Les féministes radicales:: dénigrer pour mieux revendiquer

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Le cas du Québec

Les fausses statistiques sur la violence conjugale ... une maladie chronique ?

Toutes les infos sont véridiques et vérifiables, en cas de doute n'hésiter pas à me questionner. Bien que ces données concerne le Québec, la même problématique se retrouve dans d'autres pays occidentaux.

Ces statistiques truquées, frise le ridicule et sonne faux, mais voilà, ont nous en sort régulièrement et ont nous les balances comme étant des « vérités » (des exemples seront cités plus bas) et tout homme qui les conteste est perçu comme un « insensible » ou un mysogine. J'ai voulu écrire un texte court, mais c'est impossible, je doit mettre un minimum de citations et de références pour que vous jugiez par vous même.

YouTube- Les perceptions faussées de la violence des hommes faites aux femmes

YouTube- Les enquetes de perception

Le lobby des féministes radicales exagèrent volontairement les statistiques officelles de violences et les diffusent dans les médias. Alors que les données venant d'études et de plusieurs instituts de statistiques, reconnues pour leur rigueur, converge à montrer une baisse substantielle de la criminalité violente, de la violence en générale (sauf chez les ados) et de la violence conjugale (baisse de 40% à 50 % en 30 ans) ainsi qu'une répartition égal de la violence conjugale (sauf pour une minorité de violence physique grave, commis par les hommes).

Nos féministes radicales s'évertue, par diverses stratégies, à gonfler les chiffres et à vouloir montrer une « hausse importante » ! de la violence et
qu'elle serait à sens unique, c-à-dire l'homme toujours l'agresseur et la femme,
la victime, comme le démontre la toute dernière pub télévisée.

http://www.stat.gouv.qc.ca/publications/conditions/pdf/ViolenceConjugale.pdf

http://www.lexpress.fr/actualite/societe/famille/la-verite-sur-les-violences-conjugales_485479.html

Beaucoup d'instances gouvernementales qui promeut « l'égalité » entre hommes et femmes, sont en fait occuper et diriger par une très grande
majorité de femmes, qui occupent des postes décisionnel les plus importants
en matière de politique social, les hommes occupants des postes de figurants.
Elles sont majoritaire, et quelques fois, exclusivement féminin dans les conseil
d'administrations.

- Le Conseil du Statut de la Femme (CSF)
- Le Secrétariat à la Condition Féminine
(a pour unique mission de soutenir des actions concrètes pour « l'égalité »,
en pratique, le titre est plus révélateur de son orientation)
- Ministère de l'Éducation
- Conseil de la Famille et de L'enfance
- Commission de l’équité salariale
- La Fédération des Femmes du Québec (''autonome'')

Par sa politique de ''discrimination positive'' le gouvernement en a voulu ainsi. Alors que l'égalité des sexes est devenu la norme, ne devrait-il pas y avoir de la mixité au sein du gouvernement, pour empêcher les dérives ?

Le but inavoué de cette inflation des chiffres, étant que la société
considère qu'il y a un « fléau » de violences et ait pour conséquence
un afflut plus important de subventions et de ressources consacrées aux femmes victimes et aux personnel qui y travaillent, comme le démontre
les rapports que ces groupes de femmes soumettent au gouvernement, ainsi
que de nombreux témoignages de femmes qui y ont travaillées (Anne Vaillancourt). (*1) (voir NOTE)

La publication des chiffres officielles, plus modestes,
ne sert pas bien leur cause. Leur revendications, quoique légitimes,
se fait au détriment des hommes en général et des inéquités lors des
divorces. Quelques sondages de perceptions, montre que les gens
sur-estiment de 300 % le taux réel de violence dans la société (*2).
Pour la violence conjugale, cette sur-estimation du taux réel, peut varier
de 5 à 20 fois ! (*3) Loin de banaliser la violence, je pense que les
documents et publicitées doivent refléter la réalité.

NOTE:

*1 à ce titre, les femmes n'ont rien à envier aux hommes, voir la ''corruption dans la construction''
*2 sur google, tapez: ''justice.gc.ca perceptions du public''
*3 voir le documentaire « pied de biche »
 
J'ouvre une parenthèse, personnellement, je suis « féministe », si ce terme vise à l'égalité des
hommes et des femmes, en droit, en dignité, au travail, etc... tout en respectant la spécificité
des sexes, bien entendu. Pour moi, l'égalité n'est pas négociable. Je suis conscient que
critiquer des propos de femmes est mal perçu. Dans une publicité qui met l'homme dans
une situation ridicule, c'est drôle et ça fait une bonne pub, mais remplacer l'homme par une
femme et ça ne passe pas, c'est du sexisme et des plaintes de féministes afflut,.. enfin
au Québec. Un humoriste noir qui ridiculise un blanc en spectacle, c'est drôle (Boucar Diouf)
Mais un humoriste blanc qui ridiculise un noir en spectacle, c'est du racisme ! (Jean-François Mercier
a reçu des menaces de mort !)

J'utilise le terme « radicale » car, eux-même utilise ce mot sur leur site internet, mais
évite judicieusement de l'utiliser dans les médias. Ce sont des féministes militantes qui verse dans
la victimisation à outrance, ils sont minoritaires au sein des féministes. L'équivalent chez
les hommes existe aussi, mais comme se sont ces groupes de femmes qui ''monopolise''
le droit de diffuser leur propos et la publicité tendancieuse, je trouve normal que l'ont critique
cette dérive. Bien que je suggère des liens, je n'appui pas forcément tout se qui se dit sur
ces sites internet.

QUELQUES STRATÉGIES UTILISÉES... DES CLASSIQUES:

- publier des statistiques (stats) anciennes, parfois de 20 ans, dont le taux de violence est plus élevé (*4) (voir NOTE au bas)

- indiquer l'augmentation du nombre de victimes en % est plus percutant, mais seul le « taux » reflète
bien la réalité de la prévalence de la violence, compte tenu de l'augmentation de la population. (*5)

- le mot « plainte » fait à la police, est souvent remplacer par le mot « condamnation » !

