Les accusations de crimes de guerre énervent Israël

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Casablanca d'antan
VIB
jeudi 5 février 2009 - 07h:03

Joshua Mitnick
The Christian Science Monitor

Après la guerre de Gaza, Israël prépare sa défense et celle de ses soldats contre les accusations de crimes à craindre devant les tribunaux européens qui disposent de « la compétence universelle ».

Il y a trois ans et demi, le général de réserve israélien, Doron Almog, était contraint de quitter la Grande-Bretagne, dès son atterrissage à Londres. Il avait été prévenu qu’un mandat d’arrêt inattendu avait été délivré contre lui par un tribunal de police britannique. Chef d’accusation : crimes de guerre.

Aujourd’hui, et alors que la récente guerre de Gaza suscite nombre d’accusations pour infractions, l’Etat juif et les avocats internationaux pour les droits humains se préparent pour les affaires criminelles potentielles contre les officiers et les dirigeants politiques, en Europe et peut-être même ailleurs.

Mais les affaires devraient venir, non devant les tribunaux internationaux ou le système judicaire israélien, mais essentiellement devant les tribunaux nationaux européens qui ont la possibilité d’amener à comparaître dans le cadre d’une démarche juridique appelée « compétence universelle », laquelle permet de juger des dossiers d’actes abominables, de tortures, ou de crimes de guerre commis à l’extérieur de leurs propres frontières.

Les Israéliens considèrent ces menaces comme faisant partie d’une chasse aux sorcières à caractère politique. Pour les Palestiniens et les militants des droits humains cependant, ces tribunaux nationaux représentent la seule instance où ils peuvent démontrer que des crimes de guerre ont été commis.

« Les systèmes mis en place dans un certain nombre de pays vont être mis à l’épreuve... Nous avons des équipes juridiques qui fonctionnent au sein et au-delà des pays européens pour le compte des plaignants palestiniens contre les crimes de guerre », indique Daniel Machover, avocat britannique né en Israël, qui agit en coordination avec le Centre palestinien pour les droits humains (PCHR) basé à Gaza, et qui a coopéré pour l’arrestation de Mr Almog en 2005. « Il n’y a pas d’autre moyen pour un pays ou un territoire sous occupation d’obtenir justice ».

Mr Machover a également aidé à la présentation, devant un tribunal national espagnol, d’un cas d’attentat israélien contre un chef militaire du Hamas, en 2002. Ce bombardement aurait fait plus d’une dizaine de morts civils dans un quartier de Gaza. Pas plus tard que la semaine dernière, un juge espagnol a annoncé qu’il y aurait une enquête, provoquant des tensions entre Israël et l’Espagne, et incitant Israël à travailler davantage encore la question des crimes de guerre.

Talonné par une série d’accusations allant d’avoir pris pour cibles des sites civils jusqu’à avoir empêché l’évacuation de non combattants, le gouvernement israélien, ces dernières semaines, a réaffirmé son engagement à défendre juridiquement les soldats et les responsables politiques impliqués dans ces affaires. Il a également décidé de tenir secrète l’identité des soldats pour en protéger le plus grand nombre contre les poursuites. (voir cependant : Noms et photos de criminels de guerre israéliens à Gaza)

Selon des responsables palestiniens, plus de 1 300 Gazaouis ont été tués et des milliers d’autres blessés durant les trois semaines d’offensive israélienne contre le Hamas, le mois dernier. Le nombre de non combattants compris dans ces chiffres est contesté. Et seuls 13 Israéliens ont été tués, la plupart étant des soldats.

En commençant son intervention aux Nations-Unies, l’ambassadrice US, Susan Rice, a appelé Israël à enquêter sur le comportement de son armée dans la récente guerre de Gaza et elle a porté des accusations contre le Hamas pour avoir tiré des roquettes sur les villes israéliennes et fonctionné à partir de sites civils.

