salam
Une étude sur la situation de la biscuiterie et les coûts des facteurs de production sera entamée dans les prochains jours. La biscuiterie réalise 7.5% du chiffre d’affaires à l’export de la filière qu’elle constitue avec la chocolaterie et la confiserie.
La sous-facturation semble être une problématique dépassée. C’est ce que pensent les professionnels de la biscuiterie qui, aujourd’hui, se préoccupent davantage de leur compétitivité sur les marchés étrangers. «Le secteur est potentiellement exportateur, mais la présence des biscuits marocains sur les marchés étrangers est limitée. C’est pourquoi nous pensons qu’une étude de repositionnement doit être effectuée», dit-on à l’Association de la biscuiterie, confiserie et chocolaterie (AB2C). Effectivement, une étude sur la situation de l’activité et les coûts des facteurs de production sera entamée dans les prochains jours. «C’est un benchmark avec les produits étrangers, particulièrement les biscuits produits en France, en Espagne et en Turquie. L’exercice nous permettra de revoir notre offre et de construire nos activités autour de produits compétitifs à l’export», expliquent les responsables de l’AB2C.
Pour l’heure, les exportations de la biscuiterie atteignent 30 MDH sur un total de 400 millions réalisé par toute la filière biscuiterie, chocolaterie et confiserie. La valeur des exportations de biscuits devrait, selon les professionnels, doubler lors des cinq prochaines années si, expliquent les opérateurs, «on arrive à élargir les débouchés qui restent, pour l’heure, essentiellement concentrés en Afrique».
http://www.lavieeco.com/news/econom...formants-sur-les-marches-etrangers-26961.html
Une étude sur la situation de la biscuiterie et les coûts des facteurs de production sera entamée dans les prochains jours. La biscuiterie réalise 7.5% du chiffre d’affaires à l’export de la filière qu’elle constitue avec la chocolaterie et la confiserie.
La sous-facturation semble être une problématique dépassée. C’est ce que pensent les professionnels de la biscuiterie qui, aujourd’hui, se préoccupent davantage de leur compétitivité sur les marchés étrangers. «Le secteur est potentiellement exportateur, mais la présence des biscuits marocains sur les marchés étrangers est limitée. C’est pourquoi nous pensons qu’une étude de repositionnement doit être effectuée», dit-on à l’Association de la biscuiterie, confiserie et chocolaterie (AB2C). Effectivement, une étude sur la situation de l’activité et les coûts des facteurs de production sera entamée dans les prochains jours. «C’est un benchmark avec les produits étrangers, particulièrement les biscuits produits en France, en Espagne et en Turquie. L’exercice nous permettra de revoir notre offre et de construire nos activités autour de produits compétitifs à l’export», expliquent les responsables de l’AB2C.
Pour l’heure, les exportations de la biscuiterie atteignent 30 MDH sur un total de 400 millions réalisé par toute la filière biscuiterie, chocolaterie et confiserie. La valeur des exportations de biscuits devrait, selon les professionnels, doubler lors des cinq prochaines années si, expliquent les opérateurs, «on arrive à élargir les débouchés qui restent, pour l’heure, essentiellement concentrés en Afrique».
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