- transformer un « sondage de perception » en « situation réelle » sur le taux de violence ! (*6)

- ne considérer dans les études que les femmes victimes, donnant un biais méthodologique (*7)

- puisque le taux de violence a diminué, faire des cumul sur 20 ans devient plus pertinent (sisyphe.org)

- citations de stats hors contexte (Diane Lavallée, Présidente de CSF, 11 mars 2004 et sisyphe.org)

Le nombre des fausses stats publiées et diffusées depuis 25 ans sont considérable,
faute d'espace, je dois me résoudre à n'en citer qu'un petit nombre de 1985 à 2009:

- en 1985, le ministère des Affaires sociales du Québec publia dans tout les médias
que: « au Québec, en 1985, on estime à près de 300 000 le nombre de femmes
de plus de 15 ans, victime de violence conjugale qu'elle qu'en soit la forme » (*8)
le message véhiculé par la suite sera: « il y a 300 000 femmes battues au Québec »
ce chiffre était basé sur une « étude » de Linda McLeod et Andrée Cadieux

- le 17 Mai 1994, Linda McLeod avoue: « Mon estimation n'avait aucun semblant de
validité ou de fiabilité statistique ... c'était une supposition admise » ! (*8)

- la même année, la « fédération des ressources d'hébergements pour femmes
violentées » présente un avis au Ministère, dans lequel, elles révaluent le nombre
de femmes violentées à 658 000 !!! « la violence conjugale constitue une réelle
épidémie » disent-elles (*8)

en 2000, ont retrouve encore les « 300 000 femmes battues ! » dans les documents
diffusés par l'Association Féminine d'Éducation et d'Action Sociale, ainsi que dans les
dépliants diffusés à la population !

NOTE:

*4 « The White Ribbon Campaign » parmi d'autres, utilise des stats datant de ... 1993 !
*5 sur sisyphe.org, lettre de Jacques Brodeur en 2007, voir « La prévention de la violence chez les jeunes »
*6 sondage de perception fait par « Ipsos Descarie » en janv 2008, sur 803 personnes
*7 à partir de 1999, ont inclus la mixité dans de nouvelles études officielles de violences
*8 enquête complète disponible avec les sources, sur le site de l'après-rupture
 
et le 21 février 2009:

« La violence conjugale est le crime le plus répandu. Environ 300 000 femmes chaque
année en sont victimes et une cinquantaine en mourront » !! L’œil régional (*9)
(en moyenne, 12 en meurent, se qui est déjà trop). Le ministère concerné, a reconnu plus tard
que la source était suspecte et invalide. Des féministes qui ont appuyé par des articles ce chiffre,
ont avouer plus tard en entrevue, « ne pas se souvenir de ça » ! (ex: Hélène Pedneault) (*10)

au printemps 2008, une nouvelle campagne de publicité apparaît à la télé et dans les
journaux, intitulée: « Brisons le silence » et avance que: « 1 femme sur 3 sera victime
d'une agression sexuelle au cour de sa vie, si rien ne change » Quelques mois plus tard,
ont apprend lors d'une entrevue avec la ministre Christine St-Pierre du SCF (*11) que l'étude
« sérieuse » est en réalité un « SONDAGE DE PERCEPTION » !! (*6)
adieu la rigueur ! Dans tout les médias officielles, ont n'a passé sous
silence volontairement qu'il s'agissait en fait d'un sondage de perception !

entrevue avec la Ministre Christine St-Pierre:

http://visionlucide.blogspot.com/search/label/Christine St-Pierre

le 15 Nov 2009, Karina Marceau, journaliste et animatrice à la télé, a affirmé
presque les larmes aux yeux, en direct à la télé « 1 fille sur 3, sera agresser
sexuellement avant 18 ans, c'est une véritable pandémie » (La Joute, TQc)
Une déformation journalistique ?

La réalité en matière d'agression sexuelle est moins dramatique :
1 victime sur 3, est une fille (moins de 12 ans) et non « 1 sur 3 qui sera agresser .. »
(20 cas environ, par 100 000 habitants, Ministère de la Sécurité publique)
(bien qu'il y ait plus de cas dans la réalité, cela demeure en bas de 6 % de
la population de femmes)

D'après une étude effectuée en 2002 par Léger Marketing auprès de la
population canadienne, 98,8 % des femmes affirment n'avoir jamais été
victimes de violence physique de la part de leur conjoint.. (sur 1511 canadiens)

À plusieurs reprises, des hommes ont fait des demandes formelles au gouvernement
pour obtenir les sources à l'origine de stats douteuses, grâce à la « Loi sur l'accès à
l'information » pour n'avoir que toutes réponses que: « la recherche de documents
pouvant satisfaire à votre demande n'a donné aucun résultats » ! faut-il s'en étonner ?

La campagne du ''macaron de la rose'' du YWCA Canada, a déjà diffusé des dépliants
dans lequel, il est dit: « plus de 50 % des femmes du Canada seront victime de violence,
en général, avant l'âge de 25 ans » ! sans surprise, leur source est introuvable.

Ce commentaire extrait d'une lettre de Micheline Carrier (fondatrice du vaste site
internet féministe sisyphe.org) en dit long sur leur volonté d'exagération:

« Depuis des dizaines d’années, toutes les semaines, deux ou trois conjoints,
ex-conjoints, amis ou parfaits inconnus tuent des femmes » (2 déc 2009)(*12)
selon cette affirmation, environ 130 femmes serait victimes d'un homicides,
alors que dans la réalité c'est 4 fois moins ! (il y a environ 90 homicides au total
par années au québec, dont 1/3 de femmes, soit environ 30 femmes victimes)

autre lettre de Élaine Hémond (*13), ex-journaliste et féministe sur sisyphe.org:

« On peut aussi se demander s’il est dans la mission du Conseil du statut de
la femme d’atténuer la perception des ravages de la violence conjugale qui
tue encore des centaines de Québécoises chaque année. »

Vous avez bien lu: « des centaines » !!! (les données rapporte environ
une douzaine de cas par an, déjà trop certe)

