salam
«Linformatisation de la ville est aujourdhui une nécessité dont les différents institutionnels de la capitale économique sont conscients. Mais reste à savoir comment traduire cette volonté en réalité palpable». Les propos dAzzedine Hafif, directeur de lAgence urbaine de Casablanca, sont on ne peut plus clairs.
Intervenant lors dune rencontre scientifique sur les villes numériques organisée le 14 juin par le Consortium de recherche et denseignement supérieur de Casablanca (CRES), il a indiqué que la métropole accuse encore du retard sur ce registre malgré les quelques tentatives entreprises pour prendre le train des nouvelles technologies de linformation et de la communication (NTIC).
«Il y a eu des expériences comme cétait le cas en 2003 avec la mise en place dun système dinformation géographique (SIG) qui a essayé de mutualiser les différents services administrés par le Cadastre, lAgence urbaine et la Lydec à travers un système dinformation multi-usage. Malheureusement, le projet na pas abouti», a-t-il expliqué.
Pourtant, le tableau ne semble pas si noir, indique le conférencier. Daprès lui, dautres administrations ont beaucoup avancé au niveau de la numérisation de certaines de leurs tâches. Dans ce cadre, il a fait avancer lexemple de son Agence qui a pu mettre en place un SIG ainsi quune plate-forme Internet permettant dinformer, en ligne, les usagers sur leurs demandes dautorisations de construire.
suite:
http://www.libe.ma/Les-legitimes-as...le-Casablanca-lorgne-le-numerique_a28269.html
«Linformatisation de la ville est aujourdhui une nécessité dont les différents institutionnels de la capitale économique sont conscients. Mais reste à savoir comment traduire cette volonté en réalité palpable». Les propos dAzzedine Hafif, directeur de lAgence urbaine de Casablanca, sont on ne peut plus clairs.
Intervenant lors dune rencontre scientifique sur les villes numériques organisée le 14 juin par le Consortium de recherche et denseignement supérieur de Casablanca (CRES), il a indiqué que la métropole accuse encore du retard sur ce registre malgré les quelques tentatives entreprises pour prendre le train des nouvelles technologies de linformation et de la communication (NTIC).
«Il y a eu des expériences comme cétait le cas en 2003 avec la mise en place dun système dinformation géographique (SIG) qui a essayé de mutualiser les différents services administrés par le Cadastre, lAgence urbaine et la Lydec à travers un système dinformation multi-usage. Malheureusement, le projet na pas abouti», a-t-il expliqué.
Pourtant, le tableau ne semble pas si noir, indique le conférencier. Daprès lui, dautres administrations ont beaucoup avancé au niveau de la numérisation de certaines de leurs tâches. Dans ce cadre, il a fait avancer lexemple de son Agence qui a pu mettre en place un SIG ainsi quune plate-forme Internet permettant dinformer, en ligne, les usagers sur leurs demandes dautorisations de construire.
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