Lettre à Une mère…

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Issma_93
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Maman, j’ai vu le jour un 21 janvier , j’allais prendre mon premier souffle dans ce bas monde. Un bébé, que tu n’attendais pas forcement…ce qu’on appelle un enfant non désiré. Eh oui, Maman je l’ai bien ressenti que je n’étais pas cette petite fille attendue. J’étais cette chose qui est arrivée par surprise alors que tu avais étais déjà comblée par 2 petites filles, mes ainés.
Eh oui, maman, la cadette avait à peine quelques mois (4) qu’on t’annonce l’arrivée d’un nouvel enfant. Une fille. Quelle déception. Tu ne voulais même pas d’enfants et encore moins une 3eme fille….Je grandis à tes cotés muettes, aussi calme et sage qu’aucun bébé ne fut. Mais ca na pas suffit pour recevoir ton amour. J’étais pas un bel enfant, maman, je le sais, tu me le répétais. J’avais la peau matt dans un petit corps tout gringalé et toujours pale parce que je manquais de fer, tes filles étaient blanches et pimpantes comme tu les aimais. Maman, j’étais petite, je ne possédais rien, comme tout enfant je voulais juste ton amour. Un amour que tu ne m’as pas donnée. Maman j’étais petite je ne comprenais pas pourquoi tu me tapais alors que j’étais très sage. Tu me tapais d’un tel acharnement devant mes sœurs mais je ne comprenais pas maman, je n’ai rien fait. Je pleurais sans comprendre. J’étais petite Maman, J’avais besoin juste de ton amour. J’étais petite maman et tu me disais que tu ne m’aimais pas. J’aurai aimé que tu me le dise aujourd’hui, au moment ou je n’ai plus besoin de toi, ou je peux combler ton amour, mais j’étais petite je n’avais rien demandé. J’avais besoin de toi. Je me souviens maman, quand on mangait tous a table, tu rigolais sur moi parce que je n’étais pas belle, et puis mes sœurs rigolaient, ca me fesait du mal maman je pleurais devant vous pour que tu arretes mais plus je pleurais plus tu en rajoutais, j’étais vraiment triste maman de ces humiliations. Devant moi, tu disais à mes tantes que tu ne savais pas d’où je sortais, je ne ressemblais a personne, j’étais pas belle.ca me fesait tres mal. 7ans plus tard te revoila enceinte maman, je suis la première a te dire maman je t’aiderais a changer les couches du petit….Nous étions heureuses de ce garcon qui allait arriver…..mais je subis ta grossesse avec toi maman. Eh oui maman, durant ta grossesse tu me détestais, tu me haissais encore plus que d’habitude. Les folies de la grossesse….Je me souviens maman, un jour je mangeais à tes cotés, et puis jai pris un bout de viande qui était à coté de toi….Tu m’as battu Maman pour avoir mangé ce qui t’appartenait. Oui maman, j’ai senti tes coups qui m’ont afflaibli plus que jamais. J’ai grandi loin de toi, loin de ton amour. J’ai surtout appris a vivre sans toi.
Je ne m’entendais pas avec ma sœur, tu profitais de ces situations pour t’en prendre a moi. Desormais vous étiez deux contre moi. Pourtant Maman, tu le sais que ta fille avait mauvais caractère et que tu as eu du mal a l’élever, malgré tout tu l’aimais, elle, profondement. Moi j’étais un enfant calme mais tu ne m’aimais pas, moi. Je grandis sans toi, sans ton amour. Je me débrouille sans toi. La seule chose dont tu étais fiere d’admettre, c’est que j’étais la fille la plus intelligente. J’étais surdoué maman. Bien plus intelligente que tes filles, c’était peut etre la seule chose que j’avais. J’ai grandi maman mais tu me fesais toujours la misère. Si je rentrais du collège à 18h05 au lieu de 18h j’avais le droit à toutes les remontrances Malheureusement, tu ne trouvais plus la force de me taper. mais avec l’habitude je n’y fesais plus attention, Et puis maman, arrivée au lycée, je repensais souvent a mon enfance, et je pleurais seule. Je ne sais pas pourquoi c’est à l’âge de 16ans ou j’ai commencé à t’en vouloir. Je fesais le bilan de mon enfance et j’étais abbatue de comprendre sans comprendre reelement ce que j’ai subis. C’était l’age où, sans rien faire maman je me suis métamorphosé, je suis devenu belle, de jour en jour j’embellissais. Et puis la, à chaque remarque maman, j’avais du répondant. Je te respectais mais j’osais enfin dire ce que j’avais dans le cœur. Tu