Martin Dufresne, collaborateur à ''sisyphe.org'', tient à jour une liste de tout
les homicides de femmes et d'enfants depuis 1989, avec moultes détails.
il n'hésite pas à comptabiliser le nombre d'enfants tués par leur mère
comme ayant été commis par ... leur père !!! Cette liste est devenu un
palmarès macabre qu'ils affiche en grand format sur des murs de centres
pour femmes. (les stats montre pourtant que les homicides d'enfants sont
commis autant par les mères que par les pères, voir stats canada)

NOTE:

*9 source : L’œil régional, « Maison d’aide et d’hébergement ''La Clef sur la porte'' »
*10 voir: « comment vont les hommes » sur Dailymotion
*11 entrevue avec Sylvain Bouchard sur radio 93,3 MHz, en Mai 2008
*12 voir sisyphe.org .. Le film Polytechnique – Impressions en forme de malaise

le site sisyphe.org est cité souvent car il est très fréquenté dans ce domaine

*13 http://sisyphe.org/article.php3?id_article=2704
 
La campagne de sensibilisation à la violence conjugale initié par une conférence
de presse de Christine St-Pierre, le 25 nov 2008 est soudainement devenu:
« la campagne de sensibilisation envers la violence faite aux femmes »

le communiqué de presse du gouvernement indique que 14 209 femmes et 2 520 hommes
ont rapportés avoir été victimes de violence dans un contexte conjugale en 2002.
(à noter que l'ont parle de plaintes et non pas de condamnations)

En effet, en 2001, 2 chercheuses, Danielle Laberge et Sonia Gautier de l'Université de Montréal,
ont montré qu'à l'issu des procédures judiciaires, 2/3 des plaintes sont non fondées (*14)

Bien que 2/3 des femmes ne porte pas plainte, 2 fois plus d'hommes
que de femmes ne signalent pas la violence à la police.
(17 % vs 36% pour les femmes, stats Canada, 2009). Ils ne faut pas sans
surprendre puisque la « politique d'intervention en matière de violence
conjugale » a longtemps stipulé qu'en cas de plainte, les policiers
doivent arrêter l'homme, même si c'est l'homme qui porte plainte !
biaisant ainsi les statisques et violant la présomption d'innocence.
Souvent le but est d'avoir la garde exclusive des enfants, qui dans
près de 90 % va à la mère. Heureusement, dans une majorité de cas,
les divorces se termine ''bien'' sans recours aux tribunaux.

sur le site féministe de sisyphe.org, une lettre envoyer au Ministre de
l'éducation est reproduite, dans lequel ont peut lire: « Les crimes violents
des adultes canadiens ont augmenté de 400% au cours des 44 dernières
années » !! (*15) évidemment sans sources. La réalité c'est que le « taux »
de ''crimes violents par 100 000 habitants'' a diminué ! sauf pour les ados.

Cetaines féministes qui propage ces statistiques sont très mal à l'aise
quand elle sont questionné à ce sujet et patine pour s'en sortir:

http://www.radioego.com/ego/listen/1323

J'aime bien que les féministes radicales donne des leçons de rigueur statistiques ! :
Sur le site des féministes radicales « antipatriarcat.org », dans la section 8:
« vernis scientifique », ont peut lire: « les groupes d'hommes ont souvent
recours à l’utilisation de statistiques douteuses et hors contexte » !

« Des hommes manipulent les données et les statistiques dont il font état
pour appuyer leurs démonstrations. » Pierrette Bouchard (Gazette des femmes)
lors d'une conférence pour la Journée internationale des femmes en 2003.

Je les remercie, la vigilance est toujours la bienvenue !

Ces féministes radicales refuse toute les invitations à participer à un débat ou à une
entrevue, si ils savent qu'ils pourraient être critiqué par certains invités ou par l'animateur.
Qu'ont pense à Richard Martineau, animateur à la télé, qui dénonce les excès d'hommes
et aussi de femmes, mais seule ces dernières ont boycottées l'animateur.
Denise Bombardier, la ''papesse'' du féministe québécois, qui a aussi
critiqué les excès du féministe, n'est pas aimé par nos féministes radicales.
En l'absence de débat véritable, les entrevues tombe dans la complaisance et
le « politically correct », tournant à la propagande dirigé.
 
Plusieurs femmes ont démissionnées de leur emploi dans des centres pour femmes et
dénoncées se qu'elles appelle: « l'idéologie féministe » et le dénigrement systématique
des hommes qui est véhiculé parmi le personnel et non les victimes résidentes. En autre,
ont peut écouter sur internet le témoignage de Anne Vaillancourt, qui a travaillé plusieurs
années au « Centre Féminin du Saguenay » :

http://visionlucide.blogspot.com/2008/06/tmoignage-dune-travailleuse-au-centre.html

Le ''Vérificateur Général du Québec'' a remis son rapport il y a un an, dans lequel il trouve
anormal que plus de 500 millions $ soit dépensé chaque année dans des centres pour
femmes et autres centre communautaires, sans que ces derniers ne fournisse de rapport
financier. Des centres ont reçu une hausse de subventions, bien que qu'ils soit occupés
à 50 % et d'autre fois moins.

Ont ne peut comprendre les motivations derrières les exagérations statistiques
sans savoir qu'elle cachent certains enjeux sociaux fondamentaux, dont la garde
partagée et les pensions alimentaires.

En 2004, 16 groupes de femmes se sont opposé avec succès - en produisant leur propre
rapport - à se que le gouvernement applique les recommandations du rapport Rondeau.
Ce rapport, commandé par le gouvernement et produit par des chercheurs indépendants
(où les CLSC ont donné leur accord) trouvait urgent que des ressources soient disponibles
pour les hommes en difficultés, surtout suite à un divorce. (hébergements, consultations, supports)
À ce sujet, 10 fois plus d'argent est consacrer à des ressources pour les femmes. Depuis ce temps,
le rapport Rondeau dort sur les tablettes ... quand ont nie que des hommes peuvent être victimes,
il est normal de nier qu'ils aient besoin d'aide...

