Les péchés,du ventre,de l'oeil et de l'oreille

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ALLAH
assalamou alaykom

1- Consommer ce qui provient de ar-ribà (concerne les ventes illicites), des impôts (al-maks), de l'extorsion, du vol, et tout ce qui est issu d'un contrat interdit selon la Chari’ ah.



2- Consommer des boissons alcoolisées. La peine légale de celui qui en a bu est de quarante coups de fouet pour une personne libre et de la moitié pour un esclave. Le gouverneur musulman a le droit d'en augmenter le nombre par mesure disciplinaire (At-Ta^zîr).



3- Consommer toute substance enivrante, toute najàçah, ainsi que tout ce qui est dégoûtant.



4- Consommer le bien de l'orphelin ou utiliser les waqf (ce que les gens ont consacré pour être utilisé dans un domaine de bienfaisance précis, comme les lieux de prières, les écoles qui une fois établis doivent rester tels quels) de façon non conforme aux conditions précisées par le donateur.



5- Ce qui est obtenu en profitant de la gêne d'une personne sans qu'elle ait agit de bon cœur.

alaykom assalam
 
Les péchés de l'œil



1 - Il y a le fait de regarder le visage ou les mains d'une femme ajnabiyyah (femme qui ne nous est pas permise) avec désir, ou le reste de son corps, même sans désir.



2- Il en est de même du regard des femmes sur les hommes, s'il s'agit de la zone comprise entre le nombril et les genoux, avec ou sans désir, et du regard sur le reste de leur corps, avec désir.



3- Il est interdit aux hommes, ainsi qu'aux femmes, de dévoiler leurs parties intimes sans besoin lorsqu’ils sont seuls.



4- Il est permis avec une personne non ajnabiyyah ou du même sexe de regarder ce qui n'est pas compris entre le nombril et les genoux si cela est sans désir.



5- Il est interdit de regarder le musulman avec mépris et de regarder dans la maison d'autrui sans sa permission, ou encore de regarder quelque chose qu'il avait caché.
 
Les péchés de l'oreille



1- Parmi les péchés de l'oreille, il y a le fait d'écouter indiscrètement les paroles de gens, ainsi que le son des instruments de musique à vent et du tombeur qui est un instrument ressemblant au luth; ainsi que tout autre son interdit.



2- De même écouter la médisance (al-ghîbah), les paroles rapportées pour semer la discorde entre les musulmans (An-namîmah) et ce qui est du même genre, au contraire du cas où on est amené à entendre quelque chose d'illicite involontairement et qu'on a détesté; on doit cependant l'interdire si on en a la capacité.
 
Les péchés de la langue





- Médire (al-ghîbah): c'est-à-dire parler de son frère en Islam en citant une de ses caractéristiques qu'il n'aime pas qu'on évoque, et cela en son absence.



- Rapporter les paroles des uns aux autres pour semer la discorde (An*namîmah).



- Semer la zizanie sans rapporter de parole, même si cela revient à inciter les animaux à se battre (at-tahrîch).



- Mentir, c'est-à-dire énoncer une parole qui n'est pas conforme à la réalité.



- Jurer pour mentir.



- Prononcer des paroles de qadhf; elles sont nombreuses et se résument ainsi: tout terme employé par une personne qui accuse de fornication quelqu'un d'autre ou un membre de sa parenté, est appelé qadhf à l'encontre de la personne concernée, d'une façon absolue si le terme est explicite et selon l'intention s'il est implicite. La peine légale du coupable de qadhf est de quatre-vingt coups de fouet s'il s'agit d'une personne libre, et de la moitié si c'est un esclave.



- Insulter les compagnons du Prophète.



- Faire un faux témoignage



- Renvoyer une dette dans le cas d'une personne ayant suffisamment de moyens, c'est-à-dire le report du remboursement de cette dette alors qu'elle peut s'en acquitter



- Insulter, maudire ou se moquer d'un musulman, ou utiliser toute parole qui le blesse ou qui lui fait mal.



