Le cas du Québec
Les fausses statistiques sur la violence conjugale ... une maladie chronique ?
Toutes les infos sont véridiques et vérifiables, en cas de doute n'hésiter pas à me questionner. Bien que ces données concerne le Québec, la même problématique se retrouve dans d'autres pays occidentaux.
Ces statistiques truquées, frise le ridicule et sonne faux, mais voilà, ont nous en sort régulièrement et ont nous les balances comme étant des « vérités » (des exemples seront cités plus bas) et tout homme qui les conteste est perçu comme un « insensible » ou un mysogine. J'ai voulu écrire un texte court, mais c'est impossible, je doit mettre un minimum de citations et de références pour que vous jugiez par vous même.
YouTube- Les perceptions faussées de la violence des hommes faites aux femmes
YouTube- Les enquetes de perception
Le lobby des féministes radicales exagèrent volontairement les statistiques officelles de violences et les diffusent dans les médias. Alors que les données venant d'études et de plusieurs instituts de statistiques, reconnues pour leur rigueur, converge à montrer une baisse substantielle de la criminalité violente, de la violence en générale (sauf chez les ados) et de la violence conjugale (baisse de 40% à 50 % en 30 ans) ainsi qu'une répartition égal de la violence conjugale (sauf pour une minorité de violence physique grave, commis par les hommes).
Nos féministes radicales s'évertue, par diverses stratégies, à gonfler les chiffres et à vouloir montrer une « hausse importante » ! de la violence et
qu'elle serait à sens unique, c-à-dire l'homme toujours l'agresseur et la femme,
la victime, comme le démontre la toute dernière pub télévisée.
http://www.stat.gouv.qc.ca/publications/conditions/pdf/ViolenceConjugale.pdf
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/famille/la-verite-sur-les-violences-conjugales_485479.html
Beaucoup d'instances gouvernementales qui promeut « l'égalité » entre hommes et femmes, sont en fait occuper et diriger par une très grande
majorité de femmes, qui occupent des postes décisionnel les plus importants
en matière de politique social, les hommes occupants des postes de figurants.
Elles sont majoritaire, et quelques fois, exclusivement féminin dans les conseil
d'administrations.
- Le Conseil du Statut de la Femme (CSF)
- Le Secrétariat à la Condition Féminine
(a pour unique mission de soutenir des actions concrètes pour « l'égalité »,
en pratique, le titre est plus révélateur de son orientation)
- Ministère de l'Éducation
- Conseil de la Famille et de L'enfance
- Commission de léquité salariale
- La Fédération des Femmes du Québec (''autonome'')
Par sa politique de ''discrimination positive'' le gouvernement en a voulu ainsi. Alors que l'égalité des sexes est devenu la norme, ne devrait-il pas y avoir de la mixité au sein du gouvernement, pour empêcher les dérives ?
Le but inavoué de cette inflation des chiffres, étant que la société
considère qu'il y a un « fléau » de violences et ait pour conséquence
un afflut plus important de subventions et de ressources consacrées aux femmes victimes et aux personnel qui y travaillent, comme le démontre
les rapports que ces groupes de femmes soumettent au gouvernement, ainsi
que de nombreux témoignages de femmes qui y ont travaillées (Anne Vaillancourt). (*1) (voir NOTE)
La publication des chiffres officielles, plus modestes,
ne sert pas bien leur cause. Leur revendications, quoique légitimes,
se fait au détriment des hommes en général et des inéquités lors des
divorces. Quelques sondages de perceptions, montre que les gens
sur-estiment de 300 % le taux réel de violence dans la société (*2).
Pour la violence conjugale, cette sur-estimation du taux réel, peut varier
de 5 à 20 fois ! (*3) Loin de banaliser la violence, je pense que les
documents et publicitées doivent refléter la réalité.
NOTE:
*1 à ce titre, les femmes n'ont rien à envier aux hommes, voir la ''corruption dans la construction''
*2 sur google, tapez: ''justice.gc.ca perceptions du public''
*3 voir le documentaire « pied de biche »
Les fausses statistiques sur la violence conjugale ... une maladie chronique ?
