L’exploration pétrolière passe à la vitesse supérieure

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11 forages sont programmés par les partenaires du Maroc d’ici la fin de l’année

«Y a-t-il du pétrole au Maroc ou pas ?» Une question qui a depuis des décennies préoccupé les Marocains. Rien n’a été encore prouvé, mais l’acharnement des compagnies pétrolières en dit long sur les potentialités du Royaume, devenu très attractif sur ce plan.

La conquête de l’or noir est passée à la vitesse supérieure. Durant l’année 2013, le rythme d’exploration est un peu plus important que par le passé. Pas un mois ne passe sans l’annonce de l’entrée en lice d’une nouvelle compagnie pétrolière ou des évaluations du potentiel d’une région.

Lundi matin, deux compagnies pétrolières, partenaires du Maroc, à savoir Golfsands Petroleum et Cairn Energy annoncent le début des opérations de forage de prospection sur leurs sites respectifs, à savoir Al Krima dans le centre du Gharb et Foum Draa au large d’Agadir-Sidi Ifni. Quelques heures plus tard, l’Office national des hydrocarbures et des mines (ONHYM) confirme le démarrage des opérations de forage au large des côtes marocaines, ainsi que l’entrée de Cairn dans le partenariat ONHYM Kosmos Energy portant sur les permis de Cap Boujdour Offshore.

Selon un communiqué de l’ONHYM parvenu à Libé, les partenaires de l’Office, Cairn Energy, à travers sa filiale Capricorn, San Leon, Serica et Longreach, annoncent le démarrage du puits d’exploration FD1 situé dans l’offshore marocain entre Agadir et Sidi Ifni, à 93 km des côtes marocaines dans le bloc Foum Drâa.
Et ce n’est pas tout. Hier mardi, la directrice générale de l’Office national des hydrocarbures et des mines (ONHYM), Amina Benkhadra, a déclaré que «11 forages sont programmés d’ici la fin de l’année par l’ensemble de nos partenaires pour un investissement, entièrement financé par ces derniers, qui dépasse cette année les 3 milliards de dirhams».

Mme Benkhedra a également annoncé que la société anglaise Golfsands va démarrer le 15 novembre le forage d’un puits dans la région de Sidi El Mokhtar du bassin d’Essaouira.
La directrice de l’ONHYM, qui reste très discrète et ne préfère pas s’aventurer sur ce sujet, a mis l’accent sur l’importance de la phase des forages, « puisque ce ne sont que les forages qui permettent de confirmer un potentiel, évalué auparavant, et de déterminer s’il y a réellement des réserves».
Et d’espérer que cette phase «d’intérêts, de recrudescence et d’accroissement des investissements va nous permettre de mieux connaître notre potentiel», a-t-elle conclu.

http://www.libe.ma/L-exploration-petroliere-passe-a-la-vitesse-superieure_a43548.html
 
Que faire avec les revenus du pétrole ?

Même en limitant l’exploitation du pétrole, les revenus générés par cette industrie risquaient de déstabiliser complètement la structure sociale de la Norvège. Pas question, pour ce pays, d’éliminer les impôts et de vivre, au jour le jour, des revenus du gaz naturel et du pétrole. C’eût été s’exposer à la « maladie hollandaise », qui tire son nom de l’effondrement de l’industrie manufacturière aux Pays-Bas causé par la surchauffe économique associée à l’exploitation à grande échelle des gisements de gaz naturel dans la mer du Nord.

Puisque les ressources naturelles appartiennent aux Norvégiens, non pas à un instant donné, mais à travers les âges, on ne pourrait accepter, non plus, qu’une seule génération en bénéficie. La Norvège décida donc qu’elle ne toucherait pas à un sou des bénéfices directs de l’exploitation des hydrocarbures, mais que ceux-ci seraient investis dans des placements à long terme à l’étranger. (...) Pour ce faire, elle créa, en 1990, le Fonds pétrolier de la Norvège, dont le but est de protéger l’économie norvégienne de l’afflux massif de revenus. (...) Aujourd’hui, riche de 2385 milliards de couronnes (400 milliards de dollars), ce fonds d’investissement est le deuxième plus gros au monde. Le gouvernement, qui ne peut toucher au capital investi, retire toutefois les revenus de placement qui se montent, sur une base annuelle, à environ 16 milliards de dollars, soit près de 4000 $ par citoyen, ce qui représente aujourd’hui une fraction importante du budget de l’État.
http://www.sciencepresse.qc.ca/blogue/2010/11/15/gaz-petrole-modele-norvegien
 
