Près de 2 000 euros pour préjudice corporel. C'est ce que réclame une Bordelaise à un McDonald's de Lormont, près de Bordeaux. Agée de 37 ans, cette femme enceinte de sept mois au moment de l'accident, affirme avoir glissé sur une flaque d'huile alimentaire devant les cuisines du restaurant, où elle se rendait avec son compagnon en novembre 2010, a indiqué son avocat, Me Uldrif Astié, confirmant une information de Sud Ouest.
Une entorse à la cheville avait été diagnostiquée, mais la chute n'avait eu aucune incidence sur la suite de la grossesse, selon l'avocat.
Saisi en référé, le tribunal de grande instance de Bordeaux avait ordonné fin 2010 une expertise, qui avait évalué le préjudice corporel de la plaignante entre 1 500 et 2 000 euros. Une transaction à l'amiable a été proposée à l'avocat du restaurant. En cas de refus,«nous ressaisirons la justice civile, probablement une juridiction de proximité», a ajouté Me Astié.
De son côté, McDonald's France, «ne commente pas cette démarche mais fait toute confiance à la justice», a indiqué une porte-parole de la chaîne de restauration. «McDonald's France, comme pour toutes les réclamations, a pris celle-ci au sérieux» et un dossier d'assurance a été ouvert par le franchisé, a-t-on ajouté, soulignant que la chute avait eu lieu sur un trottoir à l'opposé des cuisines. Il y avait peut-être de l'eau mais en aucun cas de l'huile par terre», a-t-on insisté, faisant état de «témoignages» allant dans ce sens.
En décembre 2008, un McDonald's de Seine-et-Marne avait été condamné à payer 14 440 euros de réparation de préjudice corporel à une femme qui s'était brisé le poignet après avoir, selon elle, glissé sur de l'huile provenant des véhicules se présentant au McDrive de l'établissement.
A la même période, une cliente qui s'était fracturé le genou après avoir glissé sur une frite dans un Quick de Reims (Marne) avait été déboutée.
Une cliente d'un supermarché de Pantin, sérieusement blessée en dérapant sur un grain de raisin dans le magasin, en mai 2010, a décidé de saisir la justice.
Enfin, une cliente ayant glissé sur une feuille de salade dans un supermarché a également demandé réparation.
Une entorse à la cheville avait été diagnostiquée, mais la chute n'avait eu aucune incidence sur la suite de la grossesse, selon l'avocat.
Saisi en référé, le tribunal de grande instance de Bordeaux avait ordonné fin 2010 une expertise, qui avait évalué le préjudice corporel de la plaignante entre 1 500 et 2 000 euros. Une transaction à l'amiable a été proposée à l'avocat du restaurant. En cas de refus,«nous ressaisirons la justice civile, probablement une juridiction de proximité», a ajouté Me Astié.
De son côté, McDonald's France, «ne commente pas cette démarche mais fait toute confiance à la justice», a indiqué une porte-parole de la chaîne de restauration. «McDonald's France, comme pour toutes les réclamations, a pris celle-ci au sérieux» et un dossier d'assurance a été ouvert par le franchisé, a-t-on ajouté, soulignant que la chute avait eu lieu sur un trottoir à l'opposé des cuisines. Il y avait peut-être de l'eau mais en aucun cas de l'huile par terre», a-t-on insisté, faisant état de «témoignages» allant dans ce sens.
En décembre 2008, un McDonald's de Seine-et-Marne avait été condamné à payer 14 440 euros de réparation de préjudice corporel à une femme qui s'était brisé le poignet après avoir, selon elle, glissé sur de l'huile provenant des véhicules se présentant au McDrive de l'établissement.
A la même période, une cliente qui s'était fracturé le genou après avoir glissé sur une frite dans un Quick de Reims (Marne) avait été déboutée.
Une cliente d'un supermarché de Pantin, sérieusement blessée en dérapant sur un grain de raisin dans le magasin, en mai 2010, a décidé de saisir la justice.
Enfin, une cliente ayant glissé sur une feuille de salade dans un supermarché a également demandé réparation.