m’as dit en pleurant « Une fille ne parle jamais comme ca a sa mère » et je t’ai dit « tu as bien raison, c’est pour cela que je te parles comme cela, je ne t’ai jamais considéré comme ma mère parce que je n’ai jamais été réelement ta fille » Depuis, durant un an et demi on ne s’était plus addressé la parole. Tu continuais d’essayer de m’enerver mais je t’ignorais. Je gardais une expression neutre mais rempli de haine. Je ne t’aimais plus Maman. Parce que quand j’étais petite je t’aimais malgré tout. Tu sais maman J’avais fait une dépression, eh oui maman tu ne comprenais pas pourquoi le médecin me prescrivait ces cachés. Je voulais en finir avec ma vie. Cette vie finalement que je n’avais jamais demandé. Durant un an et demi, une mère n’a pas addressé la parole a sa fille. Et puis maman, j’étais en première Scientifique, je devais passer le bac de francais tu le ne savais meme pas. Mes sœurs durant les années du bac tu leur preparais leur petit sac de gouter. Moi maman tu ne me preparais rien. Durant un an et demi tu ne m’a plus parlé, a part …….le jour J ou je passais mon examen mais tu ne le savais pas . Oh maman, qu’allais tu me dire ? le moindre mot m’aurais fait du bien avant de passer mon examen. Mais tu ma dit « Tu es une fille indigne pour ne pas parler à sa mère » je t’ai regardé fixement dans les yeux, et j’ai enfin versé une larme devant toi après 1ans et demi de froideur, je t’ai dit en pleurant « même le jour ou je passe un examen tres important à mes yeux tu me pourris la vie ». Et je suis parti passser mon examen en pleurant sur le chemin. (j’ai quand même eu 18).
L’an d’après maman, je passais le bac Scientifique j’étais en terminal. C’est une séction tres dificile qui demandait beaucoup de travail personnel. Je travaillais dans la cuisine maman, parce que la lumière allait gener ton autre fille.
Et puis je suis tombée malade, je me suis fait hospitaliser maman. J’avais les veines inféctés, malade. Eh oui maman je devenais fragile. Hospitalisé je continuais de reviser. A ce moment, la, on t’annonce que ta propre mère au maroc est tres malade. Dillemme rester avec ta fille qui allait se faire opérer ou l’abandonner pour aller rejoindre ta propre mère. C’est à ce moment quand tu as su que ta propre mère était entre la vie et la mort, que tu t’es rendu compte a quelle point une fille a besoin de sa mère. tu pleurais souvent. Tu as fait le choix de rester a mon chevet . Quelle surprise. Il a fallut que je tombe gravement malade pour que tu te rendes compte de tout le mal que tu m’avais fait. Tu étais attentionnée avec moi à ces moments la. Jamais je ne t’ai connu comme ca. Tu venais tout les jours me voir Tu avais peut etre peur que je meurs sans avoir entendu de ma bouche que je t’excusais de tout ce que tu m’avais fait. Je t’ai pardonné maman. Mais au fond de moi je n’oublierais jamais ce que tu m’as fait. Je me suis dit enfin j’ai une mère, j’ai cru attendre l’age de 18ans pour sentir l’amour d’une mère. Je ne savais pas comment prendre la chose. J’étais malade mais tres heureuse. La plus heureuse. Je ne devais pas avoir mon bac maman parce que j’avais raté beaucoup de mois de cours. J’avais perdu aussi une 10ene de kilos Mais j’étais tellement motivé et heureuse que je l’ai eu, avec une mention Bien. Tu étais fière de moi maman, tres fière, tu as meme fait une fete pour moi. J’était joyeuse, trop joyeuse. j’ai repris du poids J’embellissai encore plus maman, on te fesait remarquer que tu avais une tres belle fille, tu étais contente maman. On s’attardait plus sur tes filles que tu aimais mais sur celle que tu n’aimais pas. J’ai commencé maman a travailler à coté des cours, et je te passais beaucoup d’argent maman. Tu étais encore plus gentille avec moi. Je commencais a payer les factures avec toi maman. J’avais 18ans, la plus petite de tes filles et la première a travailler. Tu montrais bien que tu preferais tes filles mais c’est pas grave tu prenais un peu soin de moi quand meme cela me suffisait. Et puis maman avec les etudes je n’arrivais plus a concilier travail-etude. Alors j’ai arreté de travailler maman. Et la je l’ai bien senti, le cauchemard recommencait. Tu étais tres dur avec moi. Tu ne m’aimais plus maman.
 