Une enquête israélienne est peu probable étant donné que la plupart des Israéliens sont convaincus que l’armée israélienne a fait de son mieux pour limiter les blessés chez les civils. Selon Israël et les USA, Hamas aurait violé la loi internationale en tirant les roquettes sur des villes et agglomérations et en utilisant comme bases des sites civils palestiniens.

Paradoxalement, Israël est l’un des premiers pays à avoir invoqué le principe de la compétence universelle quand son système judiciaire s’est déclaré fondé à juger le chef nazi Adolf Eichmann pour crimes contre l’humanité et crimes de guerre durant la Deuxième Guerre mondiale.

Ni Israël ni les Palestiniens, cependant, ne sont parties au traité qui a institué la Cour pénale internationale de La Haye et de ce fait, il est difficile de monter un dossier pour crimes de guerre devant cette instance. Aussi, les plaintes juridiques contre le comportement israélien ont été déposées devant des tribunaux nationaux en Europe et non devant les tribunaux internationaux.

Un juriste israélien a exclu que les tentatives de procès pour crimes de guerre à l’étranger seraient un prolongement de la « guerre médiatique » contre l’Etat juif pour son opération contre Gaza. Daniel Reisner, ancien chef de la division internationale de l’armée israélienne, a déclaré que la compétence universelle était utilisée seulement pour accuser Israël, pas le Hamas. « Le danger maintenant pour Israël, ce sont ces pays qui possèdent une compétence extraterritoriale sans condition de nationalité. » dit Mr Reisner. « La question est de savoir s’ils représentent un danger majeur ou mineur. »

Un tribunal belge avait examiné en 2001 une accusation contre l’ancien Premier ministre israélien, Ariel Sharon, pour son rôle dans les massacres allégués durant l’invasion du Liban en 1982.

Mais une application large de la compétence universelle par des tiers tribunaux nationaux, sans lien avec les auteurs ou les victimes présumés de crimes de guerre, est une évolution relativement récente et selon certains juristes européens, elle doit encore faire ses preuves.

L’avocat belge Michael Verhaeghe avait déposé plainte contre Mr Sharon - un acte juridique qui a réveillé les Israéliens face aux menaces de poursuites pour crimes de guerre devant les tribunaux européens. Il avait finalement convaincu la Cour suprême belge de se déclarer compétente, en se basant sur un texte de loi national de 1993, mais la législation fut par la suite abrogée par le parlement belge.

Selon lui, le nombre d’Etats en Europe et ailleurs qui disposent de la compétence universelle nécessaire pour juger, dans leurs tribunaux, des crimes de guerre commis par des combattants dans des guerres extérieures, diminue. Et pourtant, Mr Verhaeghe pense qu’il n’est pas possible que les soldats israéliens, s’ils ont commis des crimes de guerre, « puissent se sentir intouchables et en sécurité comme auparavant. »

Aucun des dossiers n’est allé à procès.

Le 29 janvier dernier néanmoins, un juge d’un tribunal national d’Espagne, a ordonné une enquête sur les actes commis par Israël dans un attentat contre un membre du Hamas, Salah Shehadeh, en 2002, où 14 autres Palestiniens ont trouvé la mort, dont 9 enfants.

Le ministère de l’Infrastructure nationale israélien, Binyamin Ben Eliezer, alors ministre de la Défense et qui est l’un des sept suspects nommés dans l’enquête, a déclaré que la décision du tribunal était « scandaleuse ».

« Les organisations terroristes... se servent de systèmes mis en place par des Etats démocratiques pour intenter des procès contre un pays qui combat le terrorisme, » dit-il.
 
Un terrorisme d’état pire que le 11 septembre
jeudi 5 février 2009 - 07h:06

Daniel Vanhove

Triste bilan pour le Proche-Orient en ce premier mois de l’année 2009. Jours et nuits, durant trois semaines, un déluge de feu s’est abattu sur le Camp concentrationnaire de Gaza, et le sang de ses habitants terrorisés est venu inonder un peu plus une parcelle de territoire qui en est déjà gorgé...

