Les proxénètes de la République algérienne démocratique et populaire

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Les proxénètes de la République algérienne démocratique et populaire
Par Le Matin DZ/ M. Abassa



C’est bien la première fois que M. Ouyahia ouvre la bouche pour dire enfin quelque chose d’à peu près vrai. Selon la toute dernière et doctorale sentence de notre distingué et non moins honorable Premier ministre, l’Algérie est devenue un immense « cabaret national » sans en préciser cependant ni les auteurs ni les animateurs.

Parce que dans l’entendement général algérien, cabaret veut dire tout simplement bordel et rien de moins. Parce que dans ces sympathiques endroits, les spectacles suggérés se résument tout simplement à de riches commerces variés du sexe, des alcools frelatés, des drogues à ciel ouvert, l’exhibition des richesses à coup de millions de rechqate, Ou Hadhi fi khater…! Les riches toilettes parisiennes de haut standing des sulfureuses hôtesses d’accueil, les exhalaisons rotés des nouveaux riches du pouvoir, beggara pour la plupart, aisés petits douaniers, flics véreux - c’est un pléonasme - trabendistes, directeurs et sous-directeurs, divisionnaires, gros militants du trio présidentiel, courtiers présidentiels et marchands d’influence en tous genres.

C’est en ces endroits lugubres que se traitent et se négocient, entre mandants étatiques et mandatés escrocs de juteux marchés et de non moins juteuses chippa, le tout égayé par les charmes irrésistible de jeunes et jolies péripatéticiennes, champagne et whisky coulant à flot et sachets noirs en dessous de table comme première avance. C’est cela le cabaret algérien selon la définition bien comprise du sieur Ouyahia. Et on ne peut pas dire que le très honorable Mister Ouyaya, enfant assidu de la maison brûlée, lui et ses ouailles servantes, comme leurs employeurs communs, soient étrangers au développement exponentiel de la dépravation nationale et de la « bordélisation » massive de l’Algérie. Car le seul développement connu, les seuls résultats avérés, remarquables et remarqués à mettre à l’actif des gérants de l’Algérie de MM Bouteflika et Ouyahia, c’est le développement vertigineux des phénomènes qui font de l’Algérie, selon l’arrêt sans appel de M. Ouyahia, « le plus grand cabaret (c'est-à-dire bordel) du monde… » Comme disait le ministre des Finances d’Henri IV, Sully «labourage et pâturage sont les deux mamelles de la France » Bien plus que la France de Sully, l’Algérie actuelle, celle de M. Ouyahia se targue d’un patrimoine honteux de trois mamelles infécondes : corruption, prostitution et drogues sont les trois mamelles, les trois constantes, du régime de Bouteflika et de son employeur le DRS.
 
Première mamelle ; la prostitution

En moins de 20 ans, la population prostituée (femmes et hommes) est passée de quelques milliers à des centaines de milliers actuellement (sondage Institut Abassa 2008) Ce phénomène est dû principalement à la paupérisation des populations déshéritées, à la mise au chômage forcé de plus de six cent mille salariés du secteur public (décidée sur injonction du FMI) à la vente bradée des entreprises du secteur public, à la chute drastique du pouvoir d’achat, à la fermeture des centaines de maisons closes autorisées, à l’apparition de maisons de passe clandestines dans toutes les villes et villages d’Algérie. Ceci est la première conséquence directe de votre politique puisque voilà bientôt vingt ans que vous êtes au pouvoir, M. Ouyahia. Si l’Algérie est devenue le plus grand bordel du monde à ciel ouvert selon votre propre appréciation, c’est que vous en êtes, par votre politique, par votre ignorance, par votre entêtement les seuls responsables. Tout autant, on ne peut en exonérer vos chefs ni votre bande organisée moins en gouvernement responsable qu’en association de malfaiteurs décriée par tous les Algériens honnêtes, c'est-à-dire la majorité.Deuxième mamelle, la drogue

En matière de drogue, en moins de 20 ans l’Algérie de Bouteflika, d’Ouyahia et de « Belle-Khadem » est passée d’un commerce de quelques grammes à des dizaines de tonnes circulant et s’écoulant presque librement dans toutes les régions d’Algérie sans compter les drogues fortes incontrôlables (héroïne, cocaïne et psychotropes) qui, durant ces dernières années, ont fait leur entrée dans les cabarets, les bordels informels de Chadli et de Boutef, dans les lycées, l’université et les grands hôtels de passe. Vous êtes, vous M. Ouyahia et vos chefs, seuls responsables de cet empoisonnement massif de la société algérienne par des tonnes de drogues entrés clandestinement par notre frontière ouest sous le regard bienveillant et sûrement intéressé des hauts responsables chargés de la surveillance de nos frontières. C’est cet abandon-là et cette connivence diabolique (rappelez-vous ce général trafiquant de drogue à Oran) qui ont fait de l’Algérie «le plus grand cabaret du monde ».


