L'histoire de la nation algérienne

Présence de populations primitives attestée dès le paléolithique moyen.
- A partir du XVIème avant J.C. : arrivée des populations berbères. Très tôt se différencient deux types de peuples : sédentaires sur les régions côtières, nomades à l’intérieur des terres.
- Dès le XIIème siècle av. J.C. : les Phéniciens installent de nombreux comptoirs.
Carthage va exercer pendant de nombreux siècles une influence importante (échanges marchands avec les Numides, diffusion de l’art grec).
- Du IIème siècle av. J.C. au Vème siècle après J.C. : Rome impose son administration et l’Algérie connaît une remarquable prospérité et le développement d’importants centres intellectuels (Cirta, Timgad). La décadence de l’empire romain ouvre la voie aux Vandales puis aux Byzantins qui se heurtent aux révoltes des Berbères.
- Au VIIème siècle : début de la conquête arabe et de l’islamisation auxquelles les Berbères résistent jusqu’au début du XIIIème siècle.
- Entre le VIIIème et les XVème siècles se forment des états indépendants en Algérie musulmane : le royaume de Tahert, l’état Hammadide puis l’empire des Almohades. L’Algérie sous régime turc doit résister aux attaques des Espagnols.
- Avec le XVIIème siècle s’ouvre la période de la course : la riche et puissante corporation des corsaires dispute l’influence aux janissaires, l’emporte en 1671 et confie le pouvoir à un dey qui a sous ses ordres trois beys, dans les faits presque indépendants, l’un à Oran, l’autre à Médéa et le troisième à Constantine. Intensification de la rivalité entre la France et l’Angleterre pour le contrôle de la Méditerranée. La puissance centrale lacunaire et l’autorité religieuse des marabouts ouvre la voie à la colonisation.
- De 1830 à 1930 : conquête et la colonisation de l’Algérie. En 1815, tentative infructueuse du congrès de Vienne de mettre fin à la piraterie. En 1830, envoi d’une expédition punitive par Charles X consécutive à des différends avec le dey d’Alger. Le Maréchal de Bourmont débarquent à Sidi-Ferruch puis les Français pénètrent dans Alger et conservent quelques positions sur les côtes. A partir de 1834, décision d’organiser la conquête. Le général Drouet d’Erlon est nommé gouverneur général et doit limiter l’occupation du pays à la seule zone littorale (occupation restreinte). La France se heurte à Abd-el-Kader dont la ruse, l’intelligence et l’autorité sur les tribus font un adversaire redoutable et avec lequel s’engagent des négociations (Traité de La Tafna en 1837).
- Octobre 1837 : prise de Constantine par la France qui amène l’émir à dénoncer le traité; une brusque attaque lui livre la plaine de la Mitidja en novembre 1839.
 
- De 1848 à 1900 : consolidation de la conquête par des opérations visant à soumettre le Sud et la Kabylie. La colonisation rencontre des difficultés : acquisition des terres, organisation administrative ( 3 départements créés, Alger, Oran et Constantine et bureaux arabes militaires pour les territoires non pacifiés ). Insurrections en Kabylie en 1871, dans le Sud-Oranais en 1881 à l'issue desquelles la pacification est considérée comme acquise; le régime civil prévaut.
- Après 1879 : les gouvernements se montrent favorables à l'assimilation. Le peuplement européen s'accélère (Français et Espagnols). Malgré les liens étroits avec la métropole, l'état d'esprit nationaliste prônant l'émancipation persiste. Le groupe intellectuel des Jeunes Algériens pose la question des réformes (inégalités fiscales, représentation politique des musulmans) ; retardées par la 1ère guerre mondiale, elles sont mises en place dès 1919 mais soulèvent les protestations des Européens d'Algérie, de même la politique jugée trop libérale du gouverneur Violette.
Les problèmes sociaux et économiques et l'éveil de nouveaux courants nationalistes ( propagande anti-française des ulémas créés en 1931, formation du P.P.A., Parti du Peuple Algérien, par Messali Hadj en 1936 ) rendent difficiles la question des réformes.
- Seconde guerre mondiale : participation active de l'Algérie.
- En 1945, puis de 1952 à 1954 sous l'égide de l'O.S. (Organisation Spéciale), créée en 1947, proche des masses populaires et rurales : intensification des revendications nationalistes et création de nouveaux partis; à l'instar du reste de l'Afrique du Nord des incidents sanglants éclatent : à Sétif et à Gabès.
 
