pocoloco
Bladinaute averti
Publié à 9 h 44 - Ils sont allés jusquà provoquer une vraie peur panique chez certains jeunes élèves de Joffre. Le mouvement lycéen lancé en fin de semaine dernière a été loccasion, pour quelques individus, de se livrer à des opérations très violentes et répétées dans différents établissements de la ville. Des actes sans aucun rapport avec la mobilisation globalement calme contre la réforme des retraites.
La bande, dune quinzaine de personnes, a agi avec le même mode opératoire à Clemenceau, vendredi, puis à Joffre, lundi, avant de tenter de faire la même chose à Nevers. Un enseignant en cours particuliers raconte avoir été surpris par la similitude des témoignages rapportés par deux élèves des établissements publics du centre-ville. Il décrit le mode daction employé : « Une bande dindividus non identifiés, non scolarisés dans les lycées concernés, déboule subitement, intimide élèves, profs et personnels, cogne, détruit systématiquement les extincteurs puis allume des feux. »
Des observations corroborées par une mère de famille présente lundi matin devant Clemenceau, où la bande sen est pris physiquement à quelques élèves après avoir mis le feu à des poubelles. Le milieu de semaine a été marqué chez les responsables et les élèves par la crainte de voir à nouveau débarquer cette bande très violente. Des membres de la Fédération des parents délèves, appuyés par des cheminots, se sont ainsi relayés devant les établissements pour éviter des intrusions et dautres incidents de nature à décrédibiliser le mouvement en cours...
Après les violences de lundi, et notamment lincident de la loge du concierge au lycée Vinci, à La Paillade, aucun incident du même type na cependant été signalé et la police rapproche ce retour au calme de linterpellation de deux mineurs. « Des jeunes scolarisés mais habitués au rapport de confrontation avec la police et qui ont trouvé là un nouveau terrain dexpression », explique-t-on.
Au cours des dernières années, les actions violentes lors des mouvements sociaux navaient, à linverse de lIle-de-France, que très rarement opposé des jeunes entre eux.
http://www.midilibre.com/articles/2...nde-impliquee-dans-les-violences-1431246.php5
La bande, dune quinzaine de personnes, a agi avec le même mode opératoire à Clemenceau, vendredi, puis à Joffre, lundi, avant de tenter de faire la même chose à Nevers. Un enseignant en cours particuliers raconte avoir été surpris par la similitude des témoignages rapportés par deux élèves des établissements publics du centre-ville. Il décrit le mode daction employé : « Une bande dindividus non identifiés, non scolarisés dans les lycées concernés, déboule subitement, intimide élèves, profs et personnels, cogne, détruit systématiquement les extincteurs puis allume des feux. »
Des observations corroborées par une mère de famille présente lundi matin devant Clemenceau, où la bande sen est pris physiquement à quelques élèves après avoir mis le feu à des poubelles. Le milieu de semaine a été marqué chez les responsables et les élèves par la crainte de voir à nouveau débarquer cette bande très violente. Des membres de la Fédération des parents délèves, appuyés par des cheminots, se sont ainsi relayés devant les établissements pour éviter des intrusions et dautres incidents de nature à décrédibiliser le mouvement en cours...
Après les violences de lundi, et notamment lincident de la loge du concierge au lycée Vinci, à La Paillade, aucun incident du même type na cependant été signalé et la police rapproche ce retour au calme de linterpellation de deux mineurs. « Des jeunes scolarisés mais habitués au rapport de confrontation avec la police et qui ont trouvé là un nouveau terrain dexpression », explique-t-on.
Au cours des dernières années, les actions violentes lors des mouvements sociaux navaient, à linverse de lIle-de-France, que très rarement opposé des jeunes entre eux.
http://www.midilibre.com/articles/2...nde-impliquee-dans-les-violences-1431246.php5