Le revirement est spectaculaire. Après avoir longtemps joué la carte des «démocrates» arabes, des «forces progressistes», les démocraties occidentales changent leur fusil dépaule et se montrent plus que jamais disposées à traiter, sans réserve ni complexe aucun, avec des gouvernements islamistes.
Et quimporte que ces derniers soient composés déléments djihadistes comme en Libye ou dislamistes «light» comme en Tunisie et au Maroc. A Bruxelles comme à Washington, lheure est décidément au grand écart. Les superpuissances américaine et européenne, contraintes sous leffet prodigieux des «révolutions arabes» ou guidées par une approche somme toute pragmatique adaptent leur discours aux réalités changeantes dun monde arabo-musulman tombant peu à peu dans la gouvernance islamiste. Les mouvements et partis islamistes dont certains étaient jusque-là classés sur la black-list des organisations terroristes sont considérés désormais comme des «partenaires» politiques à part entière et voient leurs victoires électorales prestement saluées.
http://www.elwatan.com/dossier/les-...-applaudissent-deja-30-11-2011-149161_151.php
Et quimporte que ces derniers soient composés déléments djihadistes comme en Libye ou dislamistes «light» comme en Tunisie et au Maroc. A Bruxelles comme à Washington, lheure est décidément au grand écart. Les superpuissances américaine et européenne, contraintes sous leffet prodigieux des «révolutions arabes» ou guidées par une approche somme toute pragmatique adaptent leur discours aux réalités changeantes dun monde arabo-musulman tombant peu à peu dans la gouvernance islamiste. Les mouvements et partis islamistes dont certains étaient jusque-là classés sur la black-list des organisations terroristes sont considérés désormais comme des «partenaires» politiques à part entière et voient leurs victoires électorales prestement saluées.
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