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Une découverte incroyable. Contrairement à tout ce que l'on pensait, l'auteur révèle qu'un nombre très élevé de militaires allemands (environ 150 000) étaient classés comme juifs ou "demi-juifs", selon les lois raciales des années 1930. Il y avait parmi eux des vétérans décorés, des officiers supérieurs et même des généraux et des amiraux. Ils avaient embrassé la carrière militaire, désireux de servir une nation allemande revivifiée. Ils firent l'objet de nombreux ordres d'exemption, mais quand la guerre s'éternisa, il devint de plus en plus impossible à ces soldats d'échapper au sort des millions d'autres victimes du Troisième Reich.
L'auteur de ce documentaire, tiré du livre de Bryan Mark Rigg (La Tragédie des soldats juifs d'Hitler, éditions de Fallois, 2003), a retrouvé et fait parler Werner Goldberg, et met en lumière les destins de ceux que les nazis surnommaient du terme péjoratif de Mischling (métis ou sang-mêlé). Les historiens estiment à 150 000 le nombre de ces hommes d'origine juive ayant servi dans l'armée allemande.
Les lois de Nuremberg, décrétées en 1935, permirent d'incorporer dans la Wehrmacht, la Luftwaffe ou la Kriegsmarine, des hommes issus de mariages entre aryens et juifs.
Une découverte incroyable. Contrairement à tout ce que l'on pensait, l'auteur révèle qu'un nombre très élevé de militaires allemands (environ 150 000) étaient classés comme juifs ou "demi-juifs", selon les lois raciales des années 1930. Il y avait parmi eux des vétérans décorés, des officiers supérieurs et même des généraux et des amiraux. Ils avaient embrassé la carrière militaire, désireux de servir une nation allemande revivifiée. Ils firent l'objet de nombreux ordres d'exemption, mais quand la guerre s'éternisa, il devint de plus en plus impossible à ces soldats d'échapper au sort des millions d'autres victimes du Troisième Reich.
L'auteur de ce documentaire, tiré du livre de Bryan Mark Rigg (La Tragédie des soldats juifs d'Hitler, éditions de Fallois, 2003), a retrouvé et fait parler Werner Goldberg, et met en lumière les destins de ceux que les nazis surnommaient du terme péjoratif de Mischling (métis ou sang-mêlé). Les historiens estiment à 150 000 le nombre de ces hommes d'origine juive ayant servi dans l'armée allemande.
Les lois de Nuremberg, décrétées en 1935, permirent d'incorporer dans la Wehrmacht, la Luftwaffe ou la Kriegsmarine, des hommes issus de mariages entre aryens et juifs.