Toutes les infos sont véridiques et vérifiables, en cas de doute n'hésiter pas à me questionner. Bien que ces données concerne le Québec, la même problématique se retrouve dans d'autres pays occidentaux.
Ces statistiques truquées, frise le ridicule et sonne faux, mais voilà, ont nous en sort régulièrement et ont nous les balances comme étant des « vérités » (des exemples seront cités plus bas) et tout homme qui les conteste est perçu comme un « insensible » ou un mysogine. J'ai voulu écrire un texte court, mais c'est impossible, je doit mettre un minimum de citations et de références pour que vous jugiez par vous même.
YouTube- Les perceptions faussées de la violence des hommes faites aux femmes
YouTube- Les enquetes de perception
Le lobby des féministes radicales exagèrent volontairement les statistiques officelles de violences et les diffusent dans les médias. Alors que les données venant d'études et de plusieurs instituts de statistiques, reconnues pour leur rigueur, converge à montrer une baisse substantielle de la criminalité violente, de la violence en générale (sauf chez les ados) et de la violence conjugale (baisse de 40% à 50 % en 30 ans) ainsi qu'une répartition égal de la violence conjugale (sauf pour une minorité de violence physique grave, commis par les hommes).
Nos féministes radicales s'évertue, par diverses stratégies, à gonfler les chiffres et à vouloir montrer une « hausse importante » ! de la violence et
qu'elle serait à sens unique, c-à-dire l'homme toujours l'agresseur et la femme,
la victime, comme le démontre la toute dernière pub télévisée.
http://www.stat.gouv.qc.ca/publications/conditions/pdf/ViolenceConjugale.pdf
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/famille/la-verite-sur-les-violences-conjugales_485479.html
Beaucoup d'instances gouvernementales qui promeut « l'égalité » entre hommes et femmes, sont en fait occuper et diriger par une très grande
majorité de femmes, qui occupent des postes décisionnel les plus importants
en matière de politique social, les hommes occupants des postes de figurants.
Elles sont majoritaire, et quelques fois, exclusivement féminin dans les conseil
d'administrations.
- Le Conseil du Statut de la Femme (CSF)
- Le Secrétariat à la Condition Féminine
(a pour unique mission de soutenir des actions concrètes pour « l'égalité »,
en pratique, le titre est plus révélateur de son orientation)
- Ministère de l'Éducation
- Conseil de la Famille et de L'enfance
- Commission de léquité salariale
- La Fédération des Femmes du Québec (''autonome'')
Par sa politique de ''discrimination positive'' le gouvernement en a voulu ainsi. Alors que l'égalité des sexes est devenu la norme, ne devrait-il pas y avoir de la mixité au sein du gouvernement, pour empêcher les dérives ?
Le but inavoué de cette inflation des chiffres, étant que la société
considère qu'il y a un « fléau » de violences et ait pour conséquence
un afflut plus important de subventions et de ressources consacrées aux femmes victimes et aux personnel qui y travaillent, comme le démontre
les rapports que ces groupes de femmes soumettent au gouvernement, ainsi
que de nombreux témoignages de femmes qui y ont travaillées (Anne Vaillancourt). (*1) (voir NOTE)
La publication des chiffres officielles, plus modestes,
ne sert pas bien leur cause. Leur revendications, quoique légitimes,
se fait au détriment des hommes en général et des inéquités lors des
divorces. Quelques sondages de perceptions, montre que les gens
sur-estiment de 300 % le taux réel de violence dans la société (*2).
Pour la violence conjugale, cette sur-estimation du taux réel, peut varier
de 5 à 20 fois ! (*3) Loin de banaliser la violence, je pense que les
documents et publicitées doivent refléter la réalité.
NOTE:
*1 à ce titre, les femmes n'ont rien à envier aux hommes, voir la ''corruption dans la construction''
*2 sur google, tapez: ''justice.gc.ca perceptions du public''
*3 voir le documentaire « pied de biche »