Les derniers jours de cette meurtrière agression, la gravité de la perversion qui anime la soldatesque israélienne et ses commanditaires aura été à son comble.

Les cas de dérives se sont multipliés et attestent, s’il le fallait encore, du degré d’inhumanité qu’entretient tout esprit guerrier. Loin des cibles du Hamas comme se plaisent à l’ânonner les dirigeants israéliens et les hyènes qui leur tournent autour, tout ce qui bougeait et entrait dans le champ de vision des soldats, était pris pour cible. Selon le chef des services d’urgence à Gaza, sur les quelques 1330 victimes déclarées, plus des deux tiers se révèlent être des enfants, des femmes et des personnes âgées. Le nombre de blessés avoisine les 5300. Et des corps continuent à être découverts sous les ruines.

Bien qu’elle ait pris soin de renseigner les responsables militaires israéliens, l’UNRWA (l’agence de l’ONU en charge des réfugiés) a été visée à diverses reprises à travers ses écoles et ses bâtiments officiels servant d’abris aux familles dont l’habitation avait été détruite par les bombardements ; ses convois humanitaires, ses ambulances et son personnel médical ont été pris pour cibles ; quelques jours avant le cessez-le-feu, c’est carrément son quartier général et un précieux entrepôt de denrées alimentaires et de médicaments qui sont partis en fumée. Même la Croix Rouge dont on connaît l’habituelle retenue, a dénoncé le drame humanitaire sans précédent rencontré dans ce moignon de territoire, et expliqué les multiples obstacles posés par l’armée pour empêcher de secourir les blessés. Ainsi de ces quatre enfants retrouvés après plusieurs jours, gisant sur un matelas, hagards et affamés, incapables même de se lever seuls, accrochés aux corps de leurs mamans respectives, toutes mortes...

Les plus hauts représentants du gouvernement israélien n’ont cessé de baver à la presse avec une indifférence proche de l’autisme qu’il n’y avait aucune crise humanitaire à Gaza, quand l’ONU déclarait que 750.000 personnes étaient sans eau et 1.000.000 privés d’électricité, après un blocus qui dure depuis près de deux ans. Le Conseil des Droits de l’homme de l’ONU a adopté une Résolution à Genève qui « condamne vigoureusement l’opération israélienne » à Gaza se traduisant par des « violations massives du Droit humanitaire ». Même la trêve de trois heures par jour, acceptée sous la pression internationale après le début de cette déferlante n’a été respectée par l’armée israélienne qu’une poignée de jours, et du personnel médical international arrivé via la frontière égyptienne confirmait que les bombardements étaient incessants.

Le pire est probablement venu du témoignage accablant d’un enfant d’une dizaine d’années - corroboré par d’autres - allongé sur une civière et dont le visage blessé et contusionné balbutiait les conditions dans lesquelles un massacre (de plus !) s’était perpétré. Témoignage confirmé aussi par l’OCHA (l’office de l’ONU pour la coordination humanitaire). Le lundi 4 janvier à Zeitoun, l’armée israélienne a rassemblé en les battant 110 habitants d’un quartier (dont la moitié était des enfants) pour les enfermer dans une pièce, sans nourriture, sans eau et sans électricité. Le lendemain, ils les ont bombardés à plusieurs reprises. Trente d’entre eux sont morts. Les autres pour la plupart, sont blessés, parfois gravement au point de rester handicapés à vie. Le gouvernement coupable de tels crimes pourra toujours tenter d’expliquer à un tribunal international qu’il s’agissait-là de cibles du Hamas. Si nos valeurs ont encore un minimum de fondement, et si le mot justice représente encore un timide espoir pour l’humanité, les responsables de tels actes doivent être jugés et condamnés pour crimes contre l’humanité.

Outre le fait de nous rappeler de sombres souvenirs, ces pratiques nous indiquent que les allégations du gouvernement israélien sont, comme toujours, fausses et mensongères quant aux objectifs poursuivis.

