non mais bien sur les rebelles ne font pas d'exactions, si ils le font c'est pour la democratie et la lebérté, une bande de tacheron qui ne savent que s'en prendre a des civils désarmé et de plus soutenu militairement par l'otan
26 septembre 2011 - Pour détourner l'attention de leurs crimes, les agresseurs "découvrent" un "charnier" qu'ils imputent à Kadhafi. Il y a longtemps qu'on l'attendait, celle-là (voir plus haut 10 avril et 24 avril). Rien de sophistiqué, cependant, la propagande de guerre de l'OTAN ne dépasse pas le niveau israélien : on se contente de présenter quelques os d'animaux (vaches ou chameaux) pour "prouver" le "massacre" de 1700 "adversaires du régime" par le "sanguinaire dictateur". Décidément, l'intox n'est plus ce qu'elle était.
Même chose d'ailleurs pour les "armes de destruction massive" dénichées près de Sebha. Eh oui, les services de désinformation ont de plus en plus de mal à trouver du personnel qualifié. Elle est loin l'époque de Colin Powell, où les gens aimaient encore la belle ouvrage...
Autre exemple de travail bâclé : il y a quelques semaines, un des nombreux correspondants israélo-américains de CNN, Ben Wedeman (Ben Mouchamerdman pour les initiés), ne sachant trop quoi faire, décida de mettre en scène une "dangereuse embuscade des kadhafistes" - lien vidéo. C'est assez drôle de le voir s'agiter et courir en tous sens pour "échapper aux coups de feu", alors qu'autour de lui, tout le monde est calme. Les "rebelles" continuent bien tranquillement de téléphoner ou de discuter entre eux sans manifester le moindre signe de panique. Espérons que la prochaine fois, une balle perdue...
29 septembre 2011 - Apparemment, les rats continuent de piétiner un peu partout. Si l'on en croit Allain Jules et d'autres sources, ils se sont fait massacrer à Sebha. Après être entrés dans la localité que ses habitants avaient quittée provisoirement, ils se sont livrés à des pillages. Malheureusement pour eux, les loyalistes les attendaient à la sortie. Les "rebelles" savent égorger des civils sans défense et saccager les villes où ils passent, mais ils ne sont ni des soldats ni des administrateurs. Sans l'aide de l'OTAN et de ses mercenaires, ils sont bien incapables de gagner la moindre bataille et encore moins d'occuper ou de gérer un pays. Ce qui n'empêche pas la propagande occidentale d'employer à leur propos des termes comme "armée libyenne", "gouvernement libyen" ou "autorités libyennes".
A Bani Walid, après leur énième incursion, les rats ont pris la fuite à la mort de leur commandant. A Syrte, faute de pouvoir attaquer par voie de terre à cause des défenses loyalistes, ils se sont fait débarquer dans le port par leurs maîtres de l'OTAN. Là aussi, le résultat a été catastrophique pour eux - en quelque sorte une Baie des Cochons en miniature. Mais alors qu'en 1961, la défaite des rats cubains avait mis fin à l'invasion yankee, 50 ans plus tard, ce n'est qu'une péripétie, l'agression impérialiste continue.
A Ghat, ville loyaliste à la frontière algérienne, une attaque "rebelle" s'est soldée par un échec. La même chose s'était produite un peu plus tôt à Ghadamès (également à la frontière algérienne). De toute évidence, le moral des rats est en baisse, il y a des désertions. Tous les jours, ils réclament une aide plus efficace de l'OTAN. Et pourtant, l'Organisation terroriste ne cesse de bombarder.