Pasdetahleb
I'am not far ! =)
Un journaliste du grand quotidien espagnol El Pais spécialiste du Maghreb et d'Al Qaida a été victime d'un piratage informatique. Les faits se sont produits le 16 septembre dernier. Ignacio Cembrero se rend compte du piratage de son ordinateur alerte alors sa direction et la Brigade d'investigation technologique (BIT) à cause de la présence d'un virus de type cheval de troie. Les intrus ont pu accéder à des données professionnelles du journaliste.
Les premiers soupçons de la police s'orientent alors, explique le journal El Mundo qui rapporte aujourdhui l'information, vers les services de renseignements algériens. En effet, la BIT a pu remonter à l'origine du cheval de troie qui se trouve être en Algérie et en déduit que cela pourrait avoir un rapport avec les échanges d'informations qu'Ignacio Cembrero a eu avec les intermédiaires qui sont intervenus dans la libération des deux otages espagnols le 22 août dernier.
La théorie du BIT est que le virus installé sur l'ordinateur du journaliste pourrait être l'uvre des services de renseignements algériens qui ont tenté de savoir qui étaient ses contacts au Sahel et les systèmes qu'il utilisait pour communiquer avec les intermédiaires des terroristes qui avaient enlevé les Espagnols.
Selon nos informations, les adresses IP utilisées sont celles dordinateurs de lENTV. Sagit-il dune signature volontaire des services de renseignements algériens ou dun acte dautres services étrangers qui ont cherché à mouiller lAlgérie ? Une chose est sûre : dans ce type denquêtes, il est quasi-impossible didentifier les coupables surtout quand les pirates utilisent des machines zombie, ces ordinateurs contrôlés à distance depuis un autre pays.
tsa-algerie
Les premiers soupçons de la police s'orientent alors, explique le journal El Mundo qui rapporte aujourdhui l'information, vers les services de renseignements algériens. En effet, la BIT a pu remonter à l'origine du cheval de troie qui se trouve être en Algérie et en déduit que cela pourrait avoir un rapport avec les échanges d'informations qu'Ignacio Cembrero a eu avec les intermédiaires qui sont intervenus dans la libération des deux otages espagnols le 22 août dernier.
La théorie du BIT est que le virus installé sur l'ordinateur du journaliste pourrait être l'uvre des services de renseignements algériens qui ont tenté de savoir qui étaient ses contacts au Sahel et les systèmes qu'il utilisait pour communiquer avec les intermédiaires des terroristes qui avaient enlevé les Espagnols.
Selon nos informations, les adresses IP utilisées sont celles dordinateurs de lENTV. Sagit-il dune signature volontaire des services de renseignements algériens ou dun acte dautres services étrangers qui ont cherché à mouiller lAlgérie ? Une chose est sûre : dans ce type denquêtes, il est quasi-impossible didentifier les coupables surtout quand les pirates utilisent des machines zombie, ces ordinateurs contrôlés à distance depuis un autre pays.
tsa-algerie