Les raisons qui poussent les employés à quitter leur job

S

Soomy

Non connecté
https://www.hays.fr/Blog-Hays-France/hays_1830324

Il n’est jamais facile pour un salarié de prendre la décision de quitter son entreprise mais certaines raisons peuvent le pousser à la démission.
Voici lesquelles :


Une meilleure rémunération


Pour un salarié sur deux, obtenir une augmentation passe par un changement d’employeur. Une rémunération jugée trop faible ne permet pas de récompenser le travail fourni ou les compétences acquises et entraîne une démotivation au travail.


Une mauvaise ambiance et des relations tendues avec son manager


Plus d’un départ sur deux serait dû à une mauvaise relation avec son manager. Les désaccords avec la hiérarchie incitent les salariés à quitter leur entreprise, même lorsqu’ils aiment leur poste. Pour bon nombre d’entre eux, ce critère est même plus important que le salaire.


Une charge de travail trop élevée


Lorsque l’employeur en demande toujours plus, que les salariés sont débordés et épuisés, ils s’en vont. Au-delà d’un certain nombre d’heures, la productivité horaire diminue drastiquement. La responsabilité du manager consiste donc à s’assurer que la charge du salarié reste adaptée à son niveau de poste et à prendre des mesures adaptées si ce n’était plus le cas.


Ou pas assez


A contrario, il arrive souvent que les salariés s’ennuient dans leur travail. Ils aiment les employeurs qui les poussent à dépasser leurs limites et atteindre des objectifs ambitieux. S’ils s’ennuient, que les tâches sont sans valeur ajoutée, ils se démotivent peu et à peu. Ils préfèrent alors opter pour rejoindre une entreprise dans laquelle ils peuvent utiliser pleinement leurs capacités. Personne n’a envie de stagner dans sa carrière. Pour beaucoup, le challenge compte plus que la rémunération.


Un employeur qui ne se soucie pas de ses salariés


S’il souhaite fidéliser les salariés, l’employeur doit leur apporter de la reconnaissance, être disponible et à l’écoute et savoir récompenser le travail bien fait. Cela passe aussi par le respect des engagements. La plupart des salariés ne sont pas capables de fournir d’efforts si leur manager n’en fait pas de même.


La mobilité géographique


La mobilité est un réel motif de démission pour un employé. S’il souhaite approfondir ou acquérir de nouvelles compétences, s’adapter à un nouvel environnement culturel et professionnel et que l’entreprise ne permet pas de telles opportunités, il peut envisager de partir. La génération Y est particulièrement à l’affût de nouveaux challenges, quitte à changer complètement de métier ou de secteur d’activité.

Il existe d’autres motifs qui peuvent pousser les salariés à quitter leur entreprise. De leur côté, les entreprises peuvent se poser la question : a-t-on fait de notre mieux pour les retenir ?


Philippe Lambert, Directeur des Ressources Humaines Hays, en collaboration avec Karen Holcman (Rédactrice)
 
je dirais aussi, no visibility no vision, no clear path on how your career will evolve, and how to reach the next level.

Having a long term plan is very important for an employee, it's kind of stability. feeling that your are just here temporary can push any employee to update his CV and LinkedIn profile as well.
 
je dirais aussi, no visibility no vision, no clear path on how your career will evolve, and how to reach the next level.

Having a long term plan is very important for an employee, it's kind of stability. feeling that your are just here temporary can push any employee to update his CV and LinkedIn profile as well.
Cela dépend aussi du profil des employés.
Certaines personnes aiment leurs petites habitudes au boulot et ne recherchent pas une évolution à tout prix. :cool:
 
Oui c'est vrai et puis il y a un réel travail à faire sur le management. Mettre constamment sous pression les employés n'est pas la solution mais on s'obstine sur cette voie. :npq:

c'est un effet Domino, la claque vient tjrs du CEO puis elle est distribute, on serre les gens car nous sommes serez par nos managers qui sont a leur tours et ainsi de suite, le gagnant se sont les investisseurs!

c'est eux qui decident en fait! le reste que des numerous... helas
 
c'est un effet Domino, la claque vient tjrs du CEO puis elle est distribute, on serre les gens car nous sommes serez par nos managers qui sont a leur tours et ainsi de suite, le gagnant se sont les investisseurs!

c'est eux qui decident en fait! le reste que des numerous... helas
Oui je le sais bien mais depuis le temps que l'on a des tas d'exemples ils devraient se rendre compte que ce n'est pas la méthode à adopter. Un employé bien dans son job, bien dans ses baskets et bien dans sa tête sera bien plus productif qu'un employé sous pression et à la limite du burn-out.
 
