Il n'y a pas qu'au Maroc que les épreuves du baccalauréat ont été entachées par des fuites des examens.
En Egypte ou encore en Algérie, des scandales similaires font la une des médias.
Au Maroc, 53 personnes viennent d'être arrêtées pour leur implication présumée dans des fuites de sujets du baccalauréat, alors que le ministère de l'Education nationale a recensé plus de 1.800 cas de triche.
(..)
En Algérie, la plupart des épreuves du baccalauréat ont été publiées cette année sur Internet bien avant le début des épreuves.
Une situation alarmante qui a obligé la ministre algérienne de l'Education nationale Nouria Bengherbit à faire repasser les épreuves à quelque 300.000 lycéens, sur les 800.000 candidats.
Cette décision répond aux critères de "l'équité et de l'égalité des chances garantis par la Constitution", a fait savoir la ministre.
(...)
Alors qu'une enquête a été ouverte pour déterminer l'identité des fraudeurs, certains députés, dont ceux d'Ennahda, ont exigé la démission de la ministre, tenue pour responsable.
(...)
L'Egypte n'est d'ailleurs pas à l'abri de ce fléau.
Le ministère de l'Education nationale a ainsi annoncé que les candidats devaient repasser, fin juin, les épreuves d'éducation religieuse qui ont fuité sur le web.
En tout, 560.000 lycéens étaient concernés.
Dans la foulée, le département égyptien chargé de l'éducation a annoncé avoir mis la main sur le coupable, qui avait créé une page Facebook afin de "semer la zizanie lors des épreuves du baccalauréat".
(...)
En 2012, la Tunisie a eu à gérer une crise similaire après la fuite d'une épreuve d'arabe dans la ville de Ben Arouss, à travers une page Facebook également nommée "Tasribat".
Ces pages ont d'ailleurs causé des troubles une nouvelle fois en 2014 et en 2015 en Tunisie.
A chaque fois, des enquêtes ont été ouvertes afin de mettre la main sur les coupables.
(..)
Source
http://www.huffpostmaghreb.com/2016/06/10/bac-maroc_n_10385412.html?utm_hp_ref=maroc
En Egypte ou encore en Algérie, des scandales similaires font la une des médias.
Au Maroc, 53 personnes viennent d'être arrêtées pour leur implication présumée dans des fuites de sujets du baccalauréat, alors que le ministère de l'Education nationale a recensé plus de 1.800 cas de triche.
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En Algérie, la plupart des épreuves du baccalauréat ont été publiées cette année sur Internet bien avant le début des épreuves.
Une situation alarmante qui a obligé la ministre algérienne de l'Education nationale Nouria Bengherbit à faire repasser les épreuves à quelque 300.000 lycéens, sur les 800.000 candidats.
Cette décision répond aux critères de "l'équité et de l'égalité des chances garantis par la Constitution", a fait savoir la ministre.
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Alors qu'une enquête a été ouverte pour déterminer l'identité des fraudeurs, certains députés, dont ceux d'Ennahda, ont exigé la démission de la ministre, tenue pour responsable.
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L'Egypte n'est d'ailleurs pas à l'abri de ce fléau.
Le ministère de l'Education nationale a ainsi annoncé que les candidats devaient repasser, fin juin, les épreuves d'éducation religieuse qui ont fuité sur le web.
En tout, 560.000 lycéens étaient concernés.
Dans la foulée, le département égyptien chargé de l'éducation a annoncé avoir mis la main sur le coupable, qui avait créé une page Facebook afin de "semer la zizanie lors des épreuves du baccalauréat".
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En 2012, la Tunisie a eu à gérer une crise similaire après la fuite d'une épreuve d'arabe dans la ville de Ben Arouss, à travers une page Facebook également nommée "Tasribat".
Ces pages ont d'ailleurs causé des troubles une nouvelle fois en 2014 et en 2015 en Tunisie.
A chaque fois, des enquêtes ont été ouvertes afin de mettre la main sur les coupables.
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Source
http://www.huffpostmaghreb.com/2016/06/10/bac-maroc_n_10385412.html?utm_hp_ref=maroc