Il est presque certain qu'on a découvert l'existence d'une forme de vie sur Mars et pourtant les grands médias ignorent l'information depuis des années. Peut-être parce que la NASA n'y croit pas.
Voici comment la découverte s'est faite. Au début des années 2000, l'analyse de certaines photographies prises de la zone polaire sud de Mars a révélé des phénomènes mystérieux durant le printemps et l'été martien. On distinguait clairement que des millions de ramifications apparaissaient et se développaient en arborescence avant de noircir et disparaître avec la venue de l'hiver martien.
Ce qui a d'abord surpris les scientifiques est que ces « araignées » semblaient développer leurs embranchements selon la « progression de Fibonacci » (vidéo Youtube). Sur Terre, elle s'applique presque essentiellement au vivant, des racines des arbres aux systèmes sanguins des animaux en passant par la géométrie des fleurs et des insectes.
La Nasa refuse absolument d'envisager qu'il puisse s'agir d'organismes vivants. L'Agence spatiale européenne (ESA) n'a pas encore formulé de théorie pour expliquer les « araignées » et les taches noires, mais elle convient qu'aucune des explications « purement physiques », c'est-à-dire non biologiques, avancées jusqu'ici n'est acceptable. Les photos prises de satellites d'observation semblent montrer qu'elles défient les lois de la gravité en remontant des pentes et des collines, contrairement à un liquide comme de l'eau, par exemple.
Les indices de la présence de vie sur Mars s'accumulent depuis des années. On a établi qu'il y a de l'eau à certaines périodes de l'année martienne à la surface de la planète. Depuis 2003 on sait aussi qu'il y a des traces de méthane dans l'atmosphère martienne à un niveau constant. Cela indique qu'il existe des sources actives qui le produisent puisque le méthane est un gaz instable. Les scientifiques ont estimé que pour maintenir le même niveau, il fallait que 270 tonnes de méthane soient générées chaque année. Or, les impacts d'astéroïdes et les sources de méthane géologiques sont insuffisants pour produire ces quantités.
En février 2005, un satellite de l'Agence spatiale européenne a détecté des traces de formaldéhyde sur Mars. C'est un composé organique qui, sur Terre, est notamment généré par le métabolisme des organismes vivants.
Voici comment la découverte s'est faite. Au début des années 2000, l'analyse de certaines photographies prises de la zone polaire sud de Mars a révélé des phénomènes mystérieux durant le printemps et l'été martien. On distinguait clairement que des millions de ramifications apparaissaient et se développaient en arborescence avant de noircir et disparaître avec la venue de l'hiver martien.
Ce qui a d'abord surpris les scientifiques est que ces « araignées » semblaient développer leurs embranchements selon la « progression de Fibonacci » (vidéo Youtube). Sur Terre, elle s'applique presque essentiellement au vivant, des racines des arbres aux systèmes sanguins des animaux en passant par la géométrie des fleurs et des insectes.
La Nasa refuse absolument d'envisager qu'il puisse s'agir d'organismes vivants. L'Agence spatiale européenne (ESA) n'a pas encore formulé de théorie pour expliquer les « araignées » et les taches noires, mais elle convient qu'aucune des explications « purement physiques », c'est-à-dire non biologiques, avancées jusqu'ici n'est acceptable. Les photos prises de satellites d'observation semblent montrer qu'elles défient les lois de la gravité en remontant des pentes et des collines, contrairement à un liquide comme de l'eau, par exemple.
Les indices de la présence de vie sur Mars s'accumulent depuis des années. On a établi qu'il y a de l'eau à certaines périodes de l'année martienne à la surface de la planète. Depuis 2003 on sait aussi qu'il y a des traces de méthane dans l'atmosphère martienne à un niveau constant. Cela indique qu'il existe des sources actives qui le produisent puisque le méthane est un gaz instable. Les scientifiques ont estimé que pour maintenir le même niveau, il fallait que 270 tonnes de méthane soient générées chaque année. Or, les impacts d'astéroïdes et les sources de méthane géologiques sont insuffisants pour produire ces quantités.
En février 2005, un satellite de l'Agence spatiale européenne a détecté des traces de formaldéhyde sur Mars. C'est un composé organique qui, sur Terre, est notamment généré par le métabolisme des organismes vivants.