Les nouvelles frontières de la biomédecine

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Amine
  • Date de début Date de début

Amine

En mode pause
Un résume d’un article paru dans les échos qui concerne les avancées de la médecine, Pour éviter la longueur du texte, j’ai pris seul en compte les passages intéressent de l’article. Si les chercheurs repoussent chaque jour les frontières de la connaissance, le passage à l’acte reste un enjeu essentiel : pour que les avancées scientifiques se traduisent enfin par des progrès médicaux.

Les avancées de la biologie ouvrent un nouveau champ dans la connaissance du vivant et la découverte de thérapies révolutionnaires. Eric Kandel, professeur à l’université Columbia de NewYork, prédit un avenir radieux à la biomédecine. Selon ce prix Nobel de médecine, les découvertes vont s’accélérer et « onn’a encore rienvu ». Venu à Paris à l’invitation des laboratoires Ipsen avec quelques uns des meilleurs biologistes mondiaux,Eric Kandel reste fasciné par le fonctionnement de la mémoire. Comment le cerveau code ces milliards de scènes, de visages et de parfums ? Pourquoi certains sont aussitôt oubliés, et d’autres restent gravés pour toujours ? « Le traitement inconscient de l’information sensorielle est un sujet à la frontière de plusieurs disciplines.N’oubliez pas que la psychiatrie est ma formation initiale », indique Eric Kandel.

La thérapie génique tiendra-telle un jour ses promesses ?«C’est une affaire de vecteurs », répond Inder Verma, du laboratoire de génétique au Salk Institute de La Jolla en Californie. Ce concept génial est connu depuis vingt-cinq ans. Mais pour l’instant les réussites sont rares. Pourtant, personne ne semble douter que « cela finira par marcher ». Il s’agit de corriger une mutation génétique responsable en tout ou en partie d’une maladie en intervenant directement sur les chromosomes coupables. « Cela concerne à la fois les maladies héréditaires et les maladies acquises qui ont un bruit de fond génétique. Cela concerne l’hémophilie et la mucoviscidose, mais aussi les diabètes, les cancers ou les maladies neurodégénératives comme Alzheimer et Parkinson », précise le chercheur californien, pur produit de la science indienne. Tout le problème consiste à trouver un véhicule sûr et agile capable de transporter à l’intérieur du noyau des cellules malades un nouveau message génétique.
 
Un résume d’un article paru dans les échos qui concerne les avancées de la médecine, Pour éviter la longueur du texte, j’ai pris seul en compte les passages intéressent de l’article. Si les chercheurs repoussent chaque jour les frontières de la connaissance, le passage à l’acte reste un enjeu essentiel : pour que les avancées scientifiques se traduisent enfin par des progrès médicaux.

Les avancées de la biologie ouvrent un nouveau champ dans la connaissance du vivant et la découverte de thérapies révolutionnaires. Eric Kandel, professeur à l’université Columbia de NewYork, prédit un avenir radieux à la biomédecine. Selon ce prix Nobel de médecine, les découvertes vont s’accélérer et « onn’a encore rienvu ». Venu à Paris à l’invitation des laboratoires Ipsen avec quelques uns des meilleurs biologistes mondiaux,Eric Kandel reste fasciné par le fonctionnement de la mémoire. Comment le cerveau code ces milliards de scènes, de visages et de parfums ? Pourquoi certains sont aussitôt oubliés, et d’autres restent gravés pour toujours ? « Le traitement inconscient de l’information sensorielle est un sujet à la frontière de plusieurs disciplines.N’oubliez pas que la psychiatrie est ma formation initiale », indique Eric Kandel.

