Fortement chahutées depuis l'été dernier sur les marchés boursiers en raison de leur exposition à la dette grecque, les banques françaises, installées en Algérie depuis une dizaine d'années, y enregistrent une forte progression de leur activité et de leur rentabilité.
Dans le sillage du relèvement du seuil du capital minimum, l'accroissement substantiel de leurs ressources a placé les banques françaises activant sur le marché algérien, dans une situation plus confortable par rapport aux règles prudentielles. C'est ce qui leur permet tout d'abord d'afficher et de réaliser des objectifs ambitieux en matière de développement de leurs réseaux. BNP Paribas et Société Générale sont les plus en vue dans ce domaine avec pour chacune d'entre elles plus de 60 agences opérationnelles et des objectifs d'une dizaine d'ouvertures par an. Natixis est un peu en retrait avec une vingtaine d'agences en activité et un objectif de 30 agences en 2013. A l'image de l'ensemble des banques privées, les opérateurs français se plaignent des freins imposés au développement de leurs réseaux. Le PDG de la Société Générale Gerald Lacaze le soulignait encore récemment : «Nous avons actuellement une dizaine d'agences qui attendent leur agrément par la Banque d'Algérie, les délais de délivrance de ces autorisations restent pour nous une source de frustration et un frein au développement rapide de notre activité.» [...]
http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5159234
Dans le sillage du relèvement du seuil du capital minimum, l'accroissement substantiel de leurs ressources a placé les banques françaises activant sur le marché algérien, dans une situation plus confortable par rapport aux règles prudentielles. C'est ce qui leur permet tout d'abord d'afficher et de réaliser des objectifs ambitieux en matière de développement de leurs réseaux. BNP Paribas et Société Générale sont les plus en vue dans ce domaine avec pour chacune d'entre elles plus de 60 agences opérationnelles et des objectifs d'une dizaine d'ouvertures par an. Natixis est un peu en retrait avec une vingtaine d'agences en activité et un objectif de 30 agences en 2013. A l'image de l'ensemble des banques privées, les opérateurs français se plaignent des freins imposés au développement de leurs réseaux. Le PDG de la Société Générale Gerald Lacaze le soulignait encore récemment : «Nous avons actuellement une dizaine d'agences qui attendent leur agrément par la Banque d'Algérie, les délais de délivrance de ces autorisations restent pour nous une source de frustration et un frein au développement rapide de notre activité.» [...]
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