Israël a voulu démontrer la puissance des frappes chirurgicales de son armée exemplaire... Les images que nous en retiendrons nous auront surtout montré son désarroi face à une résistance dont elle n’arrive pas à bout. Et même si les plus hauts responsables israéliens se gargarisent du succès de l’opération PLOMB DURCI - ce qui n’est pas le cas puisque la résistance palestinienne peut toujours envoyer ses roquettes vers Israël - nul doute que cette opération ratée aura sérieusement et définitivement pris du PLOMB DANS L’AILE sur le terrain médiatique tant elle participe à l’écœurement et au dégoût de l’ensemble des peuples de la planète.

Nos plus hautes instances toujours très sûres d’elles-mêmes dans la distribution des bons et des mauvais points devraient peut-être méditer quelques chiffres pour prendre toute la mesure du massacre qui vient de se produire à Gaza, en le transposant simplement à l’échelle des USA : les 1330 victimes palestiniennes correspondraient à 265.000 Américains tués, et les 5300 blessés, à plus d’un million ! Autrement plus grave que le 11 septembre qui a remué la planète de fond en comble par ses lois anti-terroristes et ses pratiques liberticides, et a fait dire aux plus aliénés que nous étions « tous Américains » ! On aimerait entendre les mêmes dire aujourd’hui que nous sommes tous Palestiniens, et les voir agir de manière ferme et déterminée pour contraindre Israël à se conformer au Droit international par tous les moyens.

Si les dirigeants européens avaient le courage et l’honnêteté de regarder la réalité en face, l’évidence d’avoir un langage et un comportement clairs leur apparaîtrait d’emblée comme les meilleurs garants de la pérennité même de nos démocraties, et leur indiquerait d’arrêter toute compromission avec les criminels, quels qu’ils soient. C’est ce double langage de ceux-là mêmes qui martèlent tout faire pour éviter d’importer le conflit chez nous, qui y participe. Et autorise aujourd’hui les responsables israéliens à déclarer le plus naturellement du monde que la prochaine réaction de l’armée « sera disproportionnée » alors même que le décompte des victimes précédentes n’est pas encore achevé ! Encore et toujours, ce sont bien nos comportements politiques ambigus qui sont coresponsables du drame palestinien.
 
L’Egypte continue la guerre israélienne contre Gaza
jeudi 5 février 2009 - 07h:03

Leila Mazboudi


Tout ce que l’entité sioniste a été incapable de faire durant 22 jours de guerre meurtrière, l’Egypte tente de le réaliser. Avec une arme à l’appui : le passage de Rafah.

Concernant les négociations que le Caire chapeaute, il semble fort qu’il agit en sorte pour affaiblir la mainmise du Hamas, et favoriser celle du Fatah de Mahmoud Abbas. Et ce en parfaite harmonie avec les aspirations de l’entité sioniste et par derrière des régimes occidentaux.

Faute d’être parvenu à éradiquer ce mouvement de résistance pendant la guerre, Les efforts se déploient pour le soumettre, par le biais des négociations. Usant pour plus de persuasion de la politique des carottes et des batons.

Quant aux carottes brandies pour séduire le Hamas, le econnaître s’il intègre un gouvernement d’union nationale, et lier l’offre des centaines de millions de dollars pour la reconstruction de la Bande de Gaza à ce que ce gouvernement soit dirigé par Abbas. Qualifié par les dirigeants israéliens de modéré et pragmatique, Abbas est suspecté par les forces de résistance palestiniennes d’être prêt à faire des concessions aux Israéliens au détriment d’un état palestinien dans les frontières de 1967 édicté par les Nations Unies.