Oui je le sais bien mais depuis le temps que l'on a des tas d'exemples ils devraient se rendre compte que ce n'est pas la méthode à adopter. Un employé bien dans son job, bien dans ses baskets et bien dans sa tête sera bien plus productif qu'un employé sous pression et à la limite du burn-out.

ils s'en fichent, crois moi! car au final ce qui compte c'est l'argent that's it and nothing more!

avec tout leur blabla de leadership, des conneries! l'etre humain et par definition C O N et il n'aime pas le changement
 
Cela dépend aussi du profil des employés.
Certaines personnes aiment leurs petites habitudes au boulot et ne recherchent pas une évolution à tout prix. :cool:
Et ces employés n'aiment pas qu'on vienne les déranger dans leurs habitudes, ça peut même devenir violent si on veut changer les choses pour les rendre plus productifs.
J'ai eu ce problème avec des employés, ceux que j'avais comme employés subalterne et d'autres dont j'étais client.
 
Surtout pourquoi pas.
Une vie de plein air, loin des problèmes de parisien stressé

t'as quitté le monde de l'entreprise, t'as crée ta boite ? t'es allé dans le public ?
Tu m'étonnes que ce pourrait être le pied mais il faut avoir une fibre agricole.

J'ai pour habitude de ne pas m'étaler sur ma situation personnelle sur le forum mais oui j'ai quitté le monde de l'entreprise.
 
J'ai " quitté " l'entreprise familiale, parce que pas payé ou si peu, pas déclaré, pas de sécu, pas de cotisation retraite ni cotisation chômage, aucun respect de la part de la famille, traité comme si c'était " normal " de bosser gratis sans avoir le droit de me plaindre et de refuser, un esclave.
J'y ai esquinté ma santé sans que ça me rapporte quoique ce soit.
 
Et les collègues, on en parle?

On parle souvent des responsables, mais je constate que les collègues sont de plus en plus de véritables nuisances. Certains usent de toutes les manigances, pièges et stratagèmes pour nuire à d'autres.

Personnellement, j'ai récemment changé de travail et je me retrouve dans un panier de crabes hors du commun.

J'ai déjà connu les fourberies de certains (du haut vol), mais là c'est à une autre échelle car le nombre de nuisances est élevé... Au point où, je m'interroge sérieusement à vite me barrer. De l'autre côté, je n'ai pas envie, car j'ai de réelles perspectives d'évolution. Mais, être en défense en continu avec quasiment l'intégralité de mes collègues, c'est très énergivore.

J'avance, mais je ne me projette pas. Ce qui ne me ressemble pas, pour dire à quel point je suis sur un terrain miné.

C'est assez troublant comme ambiance.
 
Voilà pourquoi j’ai adopté la philosophie de travailler pour vivre et non vivre pour travailler.
Perso je ne suis pas carriériste donc si je dois évoluer j’évoluerai quand je le déciderai mais je ne fais pas parti de ces gens qui vivent à travers leur job jusqu’à user leur santé et mettre leur vie perso entre parenthèses.
Je pense que plus on prend de recule par rapport au monde du travail plus on le vis mieux.
Pour moi : travail = salaire = moyens de me faire plaisir dans la vie perso.
 
Voilà pourquoi j’ai adopté la philosophie de travailler pour vivre et non vivre pour travailler.
Perso je ne suis pas carriériste donc si je dois évoluer j’évoluerai quand je le déciderai mais je ne fais pas parti de ces gens qui vivent à travers leur job jusqu’à user leur santé et mettre leur vie perso entre parenthèses.
Je pense que plus on prend de recule par rapport au monde du travail plus on le vis mieux.
Pour moi : travail = salaire = moyens de me faire plaisir dans la vie perso.

Il y a aussi ceux qui ne sont pas carriéristes mais qui vivent à travers leur travail car ce dernier est une vraie passion.
 
Voilà pourquoi j’ai adopté la philosophie de travailler pour vivre et non vivre pour travailler.
Perso je ne suis pas carriériste donc si je dois évoluer j’évoluerai quand je le déciderai mais je ne fais pas parti de ces gens qui vivent à travers leur job jusqu’à user leur santé et mettre leur vie perso entre parenthèses.
Je pense que plus on prend de recule par rapport au monde du travail plus on le vis mieux.
Pour moi : travail = salaire = moyens de me faire plaisir dans la vie perso.