Aujourd'hui, le projet de loi C-422, qui suit le processus en voie d'être adopter, aurait pour résultat
de corriger les injustices subit par les hommes lors des divorces, autant du point de vue social (enfants) que
financier et sans que les droits des femmes soit lésés. Et bien, nos féministes radicales s'y oppose farouchement !
ainsi que le Bareau du Québec (les avocats) pour la raison que l'ont devine.

Des hommes et des femmes (en appui aux hommes) notamment Lise Bilodeau (ANCQ)(*16)
ont put se faire entendre en commission parlementaire et expliquer les inégalités subit par
les hommes. Ont ne peut que souhaiter qu'un vent de changement et d'égalité véritable
survienne et qu'ils soient vraiment appliquer pour que cesse la guerre des sexes. Le Québec
étant devenu le champion du monde de « l'union libre » ont peut comprendre qu'une majorité
d'hommes ayant vécu le divorce ne souhaite pas se remarier légalement. Ces injustices - parmi
d'autres causes - ne vont pas améliorer les choses.

http://visionlucide.blogspot.com/search/label/ANCQ

vos réactions ?

NOTE:

*14 http://www.esersoc.umontreal.ca/personnel/GAUTHIER_Sonia.html
*15 sur sisyphe.org, lettre de Jacques Brodeur en 2007, voir « La prévention de la violence chez les jeunes »
*16 regroupement de femmes et d'hommes http://www.ancq.qc.ca/
 
Merci à Rekona pour son étude bien documentée.

Aucune idéologie, si nobles que soient ses principes, ne justifie que l'on mente pour elle.

C'est clair que ceux qui contrôlent la diffusion de l'information publique ont souvent un biais anti-«mâle blanc hétéro».

On peut parler d'un retour du balancier. Après avoir été dénigrées pendant des siècles et tenues pour responsables de toutes sortes de fléaux, les femmes aujourd'hui sont en position de force et celles que Rekona appelle féministes radicales abusent de leur liberté et de leurs droits.

Il y a toutefois une différence entre l'idéologie officielle (qui avantage nettement les femmes) et les pratiques quotidiennes des gens ordinaires où les femmes sont encore exploitées et dominées. Mais comme le dit Rekona, les hommes se trouvent quelquefois dans le rôle de victimes et les femmes dans le rôle de bourreaux.
 
et je terminerai pas dire que tous les courants, tous les mouvements, ont leurs brebis galeuses et leurs radicaux, ce n'est pas une raison pour jeter le discrédit sur tous le reste.
 
Merci à Rekona pour son étude bien documentée.

Aucune idéologie, si nobles que soient ses principes, ne justifie que l'on mente pour elle.

C'est clair que ceux qui contrôlent la diffusion de l'information publique ont souvent un biais anti-«mâle blanc hétéro».

On peut parler d'un retour du balancier. Après avoir été dénigrées pendant des siècles et tenues pour responsables de toutes sortes de fléaux, les femmes aujourd'hui sont en position de force et celles que Rekona appelle féministes radicales abusent de leur liberté et de leurs droits.

Il y a toutefois une différence entre l'idéologie officielle (qui avantage nettement les femmes) et les pratiques quotidiennes des gens ordinaires où les femmes sont encore exploitées et dominées. Mais comme le dit Rekona, les hommes se trouvent quelquefois dans le rôle de victimes et les femmes dans le rôle de bourreaux.

Au Québec en tout cas, le féminisme est très bien implanté. Le meilleur exemple est les garderies et le système scolaire. Dans ces deux structures, l'agressivité naturelle (et saine) des garçons est fortement réprimé par les femmes qui contrôlent ces organismes, puisqu'elles perçoivent un conflit, alors qu'ils sont simplement en apprentissage naturel et instinctif.
Cette forme de castration psychologique a des effets à long terme désastreux.
En fait, il se développe une habitude de la passivité qui est contraire aux instincts naturels. En conséquence, il devient plus facilement victime qu'agresseur.
 
Au Québec en tout cas, le féminisme est très bien implanté. Le meilleur exemple est les garderies et le système scolaire. Dans ces deux structures, l'agressivité naturelle (et saine) des garçons est fortement réprimé par les femmes qui contrôlent ces organismes, puisqu'elles perçoivent un conflit, alors qu'ils sont simplement en apprentissage naturel et instinctif.
Cette forme de castration psychologique a des effets à long terme désastreux.
En fait, il se développe une habitude de la passivité qui est contraire aux instincts naturels. En conséquence, il devient plus facilement victime qu'agresseur.

The War Against Boys, de Christina Hoff Sommers:

http://www.americanexperiment.org/uploaded/files/aeqv4n1sommers.pdf
 
Au Québec en tout cas, le féminisme est très bien implanté. Le meilleur exemple est les garderies et le système scolaire. Dans ces deux structures, l'agressivité naturelle (et saine) des garçons est fortement réprimé par les femmes qui contrôlent ces organismes, puisqu'elles perçoivent un conflit, alors qu'ils sont simplement en apprentissage naturel et instinctif.
Cette forme de castration psychologique a des effets à long terme désastreux.
En fait, il se développe une habitude de la passivité qui est contraire aux instincts naturels. En conséquence, il devient plus facilement victime qu'agresseur.

J'ai beaucoup souffert de cette agressivité (et j'avoue que j'en ai fait souffrir d'autres). Ça m'a rendu un peu pessimiste... Oui cette agressivité est naturelle (génétique) bien qu'elle soit plus ou moins réprimée par la société, parfois encouragée par elle par la désignation de boucs émissaires. Mais attention ici au paralogisme naturaliste!! Il y a une différence entre «naturel» et «bien».
 
Ce que je regrette le plus, c’est que ce genre d’excès risque de discréditer et causer du tort aux femmes qui souffrent vraiment de violences (toutes confondues) même si (heureusement) elles sont minoritaires. On finira par mettre leur parole en doute voire même ne plus les écouter :(

Au fait Rekona, elles se chiffrent à combien ces féministes radicales (en %) par rapport au reste de la population ?
 