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http://www.lematindz.net/news/4661-...que-algerienne-democratique-et-populaire.html
 
C'est vrai que l'ère Bouhef est la pire qu'ait connu l'Algérie Mais franchement Il exagère là!...
Il exagère par rapport à quoi ? De toute façon...pas un seul forum DZ ces dernières années ils te sortent le point Godwin à la moindre incartade/ Le Makhzen, le tourisme, la prostitution et de la pédophilie...pour couper court à tes arguments…

Avec le temps ils sont servis d’où le proverbe D7ak tewssel…
 
en Algerie c'est 10 000 viols d'enfant par ans, et un peus d' 1 million deux cent mille prostituées de quoi froller les pics de records mondiaux.

000 10 طفل يغتصب في الجزائر سنويا

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Elles sont des milliers à errer dans les grands boulevards, les rues, les dancings, les hôtels de passe, les cabarets, en bordures de mer, de carcasses les véhicule, les gourbis, et aux alentours des résidences universitaires. Elles sont faciles à repérer, souvent, avec une tenue très légère, en plus d’un maquillage parfois offensant, qui attire l’attention des « prédateurs » et de simples curieux. Leur nombre échappe aux calculettes de l’Etat (pas de statistiques officielles). Fuyant le mal et la mal – traitance des conjoints, des parents aux idées archaïques (patriarcat oblige !). La moyenne d’âge de ces filles de joie varie entre 18 et 45 ans, encore ces derniers temps, on voit apparaître des filles à fleur d’âge. La plupart de ces filles minettes se sont – en majorité - enfuies de la maison de leurs parents et/ou centres de rééducations. Dans la plupart des cas, elles se prostituent pour gagner de l´argent ou pour trouver à se loger.
Ces femmes aux mœurs légères (2) se retrouvent au bas du pavé ; avec comme seul gagne pain « le plus vieux métier du monde ! ». Cette phrase que l’on entend partout : « La prostitution est le plus vieux métier du monde » a pour seul but de justifier la marchandisation du corps humain.
Certaines villes algériennes – pour ne citer que les plus « médiatisées », (Oran, Tlemcen, Annaba, Bejaia, Tizi – Ouzou, Sétif, Sidi Bel Abbes, Alger, Bordj Bourraredj) sont devenues en l’espace de quelques années la plaque tournante de la prostitution, et pullulent, paradoxalement, de travailleuses du sexe,





Si l’on en croit les conclusions du sondage effectué par l’Institut ABABSA « L’Algérie compte 1,2 million de prostituées clandestines. Chacune faisant vivre autour d’elle 3 personnes. Les Algériens qui vivent directement ou indirectement de la prostitution sont 4 millions et sont âgés de 16 ans et plus (6) »


Samir Rekik

http://www.agoravox.fr/actualites/so...enter-la-97001
 
le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il existe au moins une certaine liberté d'expression dans la presse algérienne :

ce cher Mohamed Abbas ( alias Mehdi el Djazairi ) devrait au moins le reconnaître !
 
le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il existe au moins une certaine liberté d'expression dans la presse algérienne :

ce cher Mohamed Abbas ( alias Mehdi el Djazairi ) devrait au moins le reconnaître !

Oui grâce à lui qui a eu le mérite et d’autres de mettre la réalité sur le terrain en avant …. ça n'arrangent pas les fourbes qui ne connaissent de l'Algerie que l'eroport et le Douar natal ou des parents, ceux qui passait leur temps à nous insulter sournoisement... quand Ils insultaient indirectement nos mères et nos sœurs en les traitant de prostituées et j’en passe….cette fois ils tourneront leur langue 7 fois dans leurs bouches
 
Et le fils de l'ancien président Chadli; il s'arrêtait aux feux rouge avec sa ferrari rouge ? quand il était au sol bien sûr, parce qu'il a les moyens pour voler aussi
Avec Bouhef, il y a des milliers de fils de Chadli!!!
 
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