La thérapie génique tiendra-telle un jour ses promesses ?«C’est une affaire de vecteurs », répond Inder Verma, du laboratoire de génétique au Salk Institute de La Jolla en Californie. Ce concept génial est connu depuis vingt-cinq ans. Mais pour l’instant les réussites sont rares. Pourtant, personne ne semble douter que « cela finira par marcher ». Il s’agit de corriger une mutation génétique responsable en tout ou en partie d’une maladie en intervenant directement sur les chromosomes coupables. « Cela concerne à la fois les maladies héréditaires et les maladies acquises qui ont un bruit de fond génétique. Cela concerne l’hémophilie et la mucoviscidose, mais aussi les diabètes, les cancers ou les maladies neurodégénératives comme Alzheimer et Parkinson », précise le chercheur californien, pur produit de la science indienne. Tout le problème consiste à trouver un véhicule sûr et agile capable de transporter à l’intérieur du noyau des cellules malades un nouveau message génétique.

Beaucoup de promesses, des espérances, peu de résultats probants. On en a vu les limites pour les enfants bulles qui ont fini par mourir après une nette amélioration ... provisoire. Il est de briques élémentaires auxquelles on touche et dont il est difficile d'évaluer les conséquences. C'est comme dans une maison, il y a des murs porteurs, et des murs à l'importance secondaire. En génétique, l'on ne sait pas faire la part entre le mur porteur et celui secondaire marginal. On agit même parfois par tatonnement.

Autre frein, l'idée que l'on se fait de l'éthique par héritage religieux qui freine les avancées et notamment sur la thérapie génique. On repose là les fondations de concepts de base comme la sacralité de la vie, l'existence de l'âme et du droit de vie ou de mort.

Enfin, il ne faut pas oublier que ces éminents spécialistes prêchent pour leur paroisse. Les récents incidents pour un lot de Gardasil sont un exemple des limites de la médecine ...

k-do

http://www.deezer.com/track/36920

+@+
 
L’exploit n’est pas mince. Il faut d’abord circuler dans l’organisme en déjouant les défenses naturelles de celui-ci qui surveillent de près tous les intrus. Il faut ensuite que la nouvelle information s’insère au bon endroit dans le génome. « Les porteurs idéaux, ce sont les virus.Ils permettent d’injecter beaucoup de matériel génétique en une seule fois », observe Inder Verma. Avec une approche similaire, les chercheurs envisagent d’injecter dans l’organisme un gène ordonnant la production in situ d’un médicament. «On peut imaginer un gène codant pour une protéine qui pourrait dissoudre les plaques amyloïdes à l’origine de la maladie d’Alzheimer », note InderVerma.

Malgré les nombreux écueils et de vives critiques, la thérapie génique reste un sujet d’étude très actif : « Plus de 700 essais sont en cours dans le monde, dont 600 concernent la cancérologie », précise Inder Verma. En attendant ces applications probablement lointaines, c’est en France que la thérapie génique a connu la consécration. A l’hôpital Necker-Enfants Malades à Paris, l’équipe d’Alain Fischer a guéri des enfants atteints d’un déficit immunitaire rare (DICS). Les thérapies cellulaires sont dans une situation voisine. Là encore, le concept de « cellule médicament » est extrêmement séduisant. En pratique, il s’agit d’injecter dans l’organisme des cellules neuves fabriquées in vitro destinées à réparer un organe usé ou lésé. Fred Gage, un autre chercheur californien de renom, estime que cette solution n’est pas trop éloignée pour les neurones (voir ci-dessous). Son collègue Iain Robinson du Medical Research Centre britannique, (MRC) partage cet avis. Le biologiste anglais s’intéresse surtout à une glande de la taille d’un petit pois située à la base du cerveau qui joue un rôle majeur : la glande pituitaire ou hypophyse. « Elle sécrète des hormones gérant de nombreuses fonctions dont la réponse au stress, la croissance et la reproduction. »

L’imagerie médicale permet de suivre le cheminement de ces transmetteurs chimiques qui suivent un circuit très particulier dans le cerveau. « Nous savons manipuler ces hormones. Nous sommes ainsi capables d’induire le nanisme chez la souris »,indique le chercheur britannique.