Merci à Rekona pour son étude bien documentée.

Aucune idéologie, si nobles que soient ses principes, ne justifie que l'on mente pour elle.

C'est clair que ceux qui contrôlent la diffusion de l'information publique ont souvent un biais anti-«mâle blanc hétéro».

On peut parler d'un retour du balancier. Après avoir été dénigrées pendant des siècles et tenues pour responsables de toutes sortes de fléaux, les femmes aujourd'hui sont en position de force et celles que Rekona appelle féministes radicales abusent de leur liberté et de leurs droits.

Il y a toutefois une différence entre l'idéologie officielle (qui avantage nettement les femmes) et les pratiques quotidiennes des gens ordinaires où les femmes sont encore exploitées et dominées. Mais comme le dit Rekona, les hommes se trouvent quelquefois dans le rôle de victimes et les femmes dans le rôle de bourreaux.

C'est vrai, que jadis les femmes ont souffert du machisme des hommes. Se que l'ont observe aujourd'hui n'est pas de la vengeance des femmes, mais
bien une opportunité de tirer certains avantages grâce à une tactique
douteuse.

Je pense que le sexisme entre homme-femme peut être réduit par l'éducation et la sensibilisation. Mais la problématique social que j'ai évoqué, c-à-dire les effets sociaux négatifs après la séparation peuvent être diminuer par la mise à jour du processus judiciaire entourant cette industrie du divorce.

Un exemple concret, est-ce normal de débourser des milliers de dollards, pour aller en cour et faire appliquer une décision du juge ou une ré-évaluation ponctuel, demandant en principe 5 minutes ? (changement au revenu, droit de visite parental non respecté, ...) Combien de pères, à regret, faute d'argent, doivent se résigner à perdre le contact avec leurs enfants ? Ces enfants penseront que leur pères ne veut pas les voir. Personnellement, je
suis pas concerné, mais j'en connaît qui sont dans cette situation.

Il semble qu'au Québec, ce processus judico-bureaucratique, atteint des sommets inégalés - aux bonheurs des avocats - et ont constate les piètres résultats.
 
Ce que je regrette le plus, c’est que ce genre d’excès risque de discréditer et causer du tort aux femmes qui souffrent vraiment de violences (toutes confondues) même si (heureusement) elles sont minoritaires. On finira par mettre leur parole en doute voire même ne plus les écouter :(

Au fait Rekona, elles se chiffrent à combien ces féministes radicales (en %) par rapport au reste de la population ?

Le terme « radicale » est relatif, il y a une zone grise entre les féministes
« normales » et le radicalisme, tout comme les hommes. Impossible de dire
un pourcentage précis, mais j'évalue le nombre de 1 à 10 %.

Il y a environ quelques dizaines de femmes radicales qui sont à des postes clé au sein du gouvernement. Et quelques centaines qui sont plus militantes au sein de regroupements de femmes qui ont moins de pouvoir, mais beaucoup d'influence au niveau social dans la société.
 
Ah mais non…dans ce que j’ai lu (tes articles) il s’agit bien deféminisme radical. C’est très important parce qu’il faut bien les distinguer de celles qui se sont battues sans relâche pour que nous puissions jouir des mêmes droits en tant que citoyennes…et il y a encore du boulot à faire dans certains domaines…beaucoup de boulot.


De Wiki :

"Le féminisme radical est un courant du féminisme qui apparaît à la fin des années 1960 et qui voit en l'oppression des femmes au bénéfice des hommes (ou patriarcat) le fondement du système de pouvoir sur lequel les relations humaines dans la société sont organisées.Le féminisme radical se démarque des mouvements féministes qui visent à l'amélioration de la condition féminine par des aménagements de législation (réformisme) sans mettre en cause le système patriarcal bien que certaines féministes radicales (Catharine MacKinnon et Andrea Dworkin) aient précisément centrées leur lutte sur des réformes législatives."

"Avec d'autres, ce courant cherche à contester le modèle réformiste en rejetant les rôles sexuels archétypaux et en critiquant l'essentialisme, qui naturalise le rôle social de la femme en en faisant une donnée biologique, propre à sa constitution sexuelle. Il accompagne la libération sexuelle et le mouvement de libération des femmes aux États-Unis, en Angleterre, au Canada et en France."

"Les féministes radicales utilisent le concept marxiste d'oppression, qui signifie que le lien social est organisé de manière centrale par un rapport d’exploitation, c’est-à-dire d’appropriation de la force de travail du subalterne par le dominant (exploitation au sens capitaliste) voire d’appropriation du subalterne comme unité de productrice de force de travail (esclavage). Néanmoins, les féministes radicales rejettent le privilège donné à la lutte des classes par le marxisme, soulignant l'importance des inégalités de genre, y compris dans la sphère de la production."

"Le féminisme radical est souvent antireligieux dans la mesure où il rejette ce qui lui semble être le patriarcat. Par contre, il y existe des groupes de féministes radicales qui prônent le néopaganisme, la sorcellerie, le culte de Diane, Isis et Lilith, etc."


Bon à 1 à 10%, y a de la marge, mais c’est relativement minoritaire même si elles occupent des postes clés. Cela dit, ces radicales sont pour moi des castratrices …non franchement, je n’en peux plus de leurs discours. Je ne sais pas, elles me donnent l’impression de vouloir assujettir l’homme au statut d’esclave, sans parler de la confusion des rôles (selon le genre) que leur discours entrainent, la victimisation à outrance et les revendications sommes toutes contestables si l’on se considère Égales aux messieurs … bien qu’à mon sens on soit plus complémentaires qu’égaux…que peut on leur souhaiter ? qu’elles n’aient pas de fils ? :eek:

Il est a souhaiter que des mesures soient prises pour leurs excès et rétablir certaines vérités. Je trouve étrange quand même qu’elles aient autant de pouvoir, les hommes de chez vous auraient-ils des choses à se reprocher ?? je ne saisi pas bien ce phénomène…
 
Ah mais non…dans ce que j’ai lu (tes articles) il s’agit bien deféminisme radical. C’est très important parce qu’il faut bien les distinguer de celles qui se sont battues sans relâche pour que nous puissions jouir des mêmes droits en tant que citoyennes…et il y a encore du boulot à faire dans certains domaines…beaucoup de boulot.


