EN COMPAGNIE DE CHEIKH EL ALBANI
DURANT LES 8 DERNIERS MOIS
DE SA VIE
raconté par son élève Ali Hassan Al Halabi Al Athari
بسم الله الرحمن الرحيم
Avant dentamer mes propos concernant notre cheikh, notre père, notre professeur «Assad as Sounnah, littéralement : Le lion de la Sounnah » et la fierté des Imams, abou Abdir-Rahman Mouhammad Naçiroud-dine al Albany , je noterais deux points très importants :
* Le début dun bien :
En effet lannée 1332 H (1913), qui fut lannée de sa naissance, fut également lannée du décès du grand savant de Syrie Jamaloud- dine al Qassimi . En fait, cette année là, le ciel de la Syrie perdit une étoile qui laissa apparaître à sa place un astre nouveau.
* Une belle fin :
Lannée de sa mort, 1420 H (1999), fut également lannée du décès du grand savant, le cheikh Abdoul Aziz ibn Abdillah ibn Baz . Oui, à quelques mois dintervalle nous perdîmes abou Abdillah, puis ensuite, abou Abdir-Rahmane, deux astres lumineux qui ont recouvert la planète entière, son ciel et sa terre, de lumière.
Telle fut linterprétation du rêve pieux que fit plus dun homme de bien à des moments proches et des lieux éloignés. En effet, il y a quelques mois certains virent en rêve deux étoiles immenses dans le ciel, leurs lumières éclairaient tout lhorizon, et cest alors que lune dentre elle tomba puis lautre suivie.
Oui, le monde est pratiquement dans les ténèbres après la perte de ces deux savants, eux, autour desquels Allah réunissait le bien, la science, la Dawa, la Aquida, le Minhaj et ce avec bonté et réforme.
Allah a permis, et à Lui le mérite, à lauteur de ces quelques lignes, de tenir compagnie au cheikh abou Abdir-Rahmane pendant 22 ans. Ce temps là, fut apprentissage bénéfique, amour, entraide et reforme. Jai été dans les derniers moments, honoré dune compagnie encore plus proche, dans sa maison, au sein de ses livres près de son bureau, pendant les huit derniers mois de sa vie bénie, marquée par la science, la vérification (des Hadiths). Cette vie finie par le bien et le bonheur -InchaAllah-.
Jai pu constater de lui des moments forts dans la science prouvant son importance et la place quil occupait et jen citerais certains à mes frères pour quils puissent en tirer profit et en faire profiter dautres :
Lorsque je lui ai annoncé le décès de cheikh ibn Baz il ne put contenir le pleur et versa de fortes larmes et prononça de bonnes paroles sur lui.
Il ne se languissait pas de sasseoir derrière son bureau, pour écrire et vérifier des ouvrages, et ce, car ses enfants et petits-enfants lui apportaient les livres jusquau 50e jour précédant sa mort, car son corps devint faible et il perdit ses forces. Malgré cela, il resta sain desprit, nétait pas sujet à loubli, son cur était fermement attaché au Coran et à la Sounnah.
Et comme on dit : « Si joublie, je noublierais pas », la conversation téléphonique que jai eu avec lui 30 jours environ avant son décès pour me demander de laider à retrouver un livre de Tafsir, lui appartenant. Il était différentiable, il se rappelait de sa forme, sa couleur Mais malheureusement je nai pas pu laider à le reconnaître.
DURANT LES 8 DERNIERS MOIS
DE SA VIE
raconté par son élève Ali Hassan Al Halabi Al Athari
بسم الله الرحمن الرحيم
Avant dentamer mes propos concernant notre cheikh, notre père, notre professeur «Assad as Sounnah, littéralement : Le lion de la Sounnah » et la fierté des Imams, abou Abdir-Rahman Mouhammad Naçiroud-dine al Albany , je noterais deux points très importants :
* Le début dun bien :
En effet lannée 1332 H (1913), qui fut lannée de sa naissance, fut également lannée du décès du grand savant de Syrie Jamaloud- dine al Qassimi . En fait, cette année là, le ciel de la Syrie perdit une étoile qui laissa apparaître à sa place un astre nouveau.
* Une belle fin :
Lannée de sa mort, 1420 H (1999), fut également lannée du décès du grand savant, le cheikh Abdoul Aziz ibn Abdillah ibn Baz . Oui, à quelques mois dintervalle nous perdîmes abou Abdillah, puis ensuite, abou Abdir-Rahmane, deux astres lumineux qui ont recouvert la planète entière, son ciel et sa terre, de lumière.
Telle fut linterprétation du rêve pieux que fit plus dun homme de bien à des moments proches et des lieux éloignés. En effet, il y a quelques mois certains virent en rêve deux étoiles immenses dans le ciel, leurs lumières éclairaient tout lhorizon, et cest alors que lune dentre elle tomba puis lautre suivie.
Oui, le monde est pratiquement dans les ténèbres après la perte de ces deux savants, eux, autour desquels Allah réunissait le bien, la science, la Dawa, la Aquida, le Minhaj et ce avec bonté et réforme.
Allah a permis, et à Lui le mérite, à lauteur de ces quelques lignes, de tenir compagnie au cheikh abou Abdir-Rahmane pendant 22 ans. Ce temps là, fut apprentissage bénéfique, amour, entraide et reforme. Jai été dans les derniers moments, honoré dune compagnie encore plus proche, dans sa maison, au sein de ses livres près de son bureau, pendant les huit derniers mois de sa vie bénie, marquée par la science, la vérification (des Hadiths). Cette vie finie par le bien et le bonheur -InchaAllah-.
Jai pu constater de lui des moments forts dans la science prouvant son importance et la place quil occupait et jen citerais certains à mes frères pour quils puissent en tirer profit et en faire profiter dautres :
Lorsque je lui ai annoncé le décès de cheikh ibn Baz il ne put contenir le pleur et versa de fortes larmes et prononça de bonnes paroles sur lui.
Il ne se languissait pas de sasseoir derrière son bureau, pour écrire et vérifier des ouvrages, et ce, car ses enfants et petits-enfants lui apportaient les livres jusquau 50e jour précédant sa mort, car son corps devint faible et il perdit ses forces. Malgré cela, il resta sain desprit, nétait pas sujet à loubli, son cur était fermement attaché au Coran et à la Sounnah.
Et comme on dit : « Si joublie, je noublierais pas », la conversation téléphonique que jai eu avec lui 30 jours environ avant son décès pour me demander de laider à retrouver un livre de Tafsir, lui appartenant. Il était différentiable, il se rappelait de sa forme, sa couleur Mais malheureusement je nai pas pu laider à le reconnaître.