Or sur la table des négociations, le Caire n’arrive pas à faire baisser le ton au Hamas. Se comportant comme un vainqueur, celui-ci ne se contente pas de se cramponner sur ses positions, refusant toute concession, (pas de cessez-le feu sans levée du blocus, pas de cessez-le feu durable, mais uniquement pour un an), mais il en réclame de nouvelles : être intégré, ainsi que l’autre mouvement de résistance, le Jihad islamique, au sein de l’Organisation de libération de la Palestine après sa restructuration. Chose qu’Abbas refuse catégoriquement. C’est le Hamas qui est sorti victorieux des élections législatives en 2006.

Face à cette ténacité, le Caire met du sien, par le biais du passage de Rafah, seule issue de sortie des Gazaouis. Dernièrement, il a renforcé le blocus par des mesures de sécurité plus strictes. De plus, il assiste les Israéliens à la démolition des tunnels : lundi , alors que les avions de combats israéliens bombardaient la région palestinienne de tunnels, les forces de sécurité égyptiennes procédaient à leur destruction, du côté égyptien des frontières.

Mardi, et selon les habitants de la ville de Rafah, des caméras de surveillance sur les hauts bâtiments de la région ont été installées.

Jeudi, il va fermer le passage de Rafah, sine die, et ne va l’ouvrir, selon le journal officiel al-Ahram que selon ses désirs.
 
L'entité philistine va faire appel à l'entité ottomane pour influencer en sa faveur l'entité phraonique.L'entité sioniste a reçu l'aide de l'entité gallo-romaine pour surveiller les côtes
philistines.
 
L'entité philistine va faire appel à l'entité ottomane pour influencer en sa faveur l'entité phraonique.L'entité sioniste a reçu l'aide de l'entité gallo-romaine pour surveiller les côtes
philistines.
c de bonne augure tout cela , les nations avancent certaines reviennent dans le passé et l'histoire...
 
c est de l hypocrisie c est qu a ce moment que certains se sont rendus compte qu Israel a commis des crimes de guerre?

ils etaient ou ya 60 ans ? elle en a commis pendant un demi siecle et des poussieres et continuera dans ses massacres

pourquoi faut toujours attendre le fait pour bouger? pourquoi ne pas anticiper ? sauver c est surtout cela

degoutant
 
Pourquoi avons nous arrêté de manifester contre les crimes de guerre d'Israel ? Contre l'accord scandaleux de l'Europe et d'Israel ?

Il faut continuer de se mobiliser en masse contre Israle et ses crimes.
 
Pourquoi avons nous arrêté de manifester contre les crimes de guerre d'Israel ? Contre l'accord scandaleux de l'Europe et d'Israel ?

Il faut continuer de se mobiliser en masse contre Israle et ses crimes.

pareil, je suis degouté j aurai voulu continuer a manifester pour sensibiliser les gens et ainsi l opinion public


si pendant des semaines et des semaines, des milliers de manifestant sortent dans les rues pour demander que justice soit faite, ne pensez vous pas que ca finirait par faire du bruit et remotiver les troupes pour que plus jamais cette tuerie ne se reproduise?


il faut reprendre les manifestations je ne vois pas d autres solutions

vers quel organisme me tourner pour faire relier ce mouvement?
 
pareil, je suis degouté j aurai voulu continuer a manifester pour sensibiliser les gens et ainsi l opinion public


si pendant des semaines et des semaines, des milliers de manifestant sortent dans les rues pour demander que justice soit faite, ne pensez vous pas que ca finirait par faire du bruit et remotiver les troupes pour que plus jamais cette tuerie ne se reproduise?


il faut reprendre les manifestations je ne vois pas d autres solutions

vers quel organisme me tourner pour faire relier ce mouvement?

Maintenant que les armes se sont tu,tout le monde s'en tape des palestiniens.
Prochain objectif,preparer les vacances d'eté au bled en esperant qu'un autre massacre a Gaza ne se reproduise pas entre temps.
D'ici la,en Israel on aura voté,
Obama aura pris langue avec Abbas,etc,etc.....
Il est peut etre temps maintenant de manifester pour le pouvoir d'achat.
 
