L'écotourisme, pour la préservation de la nature

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Tharbat

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L’Association marocaine pour l’écotourisme et la protection de la nature (AMEPN) a organisé le 27 septembre à Ifrane un séminaire régional de lancement du projet de valorisation écotouristique de la biodiversité piscicole et aquacole pour la contribution à la préservation des ressources en eau au Parc national d’Ifrane. Organisé sur le thème «le Parc national d’Ifrane, vers une génération de conciliation de la conservation de la biodiversité et du développement économique et social», ce séminaire a été l’occasion de présenter le projet à tous les acteurs locaux et régionaux et de mettre en exergue les axes de complémentarité et les secteurs de coopération pour une meilleure intervention au niveau du Parc national d’Ifrane.

Créé en 2004, le Parc national d’Ifrane s’étend sur une superficie de 125 000 ha. Considéré comme patrimoine mondial par l’Unesco, il dispose d’une importante richesse floristique et végétale. En effet, ce parc abrite sur 50 000 hectares la plus grande forêt de cèdres du Maroc et du monde. Il recèle également une grande richesse animale, avec de nombreuses espèces de mammifères, dont d’importantes populations de macaques, plus de 140 espèces d’oiseaux, dont certains rapaces rares ou menacés et une trentaine d’espèces d’amphibiens et de reptiles.
 

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Les missions de l'Association marocaine pour l’écotourisme et la protection de la nature
ONG nationale créée en 1997, l’Association marocaine pour l’écotourisme et la protection de la nature (AMEPN) œuvre pour promouvoir l'écotourisme en tant que moyen de conservation de la nature et alternative à la surexploitation des ressources naturelles. L’AMEPN a également comme missions de contribuer à la valorisation du patrimoine écologique national, de la biodiversité marocaine et de la diversité des paysages naturels, renforcer les capacités des opérateurs locaux en matière de promotion d'un écotourisme de qualité, contribuer au développement économique et social des populations locales et promouvoir les codes de bonnes conduites, au sein des milieux naturels, pour mieux préserver la nature et les traditions locales.
À noter que la création du premier écomusée relatif à une forêt au Maroc, celui de la forêt de la Maâmora, est l’une des réalisations de l’AMEPN.

, LE MATIN
 
C'est bien et beau notre pays et patrimoine
mais c'est douloureux qu'on on voit l'anarchie de ses émirs du golf hors de la loi
qui construisent des châteaux et dégrade le paysages de quelques endroits
j'en ai vu à la sortie d'Azrou en direction d'Ifrane
 
Ecotourisme ?? Mais déjà qu'on éduque les gens au Maroc à respecer leur propore lieu de vie, plutôt que de balancer leur déchets n'import où, certains coins sont des décharges à ciel ouvert, jonchés de sacs plastic....
Evidemment il faut protéger les magnifiques endroits donc le maroc recèle du tourisme de masse.
 
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