Le chinois Geely intéressé par l'usine belge d'Opel à Anvers
Le constructeur automobile chinois Geely a marqué son intérêt pour l'usine belge d'Opel à Anvers (Flandre, nord), qui doit fermer en fin d'année, a indiqué mercredi le chef du gouvernement régional flamand, Kris Peeters.
M. Peeters, cité par l'agence Belga, a précisé avoir rencontré mercredi le patron du groupe chinois, Li Shufu, qui veut "étudier les possibilités que présente Opel Anvers".
Geely vient déjà de racheter à l'américain Ford le constructeur suédois Volvo, qui a une usine en Flandre à Gand (nord-ouest).
Opel, filiale de l'américain General Motors (GM), a confirmé lundi que son usine d'Anvers, qui compte encore 1.300 salariés, fermerait en fin d'année, faute de repreneur.
La fermeture du site, vécue comme un traumatisme en Flandre, avait été annoncée en janvier, dans le cadre d'une restructuration de GM en Europe, mais Opel avait entretenu un petit espoir en se donnant jusqu'au 30 septembre pour trouver un investisseur.
Les syndicats, qui estiment que GM n'a pas vraiment donné sa chance au site, ont annoncé des actions européennes et leur intention de discuter directement avec d'éventuels investisseurs, notamment un chinois.
AFP
Le constructeur automobile chinois Geely a marqué son intérêt pour l'usine belge d'Opel à Anvers (Flandre, nord), qui doit fermer en fin d'année, a indiqué mercredi le chef du gouvernement régional flamand, Kris Peeters.
M. Peeters, cité par l'agence Belga, a précisé avoir rencontré mercredi le patron du groupe chinois, Li Shufu, qui veut "étudier les possibilités que présente Opel Anvers".
Geely vient déjà de racheter à l'américain Ford le constructeur suédois Volvo, qui a une usine en Flandre à Gand (nord-ouest).
Opel, filiale de l'américain General Motors (GM), a confirmé lundi que son usine d'Anvers, qui compte encore 1.300 salariés, fermerait en fin d'année, faute de repreneur.
La fermeture du site, vécue comme un traumatisme en Flandre, avait été annoncée en janvier, dans le cadre d'une restructuration de GM en Europe, mais Opel avait entretenu un petit espoir en se donnant jusqu'au 30 septembre pour trouver un investisseur.
Les syndicats, qui estiment que GM n'a pas vraiment donné sa chance au site, ont annoncé des actions européennes et leur intention de discuter directement avec d'éventuels investisseurs, notamment un chinois.
AFP
