Lettre ouverte

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion LaLLorona
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Non tu ne t'absous pas de tes fautes au présent en parlant de mes fautes au passé. Car ton passé se conjugue aussi à l'imparfait. J'étais là, tu m'as oubliée. J'étais là, tu es parti la retrouver. J'étais là pour toi, tu m'as abandonnée. Pour ton plaisir à toi, et son plaisir à elle. Au mépris de moi. Au mépris de toutes mes privations pour aller te voir. Je t'ai mis avant moi, avant eux, eux qui me sont si chers, eux qui ne demandent qu'à me voir et passer du temps avec moi. Au mépris de l'avenir que j'ai mis entre tes mains. Au mépris du prix de surenchère que j'ai mis au profit d'une minute auprès de toi. Tu es parti et je suis restée là. En retrait, derrière. A me demander comment, pourquoi. Est ce donc cela comment tu comptes aimer celle que tu appelles la femme de ta vie, la mère de tes enfants?
 
L'histoire somme toute ordinaire. Tu es de la trempe des dominateurs. Tu es de la race des séducteurs. Et tu ne te contentes pas du bonheur. Je ne suis pas non plus un souffre-douleur. Je ne veux pas vivre ma vie abreuvée de pleurs. Je veux être heureuse et insouciante. Je veux être moi, et que tu me connaisses. Que tu m'admires. Que tu ne sabotes pas la vision de ton entourage sur moi, avant même que je ne les voie pour la première fois.
 
on sent la deception et l'amertume face à l'igratitude de quelqu'un pour qui tu as fait beaucoup de sacrficies à te lire! trop peut etre?

mais je ne suis pas sur d'avoir tout compris

vous etes mariés? il est marié?

bref bon courage

conseil d'ami : ne jamais faire passer quelqu'un d'autre aussi adorable soit il sur, avant sa famille car c'est toujours la famille qui répond présente dans les moments difficiles.


Juste
 
ouep on se demande, on dirait une devinette :D

Il n'y a pas de devinette. Il y'a juste un besoin de dire, d'affronter. Une personne qui n'est pas disponible pour écouter. Alors mon échappatoir, ça a été d'écrire ici. Sûrement que je ne serai pas lue par la personne concernée. Mais c'est comme parler à quelqu'un qu'on rencontre dans une escale. A la fin, les routes se séparent et les secrets s'éloignent à des milliers de kilomètres. La vérité reste anonyme et lointaine, et ne peut pas porter atteinte aux gens concernés.
 
on sent la deception et l'amertume face à l'igratitude de quelqu'un pour qui tu as fait beaucoup de sacrficies à te lire! trop peut etre?

mais je ne suis pas sur d'avoir tout compris

vous etes mariés? il est marié?

bref bon courage

conseil d'ami : ne jamais faire passer quelqu'un d'autre aussi adorable soit il sur, avant sa famille car c'est toujours la famille qui répond présente dans les moments difficiles.


Juste


Il n'y a pas de mariage en jeu ni de famille en jeu. Il y'a lui et moi, et les histoires du passé, qui pourrissent le présent.
 
Il n'y a pas de devinette. Il y'a juste un besoin de dire, d'affronter. Une personne qui n'est pas disponible pour écouter. Alors mon échappatoir, ça a été d'écrire ici. Sûrement que je ne serai pas lue par la personne concernée. Mais c'est comme parler à quelqu'un qu'on rencontre dans une escale. A la fin, les routes se séparent et les secrets s'éloignent à des milliers de kilomètres. La vérité reste anonyme et lointaine, et ne peut pas porter atteinte aux gens concernés.

déceptions, séparations, tous ça fait partie de la vie ...

Si tu n'as rien à te reprocher tu ne le vivras que mieux ;)

bon courage
 
Non tu ne t'absous pas de tes fautes au présent en parlant de mes fautes au passé. Car ton passé se conjugue aussi à l'imparfait. J'étais là, tu m'as oubliée. J'étais là, tu es parti la retrouver. J'étais là pour toi, tu m'as abandonnée. Pour ton plaisir à toi, et son plaisir à elle. Au mépris de moi. Au mépris de toutes mes privations pour aller te voir. Je t'ai mis avant moi, avant eux, eux qui me sont si chers, eux qui ne demandent qu'à me voir et passer du temps avec moi. Au mépris de l'avenir que j'ai mis entre tes mains. Au mépris du prix de surenchère que j'ai mis au profit d'une minute auprès de toi. Tu es parti et je suis restée là. En retrait, derrière. A me demander comment, pourquoi. Est ce donc cela comment tu comptes aimer celle que tu appelles la femme de ta vie, la mère de tes enfants?


.................... ...oui... ..................
 
Non tu ne t'absous pas de tes fautes au présent en parlant de mes fautes au passé. Car ton passé se conjugue aussi à l'imparfait. J'étais là, tu m'as oubliée. J'étais là, tu es parti la retrouver. J'étais là pour toi, tu m'as abandonnée. Pour ton plaisir à toi, et son plaisir à elle. Au mépris de moi. Au mépris de toutes mes privations pour aller te voir. Je t'ai mis avant moi, avant eux, eux qui me sont si chers, eux qui ne demandent qu'à me voir et passer du temps avec moi. Au mépris de l'avenir que j'ai mis entre tes mains. Au mépris du prix de surenchère que j'ai mis au profit d'une minute auprès de toi. Tu es parti et je suis restée là. En retrait, derrière. A me demander comment, pourquoi. Est ce donc cela comment tu comptes aimer celle que tu appelles la femme de ta vie, la mère de tes enfants?

et si nous mettons tout ca au feminin ca donnerait quoi?:eek:
 
Il n'y a pas de devinette. Il y'a juste un besoin de dire, d'affronter. Une personne qui n'est pas disponible pour écouter. Alors mon échappatoir, ça a été d'écrire ici. Sûrement que je ne serai pas lue par la personne concernée. Mais c'est comme parler à quelqu'un qu'on rencontre dans une escale. A la fin, les routes se séparent et les secrets s'éloignent à des milliers de kilomètres. La vérité reste anonyme et lointaine, et ne peut pas porter atteinte aux gens concernés.


J'espère que la suite de ton voyage sera ensoleillée, et qu'enfin tes maux soient effacés...que tu rencontres le regard de celui qui t'écoutera sans que tu ais à lui parler.
Sourire

Aster.
 
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