- Au milieu de 1954, scission du M.T.L.D. (Mouvement pour le Triomphe des Libertés Démocratiques) : les "messalistes" rangés du côté de Messali Hadj et les "centralistes" dont Ben Khedda, ces deux fractions opposées étant critiquées par les dirigeants de l'O.S. notamment Ben Bella.
- Le 1er octobre 1954, début de la lutte à main armée encouragée par le F.L.N. (Front de Libération Nationale) et Ferhat Abbas, chef de l'Union Démocratique du Manifeste Algérien (U.D.M.A.). Attentats terroristes, mesures militaires imposées par la France; actions renforcées des rebelles pour empêcher l'écrasement de la révolte suggéré par le propos de Guy Mollet, chef du gouvernement: "cessez le feu, élections,négociations".

- Le 13 mai 1958, violentes manifestations de rues. Création de comités de salut public. Le président Coty fait appel au général de Gaulle pour mettre sur pied un vaste plan de réformes en même temps que s'élabore la Constitution de la Vème République. Référendum du 28 septembre : 96% de votes favorables à la nouvelle Constitution. En novembre, élections. Cependant, de nombreuses opérations militaires sont nécessaires pour maîtriser la rébellion.
- Le 16 septembre 1959 : reconnaissance par le général de Gaulle du principe d'autodétermination.
- Janvier 1960 : agitation croissante, grèves et émeutes au nom de l'Algérie française. Nombreuses arrestations parmi les activistes. Lancement de la formule de ralliement : Algérie algérienne offrant la perspective d'une décentralisation.
- Juin 1960 : entretiens à Melun entre les envoyés du G.P.R.A. (Gouvernement provisoire de la République algérienne) et le gouvernement français, qui aboutissent à un durcissement de la révolte.
 
- 20 septembre : Première séance de l'assemblée élue quelques jours avant la formation du gouvernement Ben Bella et l'admission de l'Algérie à l'O.N.U. La politique internationale et l'action intérieure du gouvernement s'orientent dans le sens de l'idéal de la révolution : indépendance sur le plan international, négociations économiques et financières entreprises avec la France, désaccords à résoudre entre Alger et Tunis et Rabat, relations avec les nations musulmanes de l'Orient méditerranéen. Une ligne politique souple s'impose face à des exigences souvent contradictoires.
L'atmosphère intérieure reste assez lourde : arrestations diverses , exclusion du F.L.N. de Ferhat Abbas, adoption du régime du parti d'état unique, référendum sur la Constitution.
 
- A partir de l'automne 1963 : éclatent de grandes crises : nationalisation des terres françaises, confiscation des biens propriétés des Français, rébellion kabyle à l'occasion du conflit algéro-marocain. Conclusion d'accords économiques entre Alger et Tunis. Situation économique et sociale pesante. Des mesures d'apaisement sont décidées pour tenter de calmer ces différentes crises. L'opposition est très importante et ses leaders sont dans l'obligation de prendre la fuite (Ferhat Abbas, Ben Khedda, Mostefaï).
- Mai 1964 : Renforcement de la coopération algéro-soviétique lors du voyage de Ben Bella en U.R.S.S. .
- Janvier 1965 : Grèves massives. Puis prise de pouvoir par le colonel Houari Boumediene, appuyé sur l'armée nationale populaire.
- 1966 : Situation économique déplorable entraînant de nouvelles nationalisations.
 
.- 1980 : Libération de Ben Bella.
La redéfinition des secteurs prioritaires (agriculture, hydraulique, problèmes sociaux) permet de réduire la dépendance extérieure en marquant une pause dans le développement industriel. La volonté d'arabisation réaffirmée occasionne des troubles en Kabylie francophone. Reprise des relations avec la France qui aboutissent à un "accord politique" sur le prix du gaz naturel livré à la France, en 1982.
- 17 décembre 1982 : 1ère visite d'un président algérien en France depuis l'indépendance.
- 1985 : effondrement du cours du pétrole, manifestations et arrestations de divers opposants (chanteurs, jeunes manifestants).
- 1986 : référendum pour une nouvelle Charte nationale affirmant le peuple algérien arabe et musulman.
- 1988 : reprise des relations diplomatiques avec le Maroc puis avec l'Egypte. Manifestations importantes à l'initiative des mosquées et du F.I.S. (Front Islamique de Salut) en 1990 et en 1991.
- 25 mai 1991 : Lancement d'une grève générale illimitée (prend fin le 9 juin). Démission de Sid Ahmed Ghozali, Premier Ministre. Nombreuses arrestations de dirigeants et de responsables du F.I.S.
.Début de la guerre civile qui va se poursuivre jusqu'en décembre 1997.
- 2 janvier 1992 : 300 000 personnes manifestent pour sauver la démocratie à Alger. démission de Chadli. L'intérim est assuré par Abdelmalek Benhabiles. Création d'un Haut Comité d'État, dont le président, Mohamed Boudiaf, est assassiné pendant un discours. Il est remplacé par Ali Kafi. Condamnations, arrestations, attentats revendiqués par le F.I.S., actes et incendies criminels se succèdent pendant l'année 1993. Ultimatum du G.I.A. (Groupe Islamique Armé) incitant les étrangers à quitter l'Algérie.
- 30 janvier 1994 : le général Liamine Zéroual est nommé chef de l'État. Le G.I.A. durcit sa position par des actes terroristes alors que le F.I.S. condamne les violences contre les civils.
- 30 décembre 1995 : Ahmed Ouyahia remplace Mokdad Sifi dans la fonction de Premier Ministre. Un Conseil consultatif national remplace l'Assemblée populaire. Levée du couvre-feu en vigueur depuis 3 ans à Alger. Organisation d'une conférence d'entente nationale.
- 1997 : plus de 300 morts lors du ramadan ; libération d'Abassi Madani (leader du F.I.S.) après 6 ans de prison.
- 1998 : mission d'information à Alger de 3 secrétaires d'État européens. 1000 morts pendant le ramadan. En juin et juillet, émeutes en Kabylie contre l'assassinat du chanteur berbère Matoub Lounès.
- 5 juillet : la loi sur l'arabisation entre en vigueur. Démission du ministre de la justice, Mohamed Adami.
- En 1999, Liamine Zeroual décide de mettre fin à son mandat présidentiel qui devait s'achever en 2000. Des élections présidentielles anticipées sont alors organisées au mois d'avril 1999. Huit candidats se présentent au premier tour parmi lesquels figure Abdelaziz Bouteflika, qui fut déjà par le passé l'ancien ministre des Affaires étrangères de Houari Boumediène. Avant la fin du déroulement des élections, les sept autres candidats décident d'un commun accord de se retirer suite à des cas de fraudes qu'ils déclarent avoir observés.
 