ISRAEL a commis des crimes de guerre
ISRAEL a massacré de sang froid des enfants
ISRAEL a tenté de génocider les habitants de Gaza
ISRAEL a essayé de nouvelles contre les habitants de Gaza
ISRAEL doit être jugée
ISRAEL n'est pas une cause juste
 
pareil, je suis degouté j aurai voulu continuer a manifester pour sensibiliser les gens et ainsi l opinion public


si pendant des semaines et des semaines, des milliers de manifestant sortent dans les rues pour demander que justice soit faite, ne pensez vous pas que ca finirait par faire du bruit et remotiver les troupes pour que plus jamais cette tuerie ne se reproduise?


il faut reprendre les manifestations je ne vois pas d autres solutions

vers quel organisme me tourner pour faire relier ce mouvement?

Pas du tout,la prochaine manifestation va achever les nazisionistes!!!
Tout est strategique,il faut preparer DURBAN DEUX
La France qui commence à flipper
Allez une synthese sur la prochaine manif
 
Conférence mondiale Durban «II»: Israël au banc des accusés
par Notre Bureau De Bruxelles: M'hammedi Bouzina Med, Le Quotidien d'Oran



La ville de Genève, en Suisse, accueillera du 20 au 24 février prochain la deuxième Conférence mondiale de lutte contre le racisme et la xénophobie.

Mandatés par l'Onu, les groupes préparatoires présenteront à la Conférence des chefs d'Etat, un réquisitoire implacable contre l'Etat d'Israël coupable de pratiquer le racisme, l'apartheid et des crimes contre l'humanité.

La France annonce son intention de boycotter la Conférence, le Canada et les USA s'interrogent.

Du 20 au 24 février prochain, se tiendra à Genève (Suisse) la deuxième Conférence mondiale de l'Onu consacrée à la lutte mondiale contre le racisme et la xénophobie, avec l'objectif d'évaluer l'application des recommandations de la première Conférence dite de Durban (Afrique du Sud) tenue en 2001.

Les premières informations annoncent la présence de milliers de militants d'ONG et Associations de lutte contre le racisme à Genève, pour dénoncer et appeler à la condamnation de l'Etat d'Israël pour délit de racisme, de crime de guerre, de crime contre l'humanité et de génocide envers le peuple palestinien.


Rappelons que lors de la première conférence de Durban «I», l'Etat hébreu a été mis au banc des accusés pour ces mêmes délits et crimes et que des chefs d'Etats occidentaux, tels ceux des USA, du Canada... avaient quitté la Conférence, marquant ainsi leur solidarité avec Israël.

A Durban, la Conférence avait appelé à lutter contre la vague « d'islamophobie mondiale et la défense des minorités musulmanes dans le monde - occidental -».

Le rapport final de la Conférence avait, par ailleurs, soulevé la nécessité de clarifier l'amalgame fait entre la lutte antiterroriste et la sécurité nationale ainsi que le rôle des médias occidentaux dans la lutte contre le racisme.

Depuis 2001, les groupes régionaux mandatés par l'Onu se sont réunis pour suivre l'évolution de la lutte contre le racisme et l'application des recommandations de la 1ère Conférence de Durban.

Le constat est unanime : Israël est un Etat qui pratique l'apartheid,
le racisme, les crimes de guerre et contre l'humanité à l'endroit du peuple palestinien.

Ainsi, la réunion du Groupe préparatoire pour l'Amérique Latine, réuni entre le 17 et 19 juin 2008 à Brasilia (Brésil), a abouti à la conclusion «qu'Israël pratique l'apartheid colonial».

En août, ce fût au tour de la Conférence régionale africaine d'aboutir à la même conclusion et de soulever «la situation désespérée du peuple palestinien.»

En mai 2008, le Comité préparatoire de l'Onu a publié un document traduisant son «inquiétude de la situation désespérée du peuple palestinien sous occupation étrangère et le régime d'apartheid qu'il vit».

Ce même comité a retenu «la dénonciation du Mur de séparation construit en Palestine occupée».