Reste maintenant à passer à l’acte. Pour le directeur général de la santé,Didier Houssin, « les progrès scientifiques ne font pas nécessairement le progrès médical ». Pour accélérer ce passage du laboratoire au lit du malade, Didier Houssinmilite pour une accélération de la recherche clinique.«Ces avancées scientifiques doivent aussi être un moteur pour l’économie et se traduire par les progrès dans les traitements et le diagnostic. » Reste bien sûr le grand enjeu des neurosciences. Les questions que posent les neurobiologistes donneront le vertige au profane. « Il nous reste à relier entre eux les différents niveaux d’organisation emboîtés dans notre cerveau. Cela devrait nous permettre de comprendre les fondements neuronaux de la pensée ou de la création », estime Jean-Pierre Changeux

fin de l'article
 
Beaucoup de promesses, des espérances, peu de résultats probants. On en a vu les limites pour les enfants bulles qui ont fini par mourir après une nette amélioration ... provisoire. Il est de briques élémentaires auxquelles on touche et dont il est difficile d'évaluer les conséquences. C'est comme dans une maison, il y a des murs porteurs, et des murs à l'importance secondaire. En génétique, l'on ne sait pas faire la part entre le mur porteur et celui secondaire marginal. On agit même parfois par tatonnement.

Autre frein, l'idée que l'on se fait de l'éthique par héritage religieux qui freine les avancées et notamment sur la thérapie génique. On repose là les fondations de concepts de base comme la sacralité de la vie, l'existence de l'âme et du droit de vie ou de mort.

Enfin, il ne faut pas oublier que ces éminents spécialistes prêchent pour leur paroisse. Les récents incidents pour un lot de Gardasil sont un exemple des limites de la médecine ...

k-do

http://www.deezer.com/track/36920

+@+

Merci pour le lien! pas le temps de te répondre directement, mais promis je reviendrai sur le sujet ;)

@Romantika, merci à toi et sache que je ne t'ai pas oublié ;)
 
Tres bon sujet Amine,
Merci pour le resume.

Beaucoup de promesses, des espérances, peu de résultats probants. On en a vu les limites pour les enfants bulles qui ont fini par mourir après une nette amélioration ... provisoire. Il est de briques élémentaires auxquelles on touche et dont il est difficile d'évaluer les conséquences. C'est comme dans une maison, il y a des murs porteurs, et des murs à l'importance secondaire. En génétique, l'on ne sait pas faire la part entre le mur porteur et celui secondaire marginal. On agit même parfois par tatonnement.
+@+

Effectivement Zigotino,
Permets moi de preciser que les echecs des essaies en France (hopitla Necker) etaient dus a une methode la premiere du genre , il s'agissait de transfecter les lymphocytes par un vecteur (Virus) porteur du gene correcteur. Les insertions ont ete observees sur des oncongenes ou a proximite. Ce qui presente un Risque.
Il faut signaler que des essais du meme genre ont ete concluants en grande bretagne.

Actuellement, la methode de corriger la mutation au niveau du gene par remplacement d'une petite partie du gene (en excisant la partie mutee et la remplacer par une autre corrigee) se revele tres prometteuse.
Dans tout debut il y a toujours des risques.
aussi techniquement il faut s'assurer que les procedures ne prensentent pas de risques. Le debat est encore d'actualite pour les OGM, que dire chez les Humains.
 
Un résume d’un article paru dans les échos qui concerne les avancées de la médecine, Pour éviter la longueur du texte, j’ai pris seul en compte les passages intéressent de l’article. Si les chercheurs repoussent chaque jour les frontières de la connaissance, le passage à l’acte reste un enjeu essentiel : pour que les avancées scientifiques se traduisent enfin par des progrès médicaux.

Les avancées de la biologie ouvrent un nouveau champ dans la connaissance du vivant et la découverte de thérapies révolutionnaires. Eric Kandel, professeur à l’université Columbia de NewYork, prédit un avenir radieux à la biomédecine. Selon ce prix Nobel de médecine, les découvertes vont s’accélérer et « onn’a encore rienvu ». Venu à Paris à l’invitation des laboratoires Ipsen avec quelques uns des meilleurs biologistes mondiaux,Eric Kandel reste fasciné par le fonctionnement de la mémoire. Comment le cerveau code ces milliards de scènes, de visages et de parfums ? Pourquoi certains sont aussitôt oubliés, et d’autres restent gravés pour toujours ? « Le traitement inconscient de l’information sensorielle est un sujet à la frontière de plusieurs disciplines.N’oubliez pas que la psychiatrie est ma formation initiale », indique Eric Kandel.