- Mentir au sujet de Dieu et de Son Messager.



- La réclamation mensongère de quelque chose.



- Le divorce qui a lieu pendant une période de menstruation ou pendant une période inter-menstruelle au cours de laquelle il y a eu rapport sexuel (divorce bid^iyy).
 
- Adh-dhihar, qui revient à dire à sa femme: "Anti ^alayya kdhahri oummî": la parole employée en arabe pour dire "Je n'aurai plus de rapport sexuel avec toi tout comme je n'en ai pas avec ma mère". Le fautif doit verser une expiation (kaffàrah) au cas où il ne divorce pas immédiatement après avoir dit cela. Cette kaffàrah consiste à libérer un esclave croyant, sain de corps et d'esprit. Au cas où il ne peut pas, il devra jeûner deux mois lunaires successifs. S'il n'en est pas capable, il devra nourrir soixante pauvres en distribuant un moudd à chacun.



- Commettre une erreur volontaire dans la récitation du Coran, que cela change le sens ou non.



- Mendier quand on a suffisamment de moyens grâce à ses biens ou à son métier.



- Faire un vœu (An-nadhr) dans l'intention de priver un de ses héritiers et omettre de laisser un testament signalant une dette ou un objet à rendre dont personne d'autre ne connaît l'existence.



- Prétendre descendre de quelqu'un d'autre que de son père, ou bien prétendre avoir été affranchi par un autre que son ancien maître, comme dire: "Moi, c'est untel qui m'a affranchi", en citant une autre personne que celle qui l'a libéré.



- Demander la main d'une femme alors qu'elle est fiancée à un autre musulman.



- Émettre un décret sur un sujet de la Charte Islamique (Fatwà) sans science.



- Enseigner ou apprendre une science nuisible, sans raison légale.



- Juger suivant d'autres lois que celles de Dieu.



- Évoquer à voix haute les qualités d'un défunt et se lamenter.



- Prononcer toute parole qui incite à commettre un péché, ou qui décourage l'accomplissement d'une obligation.



- Énoncer toute parole diffamant la Religion, un des Prophètes, les savants, le Coran ou un rite quelconque honoré par Dieu.



- L'utilisation d'un instrument de musique à vent.



- Ne pas ordonner le bien (alma’roùf) et ne pas interdire le mal (al-mounkar) (Sans excuse valable).



- Garder pour soi la Science obligatoire alors qu'il y a quelqu'un qui la demande.



- Rire d'un musulman qui a laissé échapper du gaz, ou rire pour le dénigrer.



- S'abstenir de témoigner.



- Ne pas rendre le Salam obligatoire.



- De même est interdit le baiser qui excite le désir pour celui qui est entré dans le rituel du pèlerinage ou de la Oumrah (mouhrim), pour celui qui fait un jeûne obligatoire, et lorsqu'il s'agit de quelqu'un qu'on n'a pas le droit d'embrasser.
 
assalamou alaykom

1- Consommer ce qui provient de ar-ribà (concerne les ventes illicites), des impôts (al-maks), de l'extorsion, du vol, et tout ce qui est issu d'un contrat interdit selon la Chari’ ah.



2- Consommer des boissons alcoolisées. La peine légale de celui qui en a bu est de quarante coups de fouet pour une personne libre et de la moitié pour un esclave. Le gouverneur musulman a le droit d'en augmenter le nombre par mesure disciplinaire (At-Ta^zîr).



3- Consommer toute substance enivrante, toute najàçah, ainsi que tout ce qui est dégoûtant.



4- Consommer le bien de l'orphelin ou utiliser les waqf (ce que les gens ont consacré pour être utilisé dans un domaine de bienfaisance précis, comme les lieux de prières, les écoles qui une fois établis doivent rester tels quels) de façon non conforme aux conditions précisées par le donateur.



5- Ce qui est obtenu en profitant de la gêne d'une personne sans qu'elle ait agit de bon cœur.

alaykom assalam
tien c'est nouveaux comme lois ???
 
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