Abdelaziz Bouteflika décide de maintenir sa candidature et remporte les élections présidentielles avec un taux de 74 %. Il s'engage dès lors à appliquer son programme qui s'articule autour de trois axes principaux : le retour de la paix à travers l'application de la concorde nationale, la réactivation de l'économie et le retour de l'Algérie sur la scène internationale. Son premier mandat s'achève en 2004. De nouvelles élections sont organisées au mois d'avril, le principal concurrent du président sortant étant son ancien Premier ministre Ali Benflis.
La campagne électorale se déroule autour de ces deux candidats, et le suspense entretenu par les médias tant nationaux qu'internationaux, est perceptible jusqu'au dernier jour des élections. Abdelaziz Bouteflika est finalement réélu avec un taux de 85 %. Son programme pour le deuxième mandat prévoit un plan quinquennal pour la relance de l'économie, au profit duquel il consacre une enveloppe financière de 150 milliards de dollars. Parmi les chantiers ouverts à la faveur de ce plan, il y a l'engagement de construire un million de logements avant la fin du mandat en cours, ainsi que l'effacement de la dette extérieure qui constituait un réel fardeau pour l'économie algérienne, et enfin la réduction du taux de chômage.
- En 2009, la France accepte d'indemniser les victimes estimées entre 20 000 et 30 000 personnes lors des essais nucléaires français en Algérie pendant les années 1960.
- En mars et d'avril 2009, la campagne électorale pour les présidentielles se déroule et Abdelaziz Bouteflika est réélu pour un troisième mandat le 9 avril 2009
 
de quelle algerie tu parles ?

- le tiers de l'algerie actuelle appartenait au maroc avant la colonisation
les francais ont voulu restituer , tindouf et toute la partie ouest au maroc , mais mohamed 5 a refusé , croyant qu'il va regler ça avec le traitre FLN
c'etait une enorme faute

- les touaregs ne faisait pas partie de l'algerie ,non plus
 
de quelle algerie tu parles ?

- le tiers de l'algerie actuelle appartenait au maroc avant la colonisation
les francais ont voulu restituer , tindouf et toute la partie ouest au maroc , mais mohamed 5 a refusé , croyant qu'il va regler ça avec le traitre FLN
c'etait une enorme faute
ah bon ?pourtant quand les premiers soldats français sont arrivés , il n'y avait pas un seul douanier marocain ..:D

-
les touaregs ne faisait pas partie de l'algerie ,non plus

et pourtant qu'est ce qu'ils kiffent l'algérie ...comme tous ses enfants d'ailleurs , de tindouf à annaba et d'oran à tamanrasset..
 
