En m'intéressant à l'ego en général et à l'ego spirituel en particulier, je suis tombée sur un texte très intéressant, j'en publie seulement une partie mais je conseille vivement de lire le texte en entier, ça permet de se remettre en question un peu, beaucoup même.
En termes religieux, l’ego spirituel, ce sera « le bon chrétien », ou « le bon musulman », face à ces misérables « païens », ces « infidèles » etc. L’ego entretien la dualité. L’ego spirituel est un poseur qui aime à se parer de belles phrases, à citer les sages, et même à arborer les attributs extérieurs d’une vie spirituelle. Quitte à porter le costume du moine quand on n’a pas en réalité la véritable simplicité intérieure, l’humilité la plus profonde et le vrai sens du Sacré. L’habit ne fait pas le moine. L’ego n’existe que par rapport à un autre ego, c’est entendu. Ici, la question devient très complexe, car la culture éthique donne les moyens de déguiser dans l’altruisme le désir de reconnaissance dont l’ego a besoin pour perdurer de manière inchangée. Le terrain est donc délicat et il importe au plus haut point de ne pas relâcher la lucidité. Dans toute initiative consciente se pose la question : « dans quel état d’esprit est-ce que je fais cela ? » Ou encore : « quelles sont mes motivations ?»
http://www.philosophie-spiritualite.com/cours/sujet3.htm
En termes religieux, l’ego spirituel, ce sera « le bon chrétien », ou « le bon musulman », face à ces misérables « païens », ces « infidèles » etc. L’ego entretien la dualité. L’ego spirituel est un poseur qui aime à se parer de belles phrases, à citer les sages, et même à arborer les attributs extérieurs d’une vie spirituelle. Quitte à porter le costume du moine quand on n’a pas en réalité la véritable simplicité intérieure, l’humilité la plus profonde et le vrai sens du Sacré. L’habit ne fait pas le moine. L’ego n’existe que par rapport à un autre ego, c’est entendu. Ici, la question devient très complexe, car la culture éthique donne les moyens de déguiser dans l’altruisme le désir de reconnaissance dont l’ego a besoin pour perdurer de manière inchangée. Le terrain est donc délicat et il importe au plus haut point de ne pas relâcher la lucidité. Dans toute initiative consciente se pose la question : « dans quel état d’esprit est-ce que je fais cela ? » Ou encore : « quelles sont mes motivations ?»
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