un exemple à suivre

L’éducation sacrée

« La Corée a eu une profonde volonté de s’en sortir. Le travail est sacré. L’éducation est très importante. Le capital humain est le seul capital réel que possède la Corée », poursuit le professeur émérite en économie. En effet, la Corée du Sud dispose de très peu de ressources naturelles. « Mais sans le former et l’éduquer, ce capital ne sert absolument à rien », renchérit le ministre coréen à l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques), Taik-Hwan. « L’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques), c’est le groupe des pays développés. C’est la raison pour laquelle les Coréens ont tout fait pour y adhérer », résume l’ancien secrétaire général du ministère de l’Agriculture Hassan Bendabderrazik, modérateur de la table ronde du Haut-commissariat au Plan. Cela s’est fait en 1996, alors que la balance commerciale de la Corée du Sud est devenue excédentaire. En 1991, le gouvernement coréen, libéral, met l’importation des biens de capitaux étrangers au centre de sa stratégie de développement économique. Le taux d’intérêt national (court terme) était de 18% tandis que les taux directeurs internationaux ne dépassaient pas 6%.

Toujours se battre

Le génie financier opère. Les licences pour importer les biens étrangers ont énormément enrichi la Corée. La concurrence des institutions financières pour attirer ces capitaux étrangers s’est faite féroce et a dynamisé le jeu économique. Cela a permis de doper la capacité de production des entreprises (Samsung, LG, Daewoo, Hyundai se sont mondialement développés et ont diversifié leurs productions). C’était « la belle époque », avant la dépression mondiale où la Corée s’est retrouvée avec une production excédentaire ne pouvant être vendue. La Corée est emportée par la crise financière de 1997. Aujourd’hui, les Chaebols ont une croissance tassée, mais redéfinissent leurs stratégies. La résilience coréenne est édifiante. Les guerres et déchirures n’ont fait que renforcer la Corée du Sud dans la construction d’un Etat libéral, avec comme moteur premier, les Chaebols, consortia géants coréens et les institutions financières en deuxième moteur. Le tout, avec une volonté nationale de toujours s’en sortir, toujours aller plus loin, toujours se battre. « Et si la Chine court, il faut courir plus vite », résume le Pr d’économie. Le positionnement du pays se tourne vers les nanotechnologies, les technologies navales, spatiales et les biotechnologies. C’est là un autre point fort de la Corée et de sa région : l’Asie du Sud-Est travaille en complémentarité. Et la Corée se repositionne face à la Chine concurrent-partenaire, avec une vision claire de sa stratégie : la spécialisation dans la spécialisation. Les politiques industrielles marocaines auront-elles l’envergure de ce pays pour qui le travail est le salut ?

"Dès les années 60, deux plans quinquennaux ont modernisé la Corée du Sud. Grâce à la compensation japonaise de 600 millions de dollars pour les dommages de l’occupation, ils ont libéralisé le pays. Financièrement attractive, la Corée est vite devenue un leader mondial des nouvelles technologies. Ses principaux partenaires sont le Japon et la Chine. Aujourd’hui, la bataille n’est pas finie. Face à la Chine, la Corée choisit de se spécialiser encore plus : elle se tourne vers les biotechnologies, les nanotechnologies, les technologies navales..."
 
Tirons le Maroc par le haut
Idée 3 : ZERO impôts au Maroc

La Suisse, le Luxembourg, Dubai et autres places financières ne se sont pas gênées d'offrir d'immenses avantages fiscaux pour devenir ce qu'ils sont aujourd'hui.

Qu'est ce que nous attendons ? Qui nous empêche de décider nous aussi d'offrir des conditions égales sinon supérieures ?

Incontestablement nous n'avons jamais optimisé concrètement notre position géographique exceptionnelle de pont entre l'Afrique et l'Europe. Etudions ce qui peut se passer :

avant toute chose, précisons qu'il ne s'agit pas de paradis bancaire mais seulement et uniquement de paradis fiscal. Nous ne voulons pas attirer la foudre américaine ni européenne. Nous voulons juste exploser le PIB de notre pays en un temps record. Ce qui est de bonne guerre...surtout par ces temps de crise et de manque de visibilité internationale.

Donc zéro impôts au Maroc.

Et ensuite comment financer le budget de l'état ? Comment compenser ? La solution est purement mathématique...pour une fois. Donc tout à fait réalisable et vérifiable.

La colonne vertébrale de notre système fiscal est composée de trois principaux prélèvements: l'impôt sur les sociétés (IS), l'impôt général sur le revenu (IGR) et la taxe sur la valeur ajoutée (TVA). A ces trois piliers s'ajoutent les droits de douane et les droits de timbre et d'enregistrement.