Tu me fesais la misère. Pour avoir la paix je passais a la banque retirer avant de rentrer a la maison . Quand tu commencais a me geuler dessus maman pour rien, je sortais les billets et la j’avais la paix pour 3jours a peu pres. Tu es tellement gentille avec moi a ce moment la. Et puis, aujoruudi encore c’est pareil, je te paie maman pour avoir la paix. Car tout les pretextes sont bons pour que tu t’acharne sur moi. Tu me demandes de payer les factures maman, je n’ai qu’une minable bourse. Tes filles travaillent pourqucoi c’est moi qui doit payer….Et puis maman je suis triste. Le matin quand la plus grande se reveille elle a le droit a un « bonjour, je t’ai garder une part de gateau ma fille », la cadette aura le droit a « bonjour ma fille » et tu lui sors sa tasse de café, et moi quand je viens, je n’ai le droit a rien…..et tu t’ étonnes encore parce que je ne mange plus en famille. Ca fait pratiquement 4ans que je ne mange plus avec vous. Je rentre de l’école et du boulot et je vais directement dans ma chambre. Ca fait pratiquement 4ans que j’attends que vous mangiez pour que je descende manger. Tu me demandes toujours maman, pourquoi je viens pas diner avec vous et passer la soirée avec vous ? mais je n’ai pas l’habitude, et je ne saurai pas quoi dire. Je n’ai pas l’habitude detre avec vous. Je me suis détaché de toi et avec le temps je me suis détaché de tout le monde à la maison. Tu le sais que je suis toujours la pour vous, pour vous rendre service, mais tu sais aussi que désormais je vis sans vous et que j’ai jamai eu besoin de vous ni de vos service. Le seul moment ou j’ai eu besoin de quelque chose, ca était ton amour quand j’étais enfant, un amour que je n’ai jamais eu. Aujourdui encore quand je suis dans la meme piece que toi, que j’entends subitement « qu’est ce que tu as ma fille ? » je me retourne ayant toujours l’espoir que tu me reconnaisses, et bien non tu ne t’addressais pas à moi.



Voila c’est ce que j’aurais aimé dire à ma chere maman...


besoin de l'écrire pour me libérer.
 
Ta lettre est très émouvante ! Pour que tu puisses vivre plus sereinement, il serait bon que tu déposes ton sac lourd et plein de cailloux.

Je pense que tu devrais avoir une conversation avec cette femme qui est ta mère et qui n'a pas " su y faire avec toi ".

J'imagine combien ce doit être dur à vivre. Ta mère n'est pas capable de te donner plus. C'est triste mais c'est sa réalité, c'est ce qu'elle est.

Soit, tu prends ce qu'elle peut t'offrir, soit tu t' éloignes....

Essaie tout de même de garder un minimum de lien. Mange avec elle à table, par exemple.


Parle -lui de ce que tu ressens, de tes meurtrissures et si elle ne peut pas " entendre " ou " comprendre ", tu seras allée jusqu'au bout.