Présence de populations primitives attestée dès le paléolithique moyen.
- A partir du XVIème avant J.C. : arrivée des populations berbères. Très tôt se différencient deux types de peuples : sédentaires sur les régions côtières, nomades à l’intérieur des terres.
- Dès le XIIème siècle av. J.C. : les Phéniciens installent de nombreux comptoirs.
Carthage va exercer pendant de nombreux siècles une influence importante (échanges marchands avec les Numides, diffusion de l’art grec).
- Du IIème siècle av. J.C. au Vème siècle après J.C. : Rome impose son administration et l’Algérie connaît une remarquable prospérité et le développement d’importants centres intellectuels (Cirta, Timgad). La décadence de l’empire romain ouvre la voie aux Vandales puis aux Byzantins qui se heurtent aux révoltes des Berbères.
- Au VIIème siècle : début de la conquête arabe et de l’islamisation auxquelles les Berbères résistent jusqu’au début du XIIIème siècle.
- Entre le VIIIème et les XVème siècles se forment des états indépendants en Algérie musulmane : le royaume de Tahert, l’état Hammadide puis l’empire des Almohades. L’Algérie sous régime turc doit résister aux attaques des Espagnols.
- Avec le XVIIème siècle s’ouvre la période de la course : la riche et puissante corporation des corsaires dispute l’influence aux janissaires, l’emporte en 1671 et confie le pouvoir à un dey qui a sous ses ordres trois beys, dans les faits presque indépendants, l’un à Oran, l’autre à Médéa et le troisième à Constantine. Intensification de la rivalité entre la France et l’Angleterre pour le contrôle de la Méditerranée. La puissance centrale lacunaire et l’autorité religieuse des marabouts ouvre la voie à la colonisation.
- De 1830 à 1930 : conquête et la colonisation de l’Algérie. En 1815, tentative infructueuse du congrès de Vienne de mettre fin à la piraterie. En 1830, envoi d’une expédition punitive par Charles X consécutive à des différends avec le dey d’Alger. Le Maréchal de Bourmont débarquent à Sidi-Ferruch puis les Français pénètrent dans Alger et conservent quelques positions sur les côtes. A partir de 1834, décision d’organiser la conquête. Le général Drouet d’Erlon est nommé gouverneur général et doit limiter l’occupation du pays à la seule zone littorale (occupation restreinte). La France se heurte à Abd-el-Kader dont la ruse, l’intelligence et l’autorité sur les tribus font un adversaire redoutable et avec lequel s’engagent des négociations (Traité de La Tafna en 1837).
- Octobre 1837 : prise de Constantine par la France qui amène l’émir à dénoncer le traité; une brusque attaque lui livre la plaine de la Mitidja en novembre 1839.


l'histoire de ce pays a débuter a la date de sa création par la france en 1962
 
HAHHA continue comme ça tu me fait rire


c'est a cette époque qu'ont a entendu pour la première fois le super slogan " one two three viva l'algerie" :D
non , c'était l'afrique aux africains ..
je t'invite à lire :
charles andré julien : l'histoire de l'afrique du nord

c'est le maitre incontesté de l'histoire du maghreb..
tu verras , tu seras fasciné..

Histoire de l'Afrique du Nord: Amazon.fr: Charles-André Julien, Christian Courtois, Roger Le Tourneau: Livres
 
Présence de populations primitives attestée dès le paléolithique moyen.
- A partir du XVIème avant J.C. : arrivée des populations berbères. Très tôt se différencient deux types de peuples : sédentaires sur les régions côtières, nomades à l’intérieur des terres.
- Dès le XIIème siècle av. J.C. : les Phéniciens installent de nombreux comptoirs.
Carthage va exercer pendant de nombreux siècles une influence importante (échanges marchands avec les Numides, diffusion de l’art grec).
- Du IIème siècle av. J.C. au Vème siècle après J.C. : Rome impose son administration et l’Algérie connaît une remarquable prospérité et le développement d’importants centres intellectuels (Cirta, Timgad). La décadence de l’empire romain ouvre la voie aux Vandales puis aux Byzantins qui se heurtent aux révoltes des Berbères.
- Au VIIème siècle : début de la conquête arabe et de l’islamisation auxquelles les Berbères résistent jusqu’au début du XIIIème siècle.
- Entre le VIIIème et les XVème siècles se forment des états indépendants en Algérie musulmane : le royaume de Tahert, l’état Hammadide puis l’empire des Almohades. L’Algérie sous régime turc doit résister aux attaques des Espagnols.
- Avec le XVIIème siècle s’ouvre la période de la course : la riche et puissante corporation des corsaires dispute l’influence aux janissaires, l’emporte en 1671 et confie le pouvoir à un dey qui a sous ses ordres trois beys, dans les faits presque indépendants, l’un à Oran, l’autre à Médéa et le troisième à Constantine. Intensification de la rivalité entre la France et l’Angleterre pour le contrôle de la Méditerranée. La puissance centrale lacunaire et l’autorité religieuse des marabouts ouvre la voie à la colonisation.
- De 1830 à 1930 : conquête et la colonisation de l’Algérie. En 1815, tentative infructueuse du congrès de Vienne de mettre fin à la piraterie. En 1830, envoi d’une expédition punitive par Charles X consécutive à des différends avec le dey d’Alger