Et si on suivait l'élection américaine sur Bladi ? Il y a qq américains et américanophiles apparemment.
Les EUA étant un allier important du Royaume du Maroc (les récents contrats militaires en attestent). En effet, c'est sous l'impulsion de Donald Trump (et son très influent gendre sioniste Jared Kuchner), qui remonte dans les sondages, que le Maroc a signé les accords d'Abraham consacrant la reconnaissance de l'état hébreux pour, en contrepartie, appuyer la marocanité du sahara occidental puis signer tout un tas d'accords commerciaux, militaires, stratégiques avec l'état hébreux.
Pourtant, Trump, candidat proche des suprématistes dont le plus célèbre est Elon Musk, n'était pas en odeur de sainteté avec le royaume chérifien dit-on. Le Maroc lui paraissait lointain mais c'était sans compter sur les relais puissants et notamment par l'entremise de la communauté juive sépharade. Le Maroc étant l'un des tous premiers partenaires des EUA sur le continent africain. Sa coopération en matière de sécurité est régulièrement saluée par le Pentagone et de département d'Etat américain. Le voisin algérien étant définitivement (du moins pour longtemps) mis sur la touche, y compris par la France qui s'est alignée sur les positions étasuniennes dans le sillon de l'Allemagne, l'Espagne, tous membres de l'OTAN dont le Maroc est quasi membre de facto tant les liens sont ténus. L'Algérie, un voisin obsédé par son accès à l'Atlantique pour mieux se dédouaner de la mainmise de l'armée ultra puissante qui place à sa tête un président fantoche tout acquis à sa cause et débranchable sur demande.
Revenons à cette élection sur laquelle le sort des EUA pourrait basculer si le camp rouge perdait tant il se sent assuré de sa victoire.
Donald Trump remonte dans les sondages (ses outrances verbales n'y font rien et il plaît avec son discours MAGA et limite beauf) face à une Kamala Harris qui a du mal à imprimer avec ses tailleurs aux couleurs hasardeuses. Beaucoup ne retiennent quasiment rien d'elle en tant que vice présidente et essentiellement ses rires excessifs dont sa posture de procureure dont elle a du mal à se défaire. Dans un récent poll, Trump est donné gagnant dans les 7 swing states (états pivots/bascule). Un autre le met en tête dans 5 des 7 swing states. C'est mal parti pour le camp démocrate bleu.
Et pourtant, la candidate démocrate a eu le soutien d'une bonne partie du show biz dont la très en vogue Taylor Swift, a eu un anniversaire sur mesure sous les chants du Stevie Wonder et a été adoubée par l'influent couple Obama qui se mobilise pour qu'elle obtienne les financements gigantesques - mais cruciaux -, au pays du fric décomplexé (605 millions $ pour la dernière campagne d'Obama). L'élection américaine étant gourmande en $$$$$ dont la jamaïco-indienne manquait cruellement, remplaçant, sur le fait accompli un Jo(seph) Biden, en plein déclin cognitif et débranché in extremis pour sauver le Deep State.
A suivre ...
Les EUA étant un allier important du Royaume du Maroc (les récents contrats militaires en attestent). En effet, c'est sous l'impulsion de Donald Trump (et son très influent gendre sioniste Jared Kuchner), qui remonte dans les sondages, que le Maroc a signé les accords d'Abraham consacrant la reconnaissance de l'état hébreux pour, en contrepartie, appuyer la marocanité du sahara occidental puis signer tout un tas d'accords commerciaux, militaires, stratégiques avec l'état hébreux.
Pourtant, Trump, candidat proche des suprématistes dont le plus célèbre est Elon Musk, n'était pas en odeur de sainteté avec le royaume chérifien dit-on. Le Maroc lui paraissait lointain mais c'était sans compter sur les relais puissants et notamment par l'entremise de la communauté juive sépharade. Le Maroc étant l'un des tous premiers partenaires des EUA sur le continent africain. Sa coopération en matière de sécurité est régulièrement saluée par le Pentagone et de département d'Etat américain. Le voisin algérien étant définitivement (du moins pour longtemps) mis sur la touche, y compris par la France qui s'est alignée sur les positions étasuniennes dans le sillon de l'Allemagne, l'Espagne, tous membres de l'OTAN dont le Maroc est quasi membre de facto tant les liens sont ténus. L'Algérie, un voisin obsédé par son accès à l'Atlantique pour mieux se dédouaner de la mainmise de l'armée ultra puissante qui place à sa tête un président fantoche tout acquis à sa cause et débranchable sur demande.
Revenons à cette élection sur laquelle le sort des EUA pourrait basculer si le camp rouge perdait tant il se sent assuré de sa victoire.
Donald Trump remonte dans les sondages (ses outrances verbales n'y font rien et il plaît avec son discours MAGA et limite beauf) face à une Kamala Harris qui a du mal à imprimer avec ses tailleurs aux couleurs hasardeuses. Beaucoup ne retiennent quasiment rien d'elle en tant que vice présidente et essentiellement ses rires excessifs dont sa posture de procureure dont elle a du mal à se défaire. Dans un récent poll, Trump est donné gagnant dans les 7 swing states (états pivots/bascule). Un autre le met en tête dans 5 des 7 swing states. C'est mal parti pour le camp démocrate bleu.
Et pourtant, la candidate démocrate a eu le soutien d'une bonne partie du show biz dont la très en vogue Taylor Swift, a eu un anniversaire sur mesure sous les chants du Stevie Wonder et a été adoubée par l'influent couple Obama qui se mobilise pour qu'elle obtienne les financements gigantesques - mais cruciaux -, au pays du fric décomplexé (605 millions $ pour la dernière campagne d'Obama). L'élection américaine étant gourmande en $$$$$ dont la jamaïco-indienne manquait cruellement, remplaçant, sur le fait accompli un Jo(seph) Biden, en plein déclin cognitif et débranché in extremis pour sauver le Deep State.
A suivre ...