Bonne route,
 
Selon moi, cette démarche est importante dans ta vie de fille, de femme parce qu'elle peut t'aider, te soulager, t'aider à avancer,.....

De plus, elle est essentielle parce que toi aussi, un jour, tu donneras la vie. Et j'imagine que tu es suffisamment sensible pour ne pas avoir envie de faire payer et porter ces morceaux de vie à tes enfants.
 
non c'est certain....Je ne veux pas en parler avec elle puisque les fois ou j'essaie je fonds en larmes! Avant je reussisais à en aprler mais avec nervosité et haine et elle mettait la faute sur moi et puis jy allait indirectement, je lui expliquais qu'elle me fesait soufrir. aujourudi je suis devenu trop sensible pour lui en parler directement. Rien que d'y penser dans ma tete j'en pleure .
 
Si la parole, les mots ne sont pas possibles, je te conseille de te faire aider par un psychologue : ce serait dommage de te gâcher la vie !



non c'est certain....Je ne veux pas en parler avec elle puisque les fois ou j'essaie je fonds en larmes! Avant je reussisais à en parler mais avec nervosité et haine et elle mettait la faute sur moi et puis jy allais indirectement, je lui expliquais qu'elle me faisait souffrir. Aujourd'hui, je suis devenue trop sensible pour lui en parler directement. Rien que d'y penser dans ma tête, j'en pleure .
 
J'ai eu du mal à finir ta lettre tellement je n'ai pu contenir mes larmes...

Elle est très émouvante, dure et dégage beaucoup de sensibilité également.

Ton passé a été difficile, et il est bien que tu sentes et réussisses à vider ton coeur avec des mots même si tu aurais préféré te confier face à ta mère.

Cela dit, ton passé est ce qu'il est et tu as appris à savoir te débrouiller et t'en sortir malgré tout, ce qui est aussi une grande force! Maintenant tu dois avancer pour construire ton avenir malgré ces bases un peu fragile.

On ne choisis pas sa famille, mais une mère ne peut pas rester indifférente au malaise de son enfant, elle doit en souffrir également mais réagit à sa façon, peut-être en étant plus froide avec toi...Allahou a3lam

Tu parles de ta mère et tes soeur, mais comment étaient les relations avec ton père ou ton frère?

Je te souhaite de te sentir mieux et de continuer à aller de l'avant...;)

Bon courage à toi;)
 
oui c'est ce que je fais.....mais croyez moi c'est pas facile. J'aimais les fois ou j'étais tres dur avec moi meme car j'encaissais, aujourd'hui je n'en ai plus la force j'en suis fragilisée, et les moindre gestes de ma mere, je suis blessée profondément et je pleure, oui aujourdui je n'ai plus que mes larmes pour pleurer tout les jours lorsque je vois ma mere me negliger comme cela.


Mon pere dans tout cela? je ne connais pas reellement mon pere. Il sort le matin tot pr rentrer tard le soir. mon pere est tres paternel ils nous aiment je le sais, mais je n'ai rien partagé avec lui et puis il n'était pas au courant de tout cela, quand il me voyait pleurer elle lui expliquait que j'avais fait des betises, des fois quand elle me tapait devant lui pour une betise (faire tomber un verre d'eau par exemple) il lui disait d'arreter qu'elle ne doit pas me taper pour cela...mais devant mon pere elle me tapait que tres rarement puisqu'il n'était pas souvent la.
 
C'est très touchant ce que t'as écris, j'en ai les larmes aux yeux ! C'est très dur ce que tu as vécu et ce que tu vis, sache que tu as toute ma considération car il en faut de la patience pour ne pas avoir péter les plombs !

Bon courage
 
Hélas...le métier de parents ne s'aprend pas....on pense à tord que l'amour enfant / parent est normal...instinctif...IL NE L'AI PAS...

Pourquoi une mère serait obliger d'aimer son enfant ? parceque'elle l'a porté 9 mois; mis au monde , allaité, veillé, fait grandir ?

