Les Français victimes de l'addiction au jeu

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Tazana

VIB
PASCAL a du vague à l'âme....................................
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D'ailleurs, la grande majorité de ceux qui fréquentent les casinos, grattent des tickets de la Française des Jeux, remplissent des bulletins de loto ou fréquentent les bars PMU ne le sont pas. D'autres, en revanche, tombent dans la dépendance. Combien ? A ce jour, aucune étude épidémiologique n'a été conduite sur le sujet en France. «Nous en sommes au stade de l'archéologie», regrette le professeur Lejoyeux, psychiatre en charge des comportements addictifs à l'hôpital Bichat, à Paris. Du coup, les professionnels s'appuient sur les conclusions des études réalisées à l'étranger pour évaluer le nombre de personnes dépendantes : probablement de 300 000 à 500 000.

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L'addiction, en fait, traverse toutes les couches de la société. «Avant, on voyait surtout des hommes âgés, affirme Christian Bucher, psychiatre des hôpitaux à Strasbourg et expert auprès de la cour d'appel de Colmar (1). Depuis quelques années, il y a de plus en plus de femmes et de jeunes.»

Plus forts que la «machine»

Les hommes sont les plus gros joueurs de Rapido et de paris hippiques. Les femmes, elles, préfèrent les machines à sous, les jeux de grattage et de tirage de la Française des jeux. Quant aux jeunes, c'est Internet qui les attire, et le vidéopoker installé dans les casinos. L'histoire des uns et des autres est toujours un peu la même. Ils commencent à jouer pour s'amuser, puis gagnent un peu – ou beaucoup – et pensent qu'ils seront plus forts que la «machine»…

Pour José, la dégringolade a commencé en 1994, lorsqu'il a gagné 500 000 francs (75 000 euros) au Millionnaire. Ce pâtissier toulonnais se met alors à écumer les casinos de la Côte d'Azur. «Je n'avais plus aucune idée de la valeur de l'argent.» Six mois plus tard, il est ruiné. Mais continue à jouer : «C'était devenu une drogue.» En 1999, son foyer est placé en surendettement. Interdit de casino de 2000 à 2005, il y retourne quand même avec la complicité des physionomistes, qui sont des «copains». «Perdu, dépassé», il ment, dérobe la carte bancaire de sa belle-soeur, vole de l'argent dans le sac de Sandrine, sa compagne. Elle le quittera plusieurs fois. Depuis la naissance de sa dernière fille, José a décidé de «se calmer». Il va au casino une fois tous les deux mois. Mais il ne rate aucun tirage du Loto. «Je sais que je gagnerai encore.»

(1) Le Jeu pathologique, Marc Valleur, Christian Bucher, Armand Colin, 2006.

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Pour ma part, je connais un proche qui a détruit sa famille de cette manière et qui aime vivre dans la dépendance et la *****.

Que faire pour éviter qu'il mette encore et encore ses proches dans la ***** !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

:fou:
 
Il y a des cas bizarres!

Je connais une dame qui est attachée aux chaussures.

Elle vient d'acheter sa 142° paire....placée avec les autres en attendant, peut-être, de les porter un jour.
 
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