De Wiki :

"Le féminisme radical est un courant du féminisme qui apparaît à la fin des années 1960 et qui voit en l'oppression des femmes au bénéfice des hommes (ou patriarcat) le fondement du système de pouvoir sur lequel les relations humaines dans la société sont organisées .................


Il est a souhaiter que des mesures soient prises pour leurs excès et rétablir certaines vérités. Je trouve étrange quand même qu’elles aient autant de pouvoir, les hommes de chez vous auraient-ils des choses à se reprocher ?? je ne saisi pas bien ce phénomène…

Je n'ai pas voulu m'attardé à faire l'analyse du terme « féminisme radicale »,
j'ai employé ce terme dans le sens commun, c-à-dire: « d'excessif » ou comme j'ai écris de « féministes militantes » se victimisant plus que nécessaire. Elles mêmes, ne se soucie guère de se conformer à la définition
stricte comme celle de wikipédia.

Au Québec, il n'y a plus de patriacart systématique et institutionnaliser comme dans les années 1960, si non, se sont des attitudes individuelles.
Elles se servent souvent du terme: « patriacart dominant » pour se victimiser.
Elles affirment par exemple qu'elles sont sous-représentées dans certains
métiers. Se qui est vrai, mais la cause n'est nullement le « patriarcat dominant », mais dépend de leur choix personnel de se former dans un métier
en majorité masculin. Tout comme des hommes choississent de ne pas aller dans certains métiers traditionnellement occupé par des femmes. Par exemple,
il y a 21 % de femmes inscrite à la Polytechnique (école d'ingénierie) à Montréal. Peut ont accuser un quelconque « patriacart » si il n'y a pas plus
de femmes ne s'intéresse aux métier d'ingénieur ? D'ailleurs, les femmes inscritent se disent satifaitent des relations social hommes-femmes qui y règne. Les femmes s'incrivent plus dans les facultés de médecine plus de
50 % ! peut-être parce que le métier est plus en lien avec un côté humain,
il y a moins de « science dure ».
 
J'ai beaucoup souffert de cette agressivité (et j'avoue que j'en ai fait souffrir d'autres). Ça m'a rendu un peu pessimiste... Oui cette agressivité est naturelle (génétique) bien qu'elle soit plus ou moins réprimée par la société, parfois encouragée par elle par la désignation de boucs émissaires. Mais attention ici au paralogisme naturaliste!! Il y a une différence entre «naturel» et «bien».

Ça va plus loin que ça.

J'ai assisté à une conférence d'un certain Carol Alain, très compétent d'ailleurs.

La génération "y", celle qui émerge (18 -31 ans environ) a des caractéristiques plutôt troublantes. On n'a qu'à constater les employeurs qui se plaignent régulièrement de cette génération, de la manière dont ils pratiquent leur sexualité, leurs relations (superficielles) amoureuses, leur façons de se traiter mutuellement.
Ils ne sont pas tous comme ça, évidemment, mais il a une forte tendance, qui a été forgée par une société matriarcale implacable.

Je ne veux pas dire qu'une société patriarcale est meilleure. Mais un juste équilibre où les femmes ne se mêlent pas de ce qui se rapporte aux hommes et les hommes ne se mêlent pas de ce qui se rapporte aux femmes.


Présentement, le système scolaire est adapté aux filles et on constate que le décrochage des garçons est sans précédent.
Avant, le décrochage était beaucoup moins élevé, tant chez les garçons que chez les filles.
 
C'est vrai, que jadis les femmes ont souffert du machisme des hommes. Se que l'ont observe aujourd'hui n'est pas de la vengeance des femmes, mais
bien une opportunité de tirer certains avantages grâce à une tactique
douteuse.

Je pense que le sexisme entre homme-femme peut être réduit par l'éducation et la sensibilisation. Mais la problématique social que j'ai évoqué, c-à-dire les effets sociaux négatifs après la séparation peuvent être diminuer par la mise à jour du processus judiciaire entourant cette industrie du divorce.

Un exemple concret, est-ce normal de débourser des milliers de dollards, pour aller en cour et faire appliquer une décision du juge ou une ré-évaluation ponctuel, demandant en principe 5 minutes ? (changement au revenu, droit de visite parental non respecté, ...) Combien de pères, à regret, faute d'argent, doivent se résigner à perdre le contact avec leurs enfants ? Ces enfants penseront que leur pères ne veut pas les voir. Personnellement, je
suis pas concerné, mais j'en connaît qui sont dans cette situation.

Il semble qu'au Québec, ce processus judico-bureaucratique, atteint des sommets inégalés - aux bonheurs des avocats - et ont constate les piètres résultats.

C'est vrai, la loi sur les pensions alimentaires a été faite avec un préjugé favorable envers la femme.
Je connais une femme, membre de ma famille qui a utilisé les mesures prévues par la loi en faisant une simple déclaration non confirmée (et mensongère) pour faire saisir les revenus de son ex, qui était retraité.
Évidemment, elle a tout fait pour retarder le remboursement de ce qu'elle avait reçu en trop grâce aux saisies (en fait, elle n'a pas tout remboursé).

c'est pareil pour la police. Une femme se plaint de violence, l'homme est immédiatement embarqué et emprisonné 24 heures minimum sans qu'il y ait la moindre preuve présentée. Les personnes particulièrement méchantes vont porter plainte le vendredi soir puisque durant la fin de semaine, il n'y a pas de juge pour ordonner une libération.
Ou les "rapts d'enfants". Le père ramène les enfants ne serait-ce que 1 heures plus tard (circulation dense, peu importe) et certaines vont directement à la police pour signaler un rapt. Heureusement, les policiers commencent à voir clair dans le jeu de certaines, mais Dura lex, sed lex. Ils doivent suivre la loi et la procédure, même si ils savent que ça n'a aucun sens.
 