Tu as bien raison. ;)

Les évolutions permettent aussi de se faire plus plaisir dans la vie personnelle, et assez souvent ce sont des postes où on a plus de confort dans les conditions.

Pour le reste, nous ne choisissons pas tout hélas. Tu as des boîtes et des postes où tu n'as pas le choix que de devoir vivre pour le travail, car sinon tu ne survis pas. Ce n'est pas si simple que cela. :(
 
Les métiers évoluent, certains disparaissent d'autres voient le jour. Dans un avenir très proche les fiches de poste classiques vont être revisitées . Il faudra être plus que jamais polyvalent et s'adapter au travail, être flexible. On sera sélectionnés plus sur notre capacité à rebondir et à travailler dans un environnemt qui lui même évolue - que sur notre capacité à remplir des tâches précises - faudra oublier le "c'était pas sur ma fiche de poste"....
 
Et les collègues, on en parle?

On parle souvent des responsables, mais je constate que les collègues sont de plus en plus de véritables nuisances. Certains usent de toutes les manigances, pièges et stratagèmes pour nuire à d'autres.

Personnellement, j'ai récemment changé de travail et je me retrouve dans un panier de crabes hors du commun.

J'ai déjà connu les fourberies de certains (du haut vol), mais là c'est à une autre échelle car le nombre de nuisances est élevé... Au point où, je m'interroge sérieusement à vite me barrer. De l'autre côté, je n'ai pas envie, car j'ai de réelles perspectives d'évolution. Mais, être en défense en continu avec quasiment l'intégralité de mes collègues, c'est très énergivore.

J'avance, mais je ne me projette pas. Ce qui ne me ressemble pas, pour dire à quel point je suis sur un terrain miné.

C'est assez troublant comme ambiance.
Je ne sais pas dans quel domaine tu évolues, mais de mon côté je remarque une dégradation des relations entre collègues au fil des entreprises dans lesquelles j’ai travaillé.
Je pense que c’est aussi une conséquence du management « toxique » : concurrence acharnée entre collègues, contrôle social entre salariés, ragots, tentatives de stabilisation et globalement toute attitude permettant de diminuer l’autre.
Tu dois être brillante / avoir un potentiel si ils s’acharnent autant sur toi. Ils te perçoivent comme une menace. Tiens le coup, dédaigne tout ça mais si ça va trop loin et que ton moral/ santé en pâtit. Pars en courant.
 
Je ne sais pas dans quel domaine tu évolues, mais de mon côté je remarque une dégradation des relations entre collègues au fil des entreprises dans lesquelles j’ai travaillé.
Je pense que c’est aussi une conséquence du management « toxique » : concurrence acharnée entre collègues, contrôle social entre salariés, ragots, tentatives de stabilisation et globalement toute attitude permettant de diminuer l’autre.
Tu dois être brillante / avoir un potentiel si ils s’acharnent autant sur toi. Ils te perçoivent comme une menace. Tiens le coup, dédaigne tout ça mais si ça va trop loin et que ton moral/ santé en pâtit. Pars en courant.

Je te remercie. ;) Là, ça va mieux car j'ai tout re-cadré et mon super responsable aussi.

Mais, je reste sur mes gardes.

Je le prends comme une expérience sociale. Je sais que je ne resterai pas longtemps.

Mais, effectivement, c'est généralisé ce phénomène. J'ai l'impression que le pire est à venir. Avec notre chômage croissant, la crise... la concurrence est rude et les places deviennent de plus en plus chères.
 
Je te remercie. ;) Là, ça va mieux car j'ai tout re-cadré et mon super responsable aussi.

Mais, je reste sur mes gardes.

Je le prends comme une expérience sociale. Je sais que je ne resterai pas longtemps.

Mais, effectivement, c'est généralisé ce phénomène. J'ai l'impression que le pire est à venir. Avec notre chômage croissant, la crise... la concurrence est rude et les places deviennent de plus en plus chères.
Clairement. La conjoncture y joue beaucoup.
Y’a aussi une montée effrayante de l’individualisme qui impacte le monde pro.
C’est triste.
Mnt si tu es dans le monde du conseil / SSII (+ 1000%) / intégrateur ect, j’ai envie de dire c’est normal. C’est leur mode de fonctionnement. La qualité de vie au travail y est souvent médiocre, petite et grosse structure confondu.
 
Retour
Haut