En principe : oui.

Mais le problème n'est pas TOI ...mais elle !

Elle a un probléme et iil faut que tu saches ce qui s'est passé pour qu'elle ne puisse t'offrir cet amour !

Quand tu auras la réponse....tu pourras avancer.

Allah yéhdiha....
 
Essaye de dialoguer avec elle, de savoir pourquoi quand tu étais petite elle se comportait de cette manière avec toi. Si elle a toujours eu cette relation avec toi, si elle est continuellement comme ça , il doit y avoir une raison mais aujourd'hui, je crois malheureusement que c'est plus par habitude que tout autre chose. Fais lui ouvrir les yeux et surtout son coeur. La manière importe peu tant qu'il y a la volonté de recréer un lien.

Surtout ne doute pas qu'elle t'aime,certes la manière n'y est pas mais elle l'a prouvé en te choisissant à sa mère. Elle le refera si dieux le veut. Garde espoir et met le entre les mains de Allah. Courage.
 
merci beaucoup mais pour le moment je n'arrive pas a dialoguer, à en parler....j'attends de recuperer un peu , de mieux digerer et pouvoir avancer pour en parler
 
dans chaque mal il y a un bien , kheir inchallah , ce que tu a vecu est terrible et tu a du avoir beaoucoup de courage pour surmonter tout ca , allah t éprouve je te souahite de tt coeur de trouver la force d'aller au dela de cette heine, de cette indifference , je me suis tjs douté que certaine relation parent enfant sont difficile, mais pas a ce point surtout venant d une mere qui d habitude et un concentré de hanana

Allah i3awnek inchallah ,
 
je suis triste de constater encore aujourd'hui que j'ai une mere qui ne m'aime pas, triste de constater que je n'aime pas cette femme qui m'a mise au monde. Ce n'est pas dans la nature humaine, hélas, et pourtant cela existe. Aujourdui encore , cette femme qui m'a mise au monde, légitime la chose en m'expliquant qu'elle était jeune et avoir 3enfants d'un coup c'était trop, et en plus une 3eme fille, la totale, pourquoi arrive t'elle a me dire cela aussi naturellement, ca me fait mal au coeur de l'entendre me dire cela....Je réalise de jour en jour, que je ne connais pas l'amour maternelle, après 20ans d'existence je continuais a y croire et courire après cet amour, mais je n'ai tjs que des rejets, je dois me rendre a l'evidence
 
ohhh ma povre choue, je suis touchée par ton histoire!! :(

Allah y ahounek !!! je ne comprends pas l'attitude de ta mère.. pourquoi elle fait ca..??? mais franchement, c'est tres dure a y vivre !! je compatis avec toi... :(
 
Amine, je te remercie, oui j'aurai tant aimé comprendre aussi, j'aurai aimé connaitre un autre chatiment, peut etre aurais je mieux supporté 2000 chagrins d'amour, une jambe en moins ou un bras coupé en echange de cet amour
 
un jour incha Allah, elle viendra vers toi et s excusera ca fait bizarre de penser ca et de le dire parce que c est ta mère, j espere que ce jour viendra vite

je comprends ta douleur, je t envoie tout mon courage, tu es une fille très forte je trouve en tout cas
 
Amine, je te remercie, oui j'aurai tant aimé comprendre aussi, j'aurai aimé connaitre un autre chatiment, peut etre aurais je mieux supporté 2000 chagrins d'amour, une jambe en moins ou un bras coupé en echange de cet amour

Il ne faut pas dire ça,
la vie est faite d'épreuves.
tu accomplits grace à la force inestimable que tu as en toi ton destin. Courage.
 
franchement ta lettre est très émouvante, j'ai eu les larmes aux yeux en la lisant

Rapproche toi de ton père, je penses que sa te ferais du bien de ressentir l'amour d'un de tes parents. Propose lui de vivre des moments juste toi et lui quand il à un peu de temps, si cette mère ne veut pas de toi rapproche toi de ton père, tu verras qu'un père aussi peut te donner de l'amour
 
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