Sous peine d’avoir de mauvaises notes, les lycéens devaient satisfaire cette enseignante
Décidément, l’habit ne fait pas le moine, et ce n’est pas parce que quelqu’un exerce un métier noble qu’il est également un saint. Ce qui est justement le cas de cette enseignante d’une école secondaire (dont on taira le nom) située à Medellín, en Colombie.
Pour résumer les faits, cette enseignante obligeait ses élèves à avoir des relations avec elle sous peine d’avoir de mauvaises notes ou même de ne pas passer en classe supérieure !
Cependant, elle se servait ensuite de ces contacts et notamment de WhatsApp Messenger pour envoyer à ces adolescents des photos et des invitations on ne peut plus explicites !
elle ne couvrait que ses parties avec ses mains ou des peluches…
La professeure de 40 ans aurait par la suite invité les adolescents à son appartement où elle les aurait forcés à se livrer à des actes en leur menaçant de les faire couler dans leurs études s’ils refusaient !
Arrêtée et placée en prison, cette enseignante fait maintenant face à de lourdes peines allant jusqu’à 40 ans d’emprisonnement ferme. Évidemment, dès que son mari a découvert ses agissements, il a immédiatement demandé le divorce !
Décidément, l’habit ne fait pas le moine, et ce n’est pas parce que quelqu’un exerce un métier noble qu’il est également un saint. Ce qui est justement le cas de cette enseignante d’une école secondaire (dont on taira le nom) située à Medellín, en Colombie.
Pour résumer les faits, cette enseignante obligeait ses élèves à avoir des relations avec elle sous peine d’avoir de mauvaises notes ou même de ne pas passer en classe supérieure !
Cette professeure proposait à ses élèves de les aider…
Selon Canal 4, les faits se seraient produits entre janvier et avril 2016. Cette professeure prénommée Yokasta M choisissait des victimes âgées de 16 à 17 ans dans les classes où elle enseignait. Elle commence par leur demander leurs contacts personnels (numéro de téléphone, réseaux sociaux, etc.) sous prétexte de les « aider dans leurs études ».Cependant, elle se servait ensuite de ces contacts et notamment de WhatsApp Messenger pour envoyer à ces adolescents des photos et des invitations on ne peut plus explicites !
Du désir d’aider aux propositions indécentes :
En effet, d’après les photos partagées par ces étudiants (après que l’affaire ait éclaté), Yokasta M posait généralement en sous-vêtements ou en bikini, et parfois,elle ne couvrait que ses parties avec ses mains ou des peluches…
La professeure de 40 ans aurait par la suite invité les adolescents à son appartement où elle les aurait forcés à se livrer à des actes en leur menaçant de les faire couler dans leurs études s’ils refusaient !
Pris la main dans le sac !
C’est le parent d’une de ses victimes qui a finalement découvert le pot aux roses en fouillant dans le portable de son fils. Ce père de famille y découvrira alors des photos de la professeure et n’hésitera pas à la traîner en justice.Arrêtée et placée en prison, cette enseignante fait maintenant face à de lourdes peines allant jusqu’à 40 ans d’emprisonnement ferme. Évidemment, dès que son mari a découvert ses agissements, il a immédiatement demandé le divorce !
Le buzz
Ce n’est qu’après son arrestation que les élèves ont partagé ces clichés sur internet avec en légende : « Voici l’enseignante Yokasta. Elle nous a dit qu’elle nous ferait couler si nous n’avons pas de relations avec elle. » Depuis, cette histoire est devenue virale en Amérique du Sud et a déclenché de nombreuses réactions allant de l’indignation aux blagues sur le fait que les adolescents « ne se plaignaient probablement pas »…L’enseignante oblige ses élèves à coucher avec elle pour obtenir de bonnes notes
Sous peine d’avoir de mauvaises notes, les lycéens devaient satisfaire cette enseignante
lescrieursduweb.com