La thérapie génique tiendra-telle un jour ses promesses ?«C’est une affaire de vecteurs », répond Inder Verma, du laboratoire de génétique au Salk Institute de La Jolla en Californie. Ce concept génial est connu depuis vingt-cinq ans. Mais pour l’instant les réussites sont rares. Pourtant, personne ne semble douter que « cela finira par marcher ». Il s’agit de corriger une mutation génétique responsable en tout ou en partie d’une maladie en intervenant directement sur les chromosomes coupables. « Cela concerne à la fois les maladies héréditaires et les maladies acquises qui ont un bruit de fond génétique. Cela concerne l’hémophilie et la mucoviscidose, mais aussi les diabètes, les cancers ou les maladies neurodégénératives comme Alzheimer et Parkinson », précise le chercheur californien, pur produit de la science indienne. Tout le problème consiste à trouver un véhicule sûr et agile capable de transporter à l’intérieur du noyau des cellules malades un nouveau message génétique.

merci pour ces infos,
Je retiens les dernières phrases, car effectivement le progrès ne s'arrete pas et le véhicule sùr qui transportera un nouveau message génétique, l'homme le trouvera un jour.
 
Beaucoup de promesses, des espérances, peu de résultats probants. On en a vu les limites pour les enfants bulles qui ont fini par mourir après une nette amélioration ... provisoire. Il est de briques élémentaires auxquelles on touche et dont il est difficile d'évaluer les conséquences. C'est comme dans une maison, il y a des murs porteurs, et des murs à l'importance secondaire. En génétique, l'on ne sait pas faire la part entre le mur porteur et celui secondaire marginal. On agit même parfois par tatonnement.


+@+

Cher ami, je peux comprendre ta réaction, mais avec tout mon respect, je ne la partage pas vraiment. Comme l’a si bien dit notre ami Coolqc, toute manipulation comprend des risques. Depuis les années 90 les scientifiques ont pratiqué plus de 1300 essais cliniques portant sur des thérapies géniques dans le but de combattre différentes maladies notamment ceux atteint de maladies génétiques dégénératives. Certains de ces essais sont entres dans la phase 3 (étape finale nécessaire avant la mise sur le marche). Malgré cela, aucun de ces traitements n’a reçu l’autorisation des autorités sanitaires pour des raisons d’effets secondaires comme celui de la thérapie contre le SCID (immunodéfience sévère). Cependant d’âpres un article que j’ai lu, la situation devrait changer au cours des prochains mois grâce à la commercialisation de deux produits.

L’Advexin destiné au traitement des cancers de la tête au cou et le Cerepro qui prendra pour cible le gliome malin, une tumeur mortelle du cerveau. Toutes les therapies géniques sont fondées sur l’idée suivante : au lieu d’attaquer une maladie directement, on peut manipuler les gènes du patient et ce de deux manières. La première consiste à utiliser des médicaments pour réguler l’expression d’un gène existant, ce qui revient à inhiber ou a stimuler l’activité du gène. L’autre méthode consiste a introduire des gènes étrangers, ou transgenes, pour remplacer ou réparer ceux dont les dysfonctionnements sont a l’origine de la maladie. Personnellement, je pense que l’année 2009 sera une année de découverte

@+
 
Cher ami, je peux comprendre ta réaction, mais avec tout mon respect, je ne la partage pas vraiment. Comme l’a si bien dit notre ami Coolqc, toute manipulation comprend des risques. Depuis les années 90 les scientifiques ont pratiqué plus de 1300 essais cliniques portant sur des thérapies géniques dans le but de combattre différentes maladies notamment ceux atteint de maladies génétiques dégénératives. Certains de ces essais sont entres dans la phase 3 (étape finale nécessaire avant la mise sur le marche). Malgré cela, aucun de ces traitements n’a reçu l’autorisation des autorités sanitaires pour des raisons d’effets secondaires comme celui de la thérapie contre le SCID (immunodéfience sévère). Cependant d’âpres un article que j’ai lu, la situation devrait changer au cours des prochains mois grâce à la commercialisation de deux produits.

