Oued Noun
Sahraoui dial jbel
Les responsables algériens du secteur de lénergie ont eu pour la première fois, lors de la présentation du 3ème appel doffres de Alnaft, à sexpliquer sur le « cas Hassi Rmel », le gisement géant de gaz naturel étant annoncé dans la presse en déplétion rapide. Le ministre Youssef Yousfi sest montré évasif sur le sujet alors que le PDG de Sonatrach a tenté damortir limpact du « risque volume ». Hassi Rmel est devenu en quelques jours la plus grande bombe à retardement laissée par Chakib Khelil.
Lexpression du visage du ministre algérien de lénergie et des mines, Youssef Yousfi, a subitement changé lorsquun journaliste la interpellé, jeudi 30 septembre dernier à lhôtel Sheraton, au sujet des difficultés du gisement gazier de Hassi Rmel, rapportés par la presse les jours précédents. « Il ny a aucun problème dans lexploitation de gaz à Hassi Rmel » a-t-il sommairement déclaré visiblement contrarié par la question. Le ministre a même refusé sèchement de reparler de ce sujet, lorsquil a été relancé par des journalistes restés sur leur faim. Ce sont deux articles, lun publié début août dans le supplément économique de Liberté et lautre la semaine dernière dans le supplément économique dEl Watan qui ont introduit dans la discussion publique, indirectement puis nominalement, le thème, plus ou moins tabou, dun déclin rapide de la production de Hassi Rmel. Le gisement géant exploité par Sonatrach aurait connu de graves envahissements deaux les années précédentes qui rendraient « très difficiles » voire parfois « impossible » la récupération dimportantes quantités de gaz naturel, comptabilisées comme récupérables dans le plan de développement du gisement.
En marge de la cérémonie de la présentation du troisième appel à la concurrence dAlnaft (gence nationale pour la valorisation des ressources en hydrocarbures), une source proche de Sonatrach qui a requis lanonymat a confirmé, à linverse du ministre de lénergie et des mines, ce qui se dit depuis plusieurs mois au sujet de la déplétion précoce du principal gisement de gaz algérien : « On va bientôt entendre parler de ce quon appellera le scandale Hassi Rmel assure notre sources auprès de Sonatrach ».
« Pour remplir les engagements de lAlgérie envers ces partenaire, léquipe de Chakib Khelil a voulu jouer aux apprentis sorciers en surexploitant lun des plus importants gisements gazier en Algérie. Les conséquences ont été dramatique sur les réserves qui se trouve maintenant difficiles daccès voir impossible ».
Lexpression du visage du ministre algérien de lénergie et des mines, Youssef Yousfi, a subitement changé lorsquun journaliste la interpellé, jeudi 30 septembre dernier à lhôtel Sheraton, au sujet des difficultés du gisement gazier de Hassi Rmel, rapportés par la presse les jours précédents. « Il ny a aucun problème dans lexploitation de gaz à Hassi Rmel » a-t-il sommairement déclaré visiblement contrarié par la question. Le ministre a même refusé sèchement de reparler de ce sujet, lorsquil a été relancé par des journalistes restés sur leur faim. Ce sont deux articles, lun publié début août dans le supplément économique de Liberté et lautre la semaine dernière dans le supplément économique dEl Watan qui ont introduit dans la discussion publique, indirectement puis nominalement, le thème, plus ou moins tabou, dun déclin rapide de la production de Hassi Rmel. Le gisement géant exploité par Sonatrach aurait connu de graves envahissements deaux les années précédentes qui rendraient « très difficiles » voire parfois « impossible » la récupération dimportantes quantités de gaz naturel, comptabilisées comme récupérables dans le plan de développement du gisement.
En marge de la cérémonie de la présentation du troisième appel à la concurrence dAlnaft (gence nationale pour la valorisation des ressources en hydrocarbures), une source proche de Sonatrach qui a requis lanonymat a confirmé, à linverse du ministre de lénergie et des mines, ce qui se dit depuis plusieurs mois au sujet de la déplétion précoce du principal gisement de gaz algérien : « On va bientôt entendre parler de ce quon appellera le scandale Hassi Rmel assure notre sources auprès de Sonatrach ».
« Pour remplir les engagements de lAlgérie envers ces partenaire, léquipe de Chakib Khelil a voulu jouer aux apprentis sorciers en surexploitant lun des plus importants gisements gazier en Algérie. Les conséquences ont été dramatique sur les réserves qui se trouve maintenant difficiles daccès voir impossible ».