L'histoire d'amour entre Valéry Giscard d'Estain et Lady Di

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L'ancien chef de l'Etat Valéry Giscard d'Estaing conte dans un nouveau roman les amours passionnées d'un président français et d'une belle princesse du pays de Galles, une épopée romanesque aux allures de roman à clé dont le quotidien Le Figaro publie lundi des extraits.

"La Princesse et le Président" raconte le coup de foudre qui frappe, au milieu des années 80, Jacques-Henri Lambertye, président français veuf, et Patricia, une princesse de Cardiff très médiatique et malheureuse en ménage: deux personnages rappelant l'auteur lui-même et feu Lady Diana, princesse de Galles.

La rencontre a lieu lors du dîner de clôture d'un sommet du G7 au palais de Buckingham: "Je lui ai baisé la main, et elle m'a interrogé, ses yeux, maintenant ardoise, agrandis dans son visage, qu'elle tient incliné en avant", se souvient le "président".

Membre de l'Académie française, l'auteur compare volontiers l'émoi adolescent du "président" à celui d'autres grands amoureux de la littérature, dont le héros de Stendhal Julien Sorel. Son héros fond sous les "regards obliques" de la princesse ou tremble sous le "glaive de l'amour absolu".

La description minutieuse de l'aventure, son contexte et le caractère des protagonistes laissent s'insinuer un doute sur le caractère imaginaire du récit, selon le Figaro, un doute visiblement instillé avec gourmandise par l'auteur, président retraité de 83 ans.

En dépit d'épisodes romanesques comme la réélection du président, ratée par Giscard en 1981, le doute est posé d'emblée par les mots "Promesse tenue", une épigraphe qui semble vouloir entretenir toutes les ambiguités.

Si le roman ne livre pas toutes les réponses, cette aura de mystère et la référence toujours prometteuse à la princesse disparue, pourrait lui assurer un beau lancement dès sa sortie, le 1er octobre aux éditions de Fallois-XO.

Valéry Giscard d'Estaing avait été élu président en 1974, avant d'être battu par François Mitterrand en 1981. Il a ensuite poursuivi sa carrière politique, mais sans jamais retrouver les sommets.
 
L'ancien chef de l'Etat Valéry Giscard d'Estaing conte dans un nouveau roman les amours passionnées d'un président français et d'une belle princesse du pays de Galles, une épopée romanesque aux allures de roman à clé dont le quotidien Le Figaro publie lundi des extraits.

"La Princesse et le Président" raconte le coup de foudre qui frappe, au milieu des années 80, Jacques-Henri Lambertye, président français veuf, et Patricia, une princesse de Cardiff très médiatique et malheureuse en ménage: deux personnages rappelant l'auteur lui-même et feu Lady Diana, princesse de Galles.

La rencontre a lieu lors du dîner de clôture d'un sommet du G7 au palais de Buckingham: "Je lui ai baisé la main, et elle m'a interrogé, ses yeux, maintenant ardoise, agrandis dans son visage, qu'elle tient incliné en avant", se souvient le "président".

Membre de l'Académie française, l'auteur compare volontiers l'émoi adolescent du "président" à celui d'autres grands amoureux de la littérature, dont le héros de Stendhal Julien Sorel. Son héros fond sous les "regards obliques" de la princesse ou tremble sous le "glaive de l'amour absolu".

La description minutieuse de l'aventure, son contexte et le caractère des protagonistes laissent s'insinuer un doute sur le caractère imaginaire du récit, selon le Figaro, un doute visiblement instillé avec gourmandise par l'auteur, président retraité de 83 ans.

En dépit d'épisodes romanesques comme la réélection du président, ratée par Giscard en 1981, le doute est posé d'emblée par les mots "Promesse tenue", une épigraphe qui semble vouloir entretenir toutes les ambiguités.

Si le roman ne livre pas toutes les réponses, cette aura de mystère et la référence toujours prometteuse à la princesse disparue, pourrait lui assurer un beau lancement dès sa sortie, le 1er octobre aux éditions de Fallois-XO.

Valéry Giscard d'Estaing avait été élu président en 1974, avant d'être battu par François Mitterrand en 1981. Il a ensuite poursuivi sa carrière politique, mais sans jamais retrouver les sommets.

Que ne feraient les maisons d'édition et les libraires pour faire vendre?
Giscard d'Estain et Lady Di...Le Président et la Princesse...Il aura tout aussi bien pu s'intituler "La Belle et la Bête" ou "La Princesse et les deux lapins"...
D'ailleurs, la trame du livre en elle-même est si peu originale et aromantique. Une rencontre des G.. n'a jamais émoustillé qui que ce soit...sauf les retraités en mal d'idée (ou de libido)...
 
Que ne feraient les maisons d'édition et les libraires pour faire vendre?
Giscard d'Estain et Lady Di...Le Président et la Princesse...Il aura tout aussi bien pu s'intituler "La Belle et la Bête" ou "La Princesse et les deux lapins"...
D'ailleurs, la trame du livre en elle-même est si peu originale et aromantique. Une rencontre des G.. n'a jamais émoustillé qui que ce soit...sauf les retraités en mal d'idée (ou de libido)...

Il paraît que les réunions avec Berlusconi sont plutôt sympas :):)
 
non! : D
mais en livre seulement!
parait il que c'est étrangement bien décrit (leur vie, les appartements, les toilettes ze3ma vetements) de façon à ce qu'on croit que c'est vrai!

Ufffffff je préfère ca :eek:

car j'ai eu une vision d'horreur pendant qq secondes :D
 
toi t'as rien compris :rolleyes:

saym? : D

c'est un Romannnnnnnnnnnnnnnnnnnnn

Bonjour princesse chevelue, :D

j'ai pas lu le post de FPP, j'ai lu cette niouze sur yahoo, j'avais bien compris qu'il s'agissait d'un roman mais je pensais qu'il y insinuait qu'il avait eu une relation avec Lady Di.
 
Bonjour princesse chevelue, :D

j'ai pas lu le post de FPP, j'ai lu cette niouze sur yahoo, j'avais bien compris qu'il s'agissait d'un roman mais je pensais qu'il y insinuait qu'il avait eu une relation avec Lady Di.

et bah justement c'est l'effet attendu pr attiser la curiosité des gens comme toi mdr ki ne lisent que le titre:D hahahaha
 
casse toi avec tes chansons d'obsédés sexuels à la frankie vincent:D
mais merci quand meme!

ps: lis le roman tu verras ça te changera: D

je ne lis jamais de roman, c'est psychologique, la fiction je la préfère à la télé ou au cinoche, tu me rassures quand même, c'est vrai que vge et lady di, c'est la belle et la bête.
 
moi je dis qu' il a plus rien à perdre , j vois pas pkoi il irait inventer ça , à moins que la sénilité n ' ait encore fait une victime :rolleyes:
 
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