Faut-il considérer que le conflit produit le changement,ou au contraire que le changement saccompagne de conflits que lon pourrait, à la limite, qualifier de résiduels. Dans ce dernier cas, le conflit, plutôt que dêtre situé en amont du changement social, trouverait alors sa place en aval. On considérerait dans ces conditions que la dynamique conflictuelle est une résultante du changement social, cette dynamique apparaissant bien souvent comme une « résistance au changement ».
Sagit-il dunecorrélation positive (plus il y a de changement, plus il y a de conflits) ou dune corrélationnégative ? (plus il y a de changement, moins il y a de conflits). Dans lhypothèse de cettecorrélation négative, le conflit exprime alors les tensions liées à limmobilisme social.
Voilà, alors que penser des conflits sociaux actuels en France: sont-ils selon vous un facteur de changement social au sens de transformations des structures socio-économiques, historiques, des manières de penser etc...? ou au contraire un indicateur de résistance au changement social?
Sagit-il dunecorrélation positive (plus il y a de changement, plus il y a de conflits) ou dune corrélationnégative ? (plus il y a de changement, moins il y a de conflits). Dans lhypothèse de cettecorrélation négative, le conflit exprime alors les tensions liées à limmobilisme social.
Voilà, alors que penser des conflits sociaux actuels en France: sont-ils selon vous un facteur de changement social au sens de transformations des structures socio-économiques, historiques, des manières de penser etc...? ou au contraire un indicateur de résistance au changement social?