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Les bikinis poussent les hommes à voir les femmes comme des objets
Regarder les images de corps de femmes active une région du cerveau de lhomme associée à lutilisation des outils. Photo : Getty sur The Guardian
Des scans de cerveau ont montré que quand des photos de femmes légèrement vêtues sont présentées devant des hommes, la région du cerveau associée à lutilisation des outils est activée.
Les hommes ont tendance à associer les images de femmes présentées dune manière sexualisée, à des verbes daction à la première personne « Je pousse, je saisis, je manipule », dit la chercheuse Susan Fiske, professeur de psychologie à luniversité de Princeton.
Dans un résultat « choquant », souligna Fiske, des hommes étudiés nont même pas montré dactivité dans la région du cerveau qui réagit habituellement quand une personne réfléchit sur les intentions dune autre personne.
Ceci veut dire que ces hommes voient les femmes comme « invitantes sexuellement, mais ils ne réfléchissent pas à leurs pensées », dit Fiske. « Labsence dactivation dans la perception sociale est vraiment bizarre, car cela arrive rarement ».
Déshumanisation
Fiske et ses collègues ont demandé à 21 volontaires mâles hétérosexuels de faire un test permettant de noter les gens selon leur attitude sexiste. On leur a ensuite présenté des photos de femmes et dhommes légèrement ou complètement vêtus.
La plupart des hommes se sont mieux rappelés les photos de femmes sans tête en bikini, même sils navaient regardé la photo que pour deux dixièmes de seconde, déclara Fiske ce weekend à Chicago durant la rencontre annuelle de l « American Assocation for the Advancement of Science ».
Les hommes qui avaient obtenu les notes les plus élevées en tant que « sexistes hostiles » - Ceux qui voient les femmes comme dominantes et envahissantes de lespace masculin nont pas montré dactivité cérébrale qui aurait indiqué quils avaient vu les femmes en bikini comme des humains avec une pensée et des intentions.
Les scientifiques avaient constaté cette absence dactivation une seule fois seulement par la passé, dans une étude où lon a présenté aux personnes testées des photos rebutantes des clochards et des drogués.
Regarder les images de corps de femmes active une région du cerveau de lhomme associée à lutilisation des outils. Photo : Getty sur The Guardian
Des scans de cerveau ont montré que quand des photos de femmes légèrement vêtues sont présentées devant des hommes, la région du cerveau associée à lutilisation des outils est activée.
Les hommes ont tendance à associer les images de femmes présentées dune manière sexualisée, à des verbes daction à la première personne « Je pousse, je saisis, je manipule », dit la chercheuse Susan Fiske, professeur de psychologie à luniversité de Princeton.
Dans un résultat « choquant », souligna Fiske, des hommes étudiés nont même pas montré dactivité dans la région du cerveau qui réagit habituellement quand une personne réfléchit sur les intentions dune autre personne.
Ceci veut dire que ces hommes voient les femmes comme « invitantes sexuellement, mais ils ne réfléchissent pas à leurs pensées », dit Fiske. « Labsence dactivation dans la perception sociale est vraiment bizarre, car cela arrive rarement ».
Déshumanisation
Fiske et ses collègues ont demandé à 21 volontaires mâles hétérosexuels de faire un test permettant de noter les gens selon leur attitude sexiste. On leur a ensuite présenté des photos de femmes et dhommes légèrement ou complètement vêtus.
La plupart des hommes se sont mieux rappelés les photos de femmes sans tête en bikini, même sils navaient regardé la photo que pour deux dixièmes de seconde, déclara Fiske ce weekend à Chicago durant la rencontre annuelle de l « American Assocation for the Advancement of Science ».
Les hommes qui avaient obtenu les notes les plus élevées en tant que « sexistes hostiles » - Ceux qui voient les femmes comme dominantes et envahissantes de lespace masculin nont pas montré dactivité cérébrale qui aurait indiqué quils avaient vu les femmes en bikini comme des humains avec une pensée et des intentions.
Les scientifiques avaient constaté cette absence dactivation une seule fois seulement par la passé, dans une étude où lon a présenté aux personnes testées des photos rebutantes des clochards et des drogués.