Des pays finissent leur année 2010 en beauté, dautres la finissent en monstruosité. Et parmi les pays qui sont entrain de finir leur année en atrocité qui inquiète et préoccupe lhumanité, on trouve la Tunisie.
Depuis le 17 décembre, des troubles ont secoué ce pays et surtout la région de Sidi Bouzid dans le centre-ouest tunisien. Une grande partie des tunisiens a descendu dans les rues de la Tunisie pour manifester son désarroi face au chômage et la précarité de la vie qui les touche de plein fouet.
Malgré le développement économique qua connu la Tunisie, ses jeunes sont très touchés par le chômage. LEtat a certes réalisé des résultats considérables dans le domaine de lenseignement pour former un peuple cultivé, mais il na rien fait pour garantir à ses étudiants un emploi à la fin de leurs études.
Aujourdhui, être diplômé nest plus synonyme dascension sociale en Tunisie. Selon une étude réalisée par Carnegie Moyen Orient, les jeunes diplômés sont plus affectés par le chômage que le reste des tunisiens. Si le chômage touche 13,3% de la population, 21,1% des jeunes ayant obtenu une qualification sont sans emploi.
Face au chômage et la dureté de la vie, des jeunes diplômés se lancent dans des petits-commerces pour subvenir à leurs besoins et les besoins de leurs familles. Au lieu de saluer le geste de ces jeunes qui se sont lancés dans la vente de fruits et légumes sur des stands des rues tunisiennes, les autorités tunisiennes les insultent, les maltraitent, et enterrent le seul moyen quils ont trouvé pour préserver leur dignité et la dignité de leurs familles en confisquant leurs marchandises.
A cause de cette politique qui ne va pousser les jeunes de la Tunisie que vers le crime ou vers le suicide, dans lespace de dix jours, trois jeunes tunisiens ont tenté de se donner la mort. Mohamed Bouazizi sest immolé, Houcine Neji sest jeté sur un pylône électrique, et Lotfi Guadri a plongé dans un puits. Avant ces trois, Abdessalem Trimech et Chams Eddine Heni sont deux autres citoyens tunisiens animés par le désespoir, le pessimisme, et le mésaise dans un système cruel et injuste ont choisi des manières atroces pour mettre fin à leurs malheurs.
Le despotisme gouvernemental qui a poussé Mohamed Bouazizi à simmoler suite au saccage de son petit-commerce, était le déclic qui va engendrer une série des manifestations dans plusieurs villes de la Tunisie. Fulminé par les jeunes diplômés de la région centrale de Sidi Bouzid, le mouvement a gagné le reste du pays inclus Tunis où la répression policière a été très intensifiée. Dans les différents quartiers de la capitale tunisienne, de nombreuses personnes ont été arrêtées, des commerces ont été saccagés, et à Sidi Bouzid, un civil a été tué suite à louverture du feu par la police tunisienne.
Depuis le 17 décembre, des troubles ont secoué ce pays et surtout la région de Sidi Bouzid dans le centre-ouest tunisien. Une grande partie des tunisiens a descendu dans les rues de la Tunisie pour manifester son désarroi face au chômage et la précarité de la vie qui les touche de plein fouet.
Malgré le développement économique qua connu la Tunisie, ses jeunes sont très touchés par le chômage. LEtat a certes réalisé des résultats considérables dans le domaine de lenseignement pour former un peuple cultivé, mais il na rien fait pour garantir à ses étudiants un emploi à la fin de leurs études.
Aujourdhui, être diplômé nest plus synonyme dascension sociale en Tunisie. Selon une étude réalisée par Carnegie Moyen Orient, les jeunes diplômés sont plus affectés par le chômage que le reste des tunisiens. Si le chômage touche 13,3% de la population, 21,1% des jeunes ayant obtenu une qualification sont sans emploi.
Face au chômage et la dureté de la vie, des jeunes diplômés se lancent dans des petits-commerces pour subvenir à leurs besoins et les besoins de leurs familles. Au lieu de saluer le geste de ces jeunes qui se sont lancés dans la vente de fruits et légumes sur des stands des rues tunisiennes, les autorités tunisiennes les insultent, les maltraitent, et enterrent le seul moyen quils ont trouvé pour préserver leur dignité et la dignité de leurs familles en confisquant leurs marchandises.
A cause de cette politique qui ne va pousser les jeunes de la Tunisie que vers le crime ou vers le suicide, dans lespace de dix jours, trois jeunes tunisiens ont tenté de se donner la mort. Mohamed Bouazizi sest immolé, Houcine Neji sest jeté sur un pylône électrique, et Lotfi Guadri a plongé dans un puits. Avant ces trois, Abdessalem Trimech et Chams Eddine Heni sont deux autres citoyens tunisiens animés par le désespoir, le pessimisme, et le mésaise dans un système cruel et injuste ont choisi des manières atroces pour mettre fin à leurs malheurs.
Le despotisme gouvernemental qui a poussé Mohamed Bouazizi à simmoler suite au saccage de son petit-commerce, était le déclic qui va engendrer une série des manifestations dans plusieurs villes de la Tunisie. Fulminé par les jeunes diplômés de la région centrale de Sidi Bouzid, le mouvement a gagné le reste du pays inclus Tunis où la répression policière a été très intensifiée. Dans les différents quartiers de la capitale tunisienne, de nombreuses personnes ont été arrêtées, des commerces ont été saccagés, et à Sidi Bouzid, un civil a été tué suite à louverture du feu par la police tunisienne.