Effaçons de l'équation les impôts directs ( IS + IGR) et nous allons assister à l'explosion immédiate des impôts indirects (TVA). Ce qui va très largement compenser cette suppression. Voilà pourquoi :

En mettant à zéro ou presque l'IS et l'IGR, on fera du Maroc la nouvelle Chine de l'Europe. Des milliers d'usines, d'industries et d'entreprises suffoquent en Italie, en France, en Espagne et n'ont aucune autre solution aujourd'hui que de déposer le bilan alors que leur outil de production est encore 100% opérationnel.

En transformant le Maroc en paradis fiscal, nous leur donnons le précieux oxygène dont elles ont besoin. Nous assisterons à une délocalisation historique presque précipitée de milliers d'usines européennes dont l'installation s'étalera sur toutes les zones industrielles marocaines de Hoceima à Dakhla.

Chaque clou planté va grossir notre recette de TVA et l'emploi au Maroc va exploser à tous les niveaux sociaux professionnels.

l'IS et l'IGR réunis ne représentent aujourd'hui que 6.5% de la richesse nationale. Il y a deux explications : l'économie marocaine est fortement informelle et rares sont ceux qui payent 100% de ce qu'ils doivent payer à l'état.

Le calcul est donc facile à faire : investissons 6.5% de notre patrimoine pour au moins tripler sinon quadrupler notre PIB d'ici la Coupe du Monde 2018. L'espérance mathématique de gain dans cette opération est astronomique.

il y a tellement d'avantages à transformer notre pays en un royaume fiscal qu'il faudrait en faire une thèse de doctorat.

Le patrimoine le plus précieux d'un pays est sa ressource humaine. Or force est de constater que la majorité des cerveaux marocains sont partout ( USA, Japon, Moyen Orient, Amérique Latine, Europe) sauf dans le bled.

Ce n'est pas parce qu'ils ne sont pas patriotes mais bien parce que leur savoir faire ne trouve pas terreau pour prendre racine et s'épanouir. Pour les attirer ou ne pas leur donner envie de partir il faut amener l'emploi et le marché ici.

L'impôt zéro au Maroc le fera plus vite que n'importe quelle autre décision politique, économique ou autre. Tout va suivre dés que les usines et les entreprises européennes sont s'installer : les formations, les services, les infrastructures etc. Car c'est toujours la loi du marché qui domine.

J'invite mon gouvernement à lancer l'étude de faisabilité et de rentabilité d'un tel projet. Indéniablement le Maroc deviendra à la fois le Dragon de l'Afrique et le poumon industriel de l'Europe.

Parlez de ce projet à n'importe quel président d'une Chambre de Commerce européenne, ou d'une Association Professionnelle d'une quelconque industrie, la lumière que vous verrez dans ses yeux vous évitera de faire de longs calculs.

Bien entendu on pourrait commencer par un léger forfait annuel pour les impôts directs tant pour l'entreprise que pour les particuliers...pour finir par devenir le royaume fiscal le plus intéressant au monde. Ce n'est qu'une équation mathématique et de bon sens.

Le foncier marocain va exploser, le marché de l'emploi aussi. Et le moral du citoyen au plus haut !

Casablanca Finance City devra tripler d'espace car tous les gérants de fortune, tous les conseillers en patrimoine, tous les institutions financières privées et toutes les banques viendront respirer le bon air frais de Sidi Moumen.

Si nous attelons ce projet fiscal au projet de la raffinerie d'or au Maroc ( pour acheter l'or africain en dirhams) et à celui de la gestion de nos ressources minières grâce aux capitaux islamiques à travers les sukuks, nous bâtissons trois indispensables piliers d'un Maroc moderne qui sera toujours à la pointe du progrès technologique, financier et scientifique. Un progrès qui va si vite qu'on sait désormais que certains pays ne le rattraperons plus jamais.

Si ce projet vous parle et que vous voulez contribuer à tirer notre pays par la haut, il vous suffit dans un premier temps de le partager dans vos réseaux sociaux; vous savez aujourd'hui quelle puissance ce simple geste peut engendrer. Et dans un second temps, donner vous aussi libre cours à votre créativité ...que je ne manquerai pas de partager à mon tour. Source FB mostapha belkhayate Trader
 
Essaouira:

- Kosmos 30.0% (Operator)
- BP 45.0%
- ONHYM 25.0%

Foum Assaka:

- Kosmos 29.925% (Operator)
- BP 26.325%
- Pathfinder 18.750%
- ONHYM 25.000%

Tarhazoute:

- Kosmos 30.0% (Operator)
- BP 45.0%
- ONHYM 25.0%
 
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