salam
Une nouvelle étude confirme les effets potentiellement désastreux des comportements d’intimidation scolaire subis durant l’enfance et l’adolescence.
Cette équipe de pédiatres américains (Boston Children’s Hospital) a suivi un groupe de quelque cinq mille jeunes, depuis la primaire jusqu’à la fin du secondaire. Une étude de très large envergure donc, avec des évaluations périodiques de la santé physique et mentale, en tenant compte des éventuelles expériences d’intimidation en milieu scolaire.
Les résultats montrent que quel que soit l’âge, les enfants victimes (passées ou présentes) de ces comportements :
• accusent une moins bonne santé physique et psychologique, tous critères confondus
• souffrent bien davantage de symptômes dépressifs
• présentent une plus faible estime d’eux-mêmes
• affichent des résultats scolaires moins favorables
• réalisent des performances inférieures lors des tests d’activités sportives
L’impact est proportionnel à la durée et à la gravité des actes d’intimidation, mais des problèmes risquent d'apparaître en cas d'événements ponctuels. Les auteurs insistent sur la nécessité d’apporter une aide rapide et personnalisée à ces enfants souffre-douleur, même s’il s’agit de faits éloignés dans le temps, et de fournir des outils permettant aux parents, aux enseignants et aux professionnels de la santé d’intervenir en conséquence.
http://www.sudinfo.be/996325/articl...-plus-dans-le-futur?google_editors_picks=true
Une nouvelle étude confirme les effets potentiellement désastreux des comportements d’intimidation scolaire subis durant l’enfance et l’adolescence.
Cette équipe de pédiatres américains (Boston Children’s Hospital) a suivi un groupe de quelque cinq mille jeunes, depuis la primaire jusqu’à la fin du secondaire. Une étude de très large envergure donc, avec des évaluations périodiques de la santé physique et mentale, en tenant compte des éventuelles expériences d’intimidation en milieu scolaire.
Les résultats montrent que quel que soit l’âge, les enfants victimes (passées ou présentes) de ces comportements :
• accusent une moins bonne santé physique et psychologique, tous critères confondus
• souffrent bien davantage de symptômes dépressifs
• présentent une plus faible estime d’eux-mêmes
• affichent des résultats scolaires moins favorables
• réalisent des performances inférieures lors des tests d’activités sportives
L’impact est proportionnel à la durée et à la gravité des actes d’intimidation, mais des problèmes risquent d'apparaître en cas d'événements ponctuels. Les auteurs insistent sur la nécessité d’apporter une aide rapide et personnalisée à ces enfants souffre-douleur, même s’il s’agit de faits éloignés dans le temps, et de fournir des outils permettant aux parents, aux enseignants et aux professionnels de la santé d’intervenir en conséquence.
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