Quant au Groupe préparatoire pour l'Asie, il a «accusé Israël de pratiques raciales, de crimes contre l'humanité et de génocide envers le peuple palestinien».

Enfin, à la fin d'octobre 2008, le Conseil des droits de l'Homme de l'Onu a publié, sur la base des documents des groupes préparatoires de la Conférence dite «Durban II» (qui se tiendra donc a Genève ce mois-ci), un document contenant 9 paragraphes qui condamnent Israël de pratiquer l'apartheid,
les crimes contre l'humanité et le génocide.
Il donne l'exemple de la «loi du retour à Israël sur une base raciale», c'est-à-dire juive.

A mesure de l'approche de la Conférence de Genève du 20 ? 24 février, certains dirigeants d'Etats occidentaux, soutiens de l'Etat hébreu menacent de boycotter la rencontre.

Le Président français Nicolas Sarkozy a déclaré qu'il «n'accepterait pas les recommandations contre Israël» contenues dans les rapports de Durban «I» et dans ceux des groupe préparatoires.

Les USA et le Canada ont souhaité se tenir «à l'écart de la Conférence de Genève» pour ne pas s'impliquer officiellement dans les condamnations d'Israël.

Ceci traduit bien la ligne de fracture entre la majorité des pays du monde, qui condamnent l'Etat hébreu pour sa politique raciste et criminelle envers les Palestiniens, et les puissances occidentales alliées traditionnelles d'Israël qui fuient la réalité et leurs responsabilités dans la situation en Palestine occupée en pratiquant la politique de la «chaise vide».

Ce qu'il faut retenir de ces tractations qui se passent dans les coulisses des Nations unies en toute discrétion, c'est la prise de conscience du monde face à la nature raciste et criminelle de l'Etat hébreu.

Le mouvement mondial de soutien et de solidarité avec le peuple palestinien, déclenché dès le début des bombardements le 27 décembre sur la Bande de Ghaza, n'est pas prêt de s'arrêter ou de se suffire aux dénonciations et condamnations de principe.

Un travail de fond est mis en marche au sein des institutions de l'Onu, et avec des milliers d'ONG, pour en finir avec l'impunité du seul Etat au monde qui colonise et tue, et se présente comme victime.
 
Mdrrrrrr
On va appeler le premier ministre Ouyahiya le Kabyle,pour qu'il nous donne une explication,pourquoi il massacre ses freres?

Tout comme il faut interroger Meshaal sur ce qui motive le génocide de ses frères palestiniens du fatah.
En attendant ,c'est hors-sujet,mais je te fais cadeau cette chanson,je pense qu'en tant qu'Etranger tu comprends l'anglais,le yiddish c'est de l'hébreu pour toi et moi !!!!!!
http://www.youtube.com/watch?v=T7AjIAFqG6o
 
Maintenant que les armes se sont tu,tout le monde s'en tape des palestiniens.
Prochain objectif,preparer les vacances d'eté au bled en esperant qu'un autre massacre a Gaza ne se reproduise pas entre temps.
D'ici la,en Israel on aura voté,
Obama aura pris langue avec Abbas,etc,etc.....
Il est peut etre temps maintenant de manifester pour le pouvoir d'achat.

t'en a pas marre de raconter des bêtises même pas marrantes???
ton poste n'a aucun sens

Abbas n'est plus président de l'autorité palestinienne, il a fini son mandat depuis un ptit moment, faut que tu t'actualises
 
Maintenant que les armes se sont tu,tout le monde s'en tape des palestiniens.
Prochain objectif,preparer les vacances d'eté au bled en esperant qu'un autre massacre a Gaza ne se reproduise pas entre temps.
D'ici la,en Israel on aura voté,
Obama aura pris langue avec Abbas,etc,etc.....
Il est peut etre temps maintenant de manifester pour le pouvoir d'achat.

on? :rolleyes:

les choses se précisent et s'éclaircissent :D
 
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