L’Advexin destiné au traitement des cancers de la tête au cou et le Cerepro qui prendra pour cible le gliome malin, une tumeur mortelle du cerveau. Toutes les therapies géniques sont fondées sur l’idée suivante : au lieu d’attaquer une maladie directement, on peut manipuler les gènes du patient et ce de deux manières. La première consiste à utiliser des médicaments pour réguler l’expression d’un gène existant, ce qui revient à inhiber ou a stimuler l’activité du gène. L’autre méthode consiste a introduire des gènes étrangers, ou transgenes, pour remplacer ou réparer ceux dont les dysfonctionnements sont a l’origine de la maladie. Personnellement, je pense que l’année 2009 sera une année de découverte

@+

n'empêche... trouver des traitements, c'est bien, mais prévenir, ce serait mieux, non ? :rouge:
 
moi je crois que tout est possible, il viendra un jour peut etre ou l'Homme sera enfin capable d'utiliser plus de 10% de la vrai connaisance de ce monde
 
Oui bien sûr, je suis entièrement d’accord avec toi, mais malheureusement la prévention à grande échelle ce n’est pas pour demain

parce qu'on en a pas envie... il y aurait pas mal de possibilité, à commencer par l'agro-alimentaire, les industries cosmétiques, les conditions de travail... sauf que certains n'y ont aucun intérêt, bien au contraire.
 
parce qu'on en a pas envie... il y aurait pas mal de possibilité, à commencer par l'agro-alimentaire, les industries cosmétiques, les conditions de travail... sauf que certains n'y ont aucun intérêt, bien au contraire.

Encore une fois je suis d'accord avec toi et je sais très bien de quoi tu parles ;)
 
Encore une fois je suis d'accord avec toi et je sais très bien de quoi tu parles ; )

ça rapporte davantage de... créer et commercialiser des médicaments :D
la maladie c'est bon pour la croissance économique, ça fait tourner les hôpitaux et les industries pharmaceutiques... tout le monde est gagnant :D
 
ça rapporte davantage de... créer et commercialiser des médicaments : D
la maladie c'est bon pour la croissance économique, ça fait tourner les hôpitaux et les industries pharmaceutiques... tout le monde est gagnant :D

Il ne manquerait plus qu'on la cote en bourse :langue:

Sinon, je me souviens d'un débat très agité qui opposait un ministre de la santé et l'industrie pharmaceutique suite à l'introduction d'un médicament de graisse sur le marché de la santé. L'industrie avait fait publier des communiqués où elles disent que l'on peut manger des graisses à volonté, car de toute façon leur médicament viendra en aide à ces personnes. Le ministre a traité la firme pharmaceutique de pompe a fric qui ne se préoccupe que de leur intérêt au détriment de la santé des gens. Cette affaire avait fait scandale qu'elle était prête a quitté le territoire afin de s'installer ailleurs.
 
Il ne manquerait plus qu'on la cote en bourse :langue:

Sinon, je me souviens d'un débat très agité qui opposait un ministre de la santé et l'industrie pharmaceutique suite à l'introduction d'un médicament de graisse sur le marché de la santé. L'industrie avait fait publier des communiqués où elles disent que l'on peut manger des graisses à volonté, car de toute façon leur médicament viendra en aide à ces personnes. Le ministre a traité la firme pharmaceutique de pompe a fric qui ne se préoccupe que de leur intérêt au détriment de la santé des gens. Cette affaire avait fait scandale qu'elle était prête a quitté le territoire afin de s'installer ailleurs.

mdr le ministre avait raison :D
 
Retour
Haut