Ça va plus loin que ça.

J'ai assisté à une conférence d'un certain Carol Alain, très compétent d'ailleurs.

La génération "y", celle qui émerge (18 -31 ans environ) a des caractéristiques plutôt troublantes. On n'a qu'à constater les employeurs qui se plaignent régulièrement de cette génération, de la manière dont ils pratiquent leur sexualité, leurs relations (superficielles) amoureuses, leur façons de se traiter mutuellement.
Ils ne sont pas tous comme ça, évidemment, mais il a une forte tendance, qui a été forgée par une société matriarcale implacable.

J'appartiens à la génération Y et j'ai effectivement des problèmes d'adaptation, dont les causes sont sans doute multiples. Adolescent, je vivais dans un monde absurde où les gens se préoccupaient d'écraser leur voisin pour mieux se mettre en valeur, de chercher constamment des plaisirs violents et destructeurs, de défendre son honneur, d'agresser les «déviants» (ceux perçus comme gays et malades mentaux notamment) sans raison autre que la haine dans leur coeur et finalement d'exercer une activité de surveillance et de répression de tout ce qui ne se conformait pas aux normes étroites de cette sous-culture mortifère. Je ne vais pas critiquer des techniques d'éducation qui essaient d'inhiber l'expression du Mal radical dans le coeur des adolescents si je considère toute la souffrance dont celui-ci s'est rendu responsable.
 
Ce que je regrette le plus, c’est que ce genre d’excès risque de discréditer et causer du tort aux femmes qui souffrent vraiment de violences (toutes confondues) même si (heureusement) elles sont minoritaires. On finira par mettre leur parole en doute voire même ne plus les écouter :(

Au fait Rekona, elles se chiffrent à combien ces féministes radicales (en %) par rapport au reste de la population ?
et aussi par rapport aux nombres de femmes violentées physiquement, sexuellement ou moralement?
Les salaires des femmes sont généralement inférieurs aux salaires des hommes. Peu de femmes aux postes de décision au sein des entreprises....
On peut critiquer les statistiques et on peut aussi tout faire dire aux statistiques, c'est connu. Mais il ne faut pas occulter les problèmes de vie des femmes (toutes).
 
C'est vrai, la loi sur les pensions alimentaires a été faite avec un préjugé favorable envers la femme.
Je connais une femme, membre de ma famille qui a utilisé les mesures prévues par la loi en faisant une simple déclaration non confirmée (et mensongère) pour faire saisir les revenus de son ex, qui était retraité.
Évidemment, elle a tout fait pour retarder le remboursement de ce qu'elle avait reçu en trop grâce aux saisies (en fait, elle n'a pas tout remboursé).

c'est pareil pour la police. Une femme se plaint de violence, l'homme est immédiatement embarqué et emprisonné 24 heures minimum sans qu'il y ait la moindre preuve présentée. Les personnes particulièrement méchantes vont porter plainte le vendredi soir puisque durant la fin de semaine, il n'y a pas de juge pour ordonner une libération.
Ou les "rapts d'enfants". Le père ramène les enfants ne serait-ce que 1 heures plus tard (circulation dense, peu importe) et certaines vont directement à la police pour signaler un rapt. Heureusement, les policiers commencent à voir clair dans le jeu de certaines, mais Dura lex, sed lex. Ils doivent suivre la loi et la procédure, même si ils savent que ça n'a aucun sens.

À se que je sache, aucune femme n'a été condamné pour fausse déclaration
d'agression sexuel de l'époux, pour avoir la garde des enfants (outrage au tribunal). Bien que la loi prévoit une sanction, les directives sont de ne pas
poursuivre, pour ne pas découragé les vrais victimes à porter plainte. Et qu'est-ce qui peut découragé les fausses déclarations si les sanctions ne
sont pas appliquées ?!! il y a tant d'aberrations...

Oui, les histoires comme tu raconte, sont malheureusement fréquentes. Des féministes militantes racontent souvent que les hommes ''s'enrichissent'' après une séparation, je pense plutôt que c'est l'inverse, surtout avec le prix que les avocats exigent ... Je connaît un proche qui a refusé un emploi bien payé pour un autre plus modeste sachant que se surplus de revenu irait gonfler la pension alimentaire pour son ex-femme qui refuse de travaillée, bien qu'elle soit apte et que les enfants ont quitté le nid familiale depuis plusieurs années. Je crois que le québec est peut être le seul endroit au monde où la pension doit être payé jusqu'à un an après la mort du débiteur ! la succession du nouveau conjoint doit prévoir 12 mois de pension alimentaire à l’ex .. (Code civil du Québec, art. 684)
 
et aussi par rapport aux nombres de femmes violentées physiquement, sexuellement ou moralement?
Les salaires des femmes sont généralement inférieurs aux salaires des hommes. Peu de femmes aux postes de décision au sein des entreprises....
On peut critiquer les statistiques et on peut aussi tout faire dire aux statistiques, c'est connu. Mais il ne faut pas occulter les problèmes de vie des femmes (toutes).

C'est vrai que plus de femmes sont victimes d'agressions sexuelles. Ont peut dire aussi que plus d'hommes que de femmes voit le droit de voir leurs enfants
bafouer, qui est aussi une forme de violence, sans compter les fausses accusations qui détruit des vies. Et que 90 % des itinérants sont des hommes qui n'ont pas choisi cette situation et n'ont pas les ressources nécessaire comme les femmes. À tout comparer, les femmes et les hommes souffre de situations déplorables.

