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Etats-Unis Lors dune conversation sur messagerie instantanée avec lun de ses amis, le fondateur de Facebook aurait insulté les étudiants dHarvad de « ****** dabrutis« , prêts à lui confier leur vie privée.
La bévue date de 2004, à lépoque où Facebook nen était encore quà ses balbutiements, mais a été révélée tardivement. On lui attribue depuis un succès planétaire auprès de ses 400 millions de membres. Mais, on lui connaît aussi de plus de plus de réfractaires : ce réseau social virtuel na pas bonne réputation sur le sujet de la confidentialité et du respect des données privées qui y sont stockées. Mark Zuckerberg, créateur et PDG du site, en serait le premier à laffirmer : qui à part des « ****** dabrutis » accepteraient de lui confier des coordonnées ou des photos ?
Même si linstigateur de Facebook a écrit ces pensées à propos des premiers membres du site, les étudiants dHarvard (« Si tu as besoin dinfo sur qui que ce soit à Harvard, tu nas quà demander. Jai plus de 4.000 e-mails, images « ), les membres du réseau social, tel quil est aujourdhui, sont en droit de se demander ce que sont les réelles motivations de ce tout jeune milliardaire.
Ces révélations du Business insider sajoutent aux propos tenus par Charlie Cheever, un des collaborateurs de Mark Zuckerberg. Voilà ce quil soutient dans les pages du livre de David Kirkpatrick The Facebook Effect: « Jai limpression que Mark ne croit pas tellement en la vie privée, ou du moins pas comme un principe immuable.«
Les récriminations de lUnion Européenne et de quelques sénateurs américains, à propos du manque de confidentialité du site, retentissent encore auprès de certains membres : les déçus de Facebook associeront le geste à leurs paroles le 31 mai 2010 en organisant la journée mondiale du départ de Facebook (Quit Facebook day): à ce jour, près de 11 000 membres sont prêts à quitter le réseau social à cette date.
Etats-Unis Lors dune conversation sur messagerie instantanée avec lun de ses amis, le fondateur de Facebook aurait insulté les étudiants dHarvad de « ****** dabrutis« , prêts à lui confier leur vie privée.
La bévue date de 2004, à lépoque où Facebook nen était encore quà ses balbutiements, mais a été révélée tardivement. On lui attribue depuis un succès planétaire auprès de ses 400 millions de membres. Mais, on lui connaît aussi de plus de plus de réfractaires : ce réseau social virtuel na pas bonne réputation sur le sujet de la confidentialité et du respect des données privées qui y sont stockées. Mark Zuckerberg, créateur et PDG du site, en serait le premier à laffirmer : qui à part des « ****** dabrutis » accepteraient de lui confier des coordonnées ou des photos ?
Même si linstigateur de Facebook a écrit ces pensées à propos des premiers membres du site, les étudiants dHarvard (« Si tu as besoin dinfo sur qui que ce soit à Harvard, tu nas quà demander. Jai plus de 4.000 e-mails, images « ), les membres du réseau social, tel quil est aujourdhui, sont en droit de se demander ce que sont les réelles motivations de ce tout jeune milliardaire.
Ces révélations du Business insider sajoutent aux propos tenus par Charlie Cheever, un des collaborateurs de Mark Zuckerberg. Voilà ce quil soutient dans les pages du livre de David Kirkpatrick The Facebook Effect: « Jai limpression que Mark ne croit pas tellement en la vie privée, ou du moins pas comme un principe immuable.«
Les récriminations de lUnion Européenne et de quelques sénateurs américains, à propos du manque de confidentialité du site, retentissent encore auprès de certains membres : les déçus de Facebook associeront le geste à leurs paroles le 31 mai 2010 en organisant la journée mondiale du départ de Facebook (Quit Facebook day): à ce jour, près de 11 000 membres sont prêts à quitter le réseau social à cette date.