salam
Les maux de la métropole passés au crible fin : La politique de la ville divise les élus
Les maux de la métropole passés au crible fin : La politique de la ville divise les élus
Le constat est sans équivoque. Casablanca va mal voire très mal et son état demande une intervention chirurgicale urgente.
Cest ainsi que plusieurs élus de la ville et certains de ses acteurs associatifs ont décrié la situation de la métropole lors du dernier round des concertations régionales sur la politique de la ville, organisé par le ministère de lHabitat, de lUrbanisme et de la Politique de la ville avant les Assises prévues le 27 juin.
Cest Brahim Rachdi, élu de la ville, qui a annoncé la couleur. Selon lui, Casablanca souffre de manque dune vision stratégique durable, de la multiplicité des institutions dirigeantes, de plans daménagement dépassés et dun découpage administratif et électoral altéré qui va à lencontre de lunité de la ville. Le responsable politique ne mâche pas ses mots. Il estime que la ville sest transformée en laboratoire dessais pour les walis qui ont présidé aux destinées de la métropole.
Des propos que partagent largement Kamal Daissaoui, président de la commune de Sidi Belyout, qui pense que la capitale économique est une ville sans plans ni documents daménagement et qui fonctionne depuis plus de 20 ans grâce à des dérogations.
Pourtant, les acteurs politiques et associatifs de la ville sont divisés sur la question de lutilité ou plutôt de lintérêt dintroduire une politique de la ville dans les politiques publiques de la capitale.
Cest le cas de Salah Eddinne Aboulghali, président du conseil préfectoral de Médiouna, qui sest interrogé sur linstance qui va gérer la politique de la ville. Est-ce le département de Nabil Benabdallah ou les élus de la ville ? Et si cest le ministère, quel rôle sera attribué au président du conseil communal chargé de lurbanisme ? Ira-t-on jusquà la suppression de ces compétences ?
http://www.libe.ma/Les-maux-de-la-m...tique-de-la-ville-divise-les-elus_a28411.html
Les maux de la métropole passés au crible fin : La politique de la ville divise les élus
Les maux de la métropole passés au crible fin : La politique de la ville divise les élus
Le constat est sans équivoque. Casablanca va mal voire très mal et son état demande une intervention chirurgicale urgente.
Cest ainsi que plusieurs élus de la ville et certains de ses acteurs associatifs ont décrié la situation de la métropole lors du dernier round des concertations régionales sur la politique de la ville, organisé par le ministère de lHabitat, de lUrbanisme et de la Politique de la ville avant les Assises prévues le 27 juin.
Cest Brahim Rachdi, élu de la ville, qui a annoncé la couleur. Selon lui, Casablanca souffre de manque dune vision stratégique durable, de la multiplicité des institutions dirigeantes, de plans daménagement dépassés et dun découpage administratif et électoral altéré qui va à lencontre de lunité de la ville. Le responsable politique ne mâche pas ses mots. Il estime que la ville sest transformée en laboratoire dessais pour les walis qui ont présidé aux destinées de la métropole.
Des propos que partagent largement Kamal Daissaoui, président de la commune de Sidi Belyout, qui pense que la capitale économique est une ville sans plans ni documents daménagement et qui fonctionne depuis plus de 20 ans grâce à des dérogations.
Pourtant, les acteurs politiques et associatifs de la ville sont divisés sur la question de lutilité ou plutôt de lintérêt dintroduire une politique de la ville dans les politiques publiques de la capitale.
Cest le cas de Salah Eddinne Aboulghali, président du conseil préfectoral de Médiouna, qui sest interrogé sur linstance qui va gérer la politique de la ville. Est-ce le département de Nabil Benabdallah ou les élus de la ville ? Et si cest le ministère, quel rôle sera attribué au président du conseil communal chargé de lurbanisme ? Ira-t-on jusquà la suppression de ces compétences ?
http://www.libe.ma/Les-maux-de-la-m...tique-de-la-ville-divise-les-elus_a28411.html