Maroc était composée d’oncles policiers, douaniers et instituteurs.
A noter que nombreux sont les soldats marocains qui avaient été expédiés pour combattre au Vietnam, 'L’Indochine selon la dénomination coloniale française', dans les années 50. Nombreux parmi eux qui y sont restés, ils avaient pris femmes ou avaient rejoint les rangs de la résistance de Ho Chi Minh.
Tuân Ben Mohamed Bensaid - PH Lao Dong
Le média vietnamien Lao Dong a réalisé un reportage écrit, sur un jeune homme marocain née en 1961, du mariage d’un soldat marocain,Mohamed ben Said, qui combattait au Vietnam, avec une femme vietnamienne.
De leur union, est né Tuấn, membre d’une fratrie de trois enfants. Ses deux frères sont morts jeunes detyphoïdes. Cette maladie dangereuse l’avait atteint lui aussi, sauf qu’il n’en avait pas mourut, mais elle lui a laissé des séquelles graves. L’ayant atteint à ses méninges, le jeune Tuân a été atteint de paralysie aux membres inférieurs, perdant ainsi, dés son enfance, l’usage de ses deux jambes.
Selon le média vietnamien, Tuän, son père marocain et sa mère vietnamienne, avaient été contraints par les autorités du pays, à vivre dans un centre rural érigé par le gouvernement, pour accueillir les ressortissants africains mariés à des vietnamiennes. Il s’agit d’exploitations agricoles pour africains, dirigées sur le modèle des ancienskolkhozes soviétiques.
Tuân grandit dans un environnement empreint de pauvreté. Hormis son handicap, il put se marier en1994 et avoir des enfants, sauf que ceux-ci, dés qu'ils ont grandi, l'ont abandonnè, de même fut pour son épouse qui l'a plaqué pour aller s’impliquer dans des trafics illicites transfrontaliers avec la Chine. Actuellement, le jeune homme marocain, vit seul, et se nourrit grâce à la générosité de ses voisins.
De là oû il est, pour Tuân le Maroc est si loin. Il n’avait de liens avec le pays de son père, que les traits de son visage qui le rendent très visible et très distingué du reste de sa communauté villageoise vietnamienne. Et puis il y avait les récits de son vieux père, mort il y peu de temps, qui lui racontait que sa famille restée au Maroc était composée d’oncles policiers, douaniers et instituteurs.
A noter que nombreux sont les soldats marocains qui avaient été expédiés pour combattre au Vietnam, 'L’Indochine selon la dénomination coloniale française', dans les années 50. Nombreux parmi eux qui y sont restés, ils avaient pris femmes ou avaient rejoint les rangs de la résistance de Ho Chi Minh.