Le 3 décembre dernier, lors d'une entrevue à radio-canada, la ministre des transports Monique Jérôme Forget (prend sa retraite) a affirmé que pendant toute sa carrière en politique elle n'a jamais vu d'homme refusé une promotion. Alors, qu'elle a règulièrement vu des femmes refusées des postes et des promotions. L'anatomie des femmes et le désir d'enfants, explique bien la difficulté de celle-ci de conjuger profession et vie familiale et je comprend bien la situation. D'ailleurs, c'est une des raisons qui explique pourquoi elle ont
un revenu plus faible. En général, elles travaillent 20 % de moins que les hommes /an. Et leur leur salaires horaire moyen est légèrement inférieur à celui des hommes, expliquable par le fait qu'elle travaillent moins, (22.56 $ pour les hommes et 19.56 $ pour les femmes). D'un autre côté, elles ont droit à une compensation financière quand elle prenne un congé de maternité et sont appuyer financièrement par leur conjoints dans ces cas. Ces sommes d'argent ne sont pas toujours calculés comme un revenu, comme la pension alimentaire aussi.
 
Le Canada est composé d'états fédérés dont certains permettent aux religieux de "s'occuper du droit des familles". Si un des conjoints refuse l'intervention des religieux le problème est traité devant un tribunal officiel où les règles religieuses n'ont pas leur place.
Nous connaissons tous des couples divorcés dont aucun des ex conjoints n'est satisfait ni du montant de la pension alimentaire ni de l'attribution de la garde des enfants. Les cas les plus pénibles sont ceux des couples dont les conjoints vivent dans des pays éloignés et pour lesquels le principe de garde alternée et les W-E ou vacances chez l'autre parent sont impossibles ou très rares, à moins d'être extrêmement riches. Nous connaissons aussi des cas où l'affaire traitée dans deux pays différents donne des jugements contradictoires (les lois et la jurisprudence sont différentes).
Demander aux parents de penser au bien des enfants? Ils ne partagent pas la même opinion. Sinon leurs avocats auraient proposé leur solution au juge qui l'aurait acceptée. Pareil pour le montant de la pension alimentaire.
 
Je ne connais pas les lois canadiennes.
En Belgique (en France aussi) existe ce qu'on appelle l'obligation alimentaire. Cette obligation porte bien sûr sur les aliments mais aussi sur le logement, les frais d'études, les frais d'habillement....
L'obligation alimentaire lie les parents et leurs enfants. Cette obligation est réciproque et sa durée peut paraitre longue. Par exemple les parents doivent payer les études de leurs enfants même majeurs. Par exemple les enfants doivent, si c'est nécessaire, intervenir dans le paiement de la maison de retraite de leurs parents.
L'obligation alimentaire vaut aussi envers les beaux-parents..
 
Pendant le mariage, chaque conjoint doit contribuer aux charges du ménage en proportion de ses ressources. Ce qui revient à imposer, dans la pratique, une obligation alimentaire entre conjoints.
Cette obligation subsiste si les conjoints engagent une procédure de divorce ou de séparation de corps. En fonction de sa situation matérielle, un des conjoints peut donc être amené à verser à l’autre une pension alimentaire. . C'est pareil en France. :)
En Belgique, le montant de la "pension alimentaire" ne subit aucune limite: votre employeur, sur demande du tribunal, peut vous retenir tout le montant qui sera versé à l'autre conjoint même si après vous n'avez plus de quoi vivre. Dans ce cas il faut demander l'aide sociale (C.P.A.S.)
 
Il est évident que si une épouse se sent bernée par son mari (mariage sans amour, maltraitance, interdiction de travailler à l'extérieur....) ou simplement par intérêt elle refusera l'intervention des religieux et s'adressera à un tribunal officiel.
Par contre l'épouse qui a des revenus importants/suffisants acceptera l'intervention des religieux: c'est beaucoup plus rapide et, surtout c'est beaucoup moins dispendieux (pas de frais de procédure, pas de paiement d'avocats).
 
Le mariage est un acte très sérieux. On ne peut pas se débarrasser, par exemple, d'une épouse comme on jette un kleenex (c'est valable dans l'autre sens aussi)....
Imaginez la tête d'un gars qui fait un mariage arrangé et qui se retrouve à payer une pension alimentaire à ses beaux-parents puis à son épouse divorcée.....
 
Il est évident que si une épouse se sent bernée par son mari (mariage sans amour, maltraitance, interdiction de travailler à l'extérieur....) ou simplement par intérêt elle refusera l'intervention des religieux et s'adressera à un tribunal officiel.
Par contre l'épouse qui a des revenus importants/suffisants acceptera l'intervention des religieux: c'est beaucoup plus rapide et, surtout c'est beaucoup moins dispendieux (pas de frais de procédure, pas de paiement d'avocats).

Ici, au Canada et encore plus au Québec, en cas de divorce, « l'intervention religieuse » n'est pas du tout demander. Un peu plus de femmes que d'hommes demande le divorce. Quand un couple ne se tolère plus, ils ne voient
pas de possibilité d'arranger les choses, même avec une éventuel
« intervention religieuse ». La loi impose qu'il y ait une séparation officielle par
les lois civile et les couples divorcés ne sont pas admis pour un remariage dans l'Église catholique. Ici la religion, est considérer avec un peu de méfiance
et les gens ne sont pas autant pratiquant que dans les pays musulmans,
environ 15 % des catholiques sont pratiquant.


Pendant le mariage, chaque conjoint doit contribuer aux charges du ménage en proportion de ses ressources. Ce qui revient à imposer, dans la pratique, une obligation alimentaire entre conjoints.
Cette obligation subsiste si les conjoints engagent une procédure de divorce ou de séparation de corps. En fonction de sa situation matérielle, un des conjoints peut donc être amené à verser à l’autre une pension alimentaire. . C'est pareil en France. :)
En Belgique, le montant de la "pension alimentaire" ne subit aucune limite: votre employeur, sur demande du tribunal, peut vous retenir tout le montant qui sera versé à l'autre conjoint même si après vous n'avez plus de quoi vivre. Dans ce cas il faut demander l'aide sociale (C.P.A.S.)

Je ne m'oppose pas à la pension alimentaire, mais je critique la manière dont
le système fonctionne. Au québec, la pension est directement perçu sur la paie. Je trouve anormal, que tout doit passer par les avocats, à ce titre, le système est déficient. Certains pays ont de meilleures méthodes de fonctionnement.
 
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