Les hommes mieux dans leur peau que les femmes ?

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Les hommes mieux dans leur peau que les femmes ?

Depuis quarante ans, la pilule contraceptive permet aux femmes de gérer elles-mêmes leur fécondité et elles sont de plus en plus nombreuses à travailler et à assurer ainsi leur indépendance financière. Et pourtant, cela n'a pas rendu la femme moderne plus heureuse. Au contraire, selon un journal britannique.

Dans beaucoup de pays occidentaux, les femmes disent être moins heureuses qu'avant et aussi moins heureuses que les hommes, selon une importante étude du Bureau National Américain pour la Recherche Economique. Pour expliquer ce moindre sentiment de bonheur chez les femmes, les avis diffèrent. Pour Andrew Oswald, professeur d'économie de l'université de Warwick, c'est dû à ce que les sociologues appellent le "deuxième shift" (double horaire): les perspectives des femmes sur le marché du travail se sont beaucoup améliorées mais leurs tâches ménagères, malgré la machines à laver la vaisselle et le linge, ne sont pas réparties équitablement. En d'autres mots, elles doivent prester un "deuxième shift" après leurs heures de travail. Des éléments plus subtils jouent peut-être un rôle comme, par exemple, le fait que les femmes réagissent différemment que les hommes aux changements actuels. Selon la personnalité médiatique britannique Dame Joan Bakewell, "les femmes s'inquiètent davantage même lorsqu'elles ont réglé les problèmes pratiques."
 
Les hommes mieux dans leur peau que les femmes ?

Depuis quarante ans, la pilule contraceptive permet aux femmes de gérer elles-mêmes leur fécondité et elles sont de plus en plus nombreuses à travailler et à assurer ainsi leur indépendance financière. Et pourtant, cela n'a pas rendu la femme moderne plus heureuse. Au contraire, selon un journal britannique.

Dans beaucoup de pays occidentaux, les femmes disent être moins heureuses qu'avant et aussi moins heureuses que les hommes, selon une importante étude du Bureau National Américain pour la Recherche Economique. Pour expliquer ce moindre sentiment de bonheur chez les femmes, les avis diffèrent. Pour Andrew Oswald, professeur d'économie de l'université de Warwick, c'est dû à ce que les sociologues appellent le "deuxième shift" (double horaire): les perspectives des femmes sur le marché du travail se sont beaucoup améliorées mais leurs tâches ménagères, malgré la machines à laver la vaisselle et le linge, ne sont pas réparties équitablement. En d'autres mots, elles doivent prester un "deuxième shift" après leurs heures de travail. Des éléments plus subtils jouent peut-être un rôle comme, par exemple, le fait que les femmes réagissent différemment que les hommes aux changements actuels. Selon la personnalité médiatique britannique Dame Joan Bakewell, "les femmes s'inquiètent davantage même lorsqu'elles ont réglé les problèmes pratiques."



Depuis deus decennie il existe la contraception masculine en injectable et depuis 3 ans la formule en pilule existe il faut juste un labo pour la preparer

curieusement les femmes sujettes à la depression sont celle avant le mariage, les femmes separées ou chomeuses
Donc je trouve un peu le medical et le socio-economique n'aillent pas dans le même sens
 
Depuis deus decennie il existe la contraception masculine en injectable et depuis 3 ans la formule en pilule existe il faut juste un labo pour la preparer

curieusement les femmes sujettes à la depression sont celle avant le mariage, les femmes separées ou chomeuses
Donc je trouve un peu le medical et le socio-economique n'aillent pas dans le même sens
l'inactivité favorise les dépressions réactionnelles quelque soit le sexe du sujet.
l'occupation manuelle, mentale, intellectuelle permet de sortir de certains ruminements intellectuels suite à une perte par exemple.

cela explique peut-etre pourquoi avant le mariage, au moment des ruptures (pour des personnes qui n'ont pas de projet professionnel et dont le projet de vie se construit autour de le représentation d'un famille idéale....mari, enfant...) et lors de moment de chomage, on observe la hausse des aspects dépressifs.
 
l'inactivité favorise les dépressions réactionnelles quelque soit le sexe du sujet.
l'occupation manuelle, mentale, intellectuelle permet de sortir de certains ruminements intellectuels suite à une perte par exemple.

cela explique peut-etre pourquoi avant le mariage, au moment des ruptures (pour des personnes qui n'ont pas de projet professionnel et dont le projet de vie se construit autour de le représentation d'un famille idéale....mari, enfant...) et lors de moment de chomage, on observe la hausse des aspects dépressifs.

Peut reposter ton post stp dans :
http://www.bladi.info/groupes/sante-343-409.html#gmessage21051
 
Les hommes mieux dans leur peau que les femmes ?

Depuis quarante ans, la pilule contraceptive permet aux femmes de gérer elles-mêmes leur fécondité et elles sont de plus en plus nombreuses à travailler et à assurer ainsi leur indépendance financière. Et pourtant, cela n'a pas rendu la femme moderne plus heureuse. Au contraire, selon un journal britannique.

Dans beaucoup de pays occidentaux, les femmes disent être moins heureuses qu'avant et aussi moins heureuses que les hommes, selon une importante étude du Bureau National Américain pour la Recherche Economique. Pour expliquer ce moindre sentiment de bonheur chez les femmes, les avis diffèrent. Pour Andrew Oswald, professeur d'économie de l'université de Warwick, c'est dû à ce que les sociologues appellent le "deuxième shift" (double horaire): les perspectives des femmes sur le marché du travail se sont beaucoup améliorées mais leurs tâches ménagères, malgré la machines à laver la vaisselle et le linge, ne sont pas réparties équitablement. En d'autres mots, elles doivent prester un "deuxième shift" après leurs heures de travail. Des éléments plus subtils jouent peut-être un rôle comme, par exemple, le fait que les femmes réagissent différemment que les hommes aux changements actuels. Selon la personnalité médiatique britannique Dame Joan Bakewell, "les femmes s'inquiètent davantage même lorsqu'elles ont réglé les problèmes pratiques."

pas besoin d'étude pour savoir que les femmes ont une seconde journée de travail lorsqu'elle rentre le soir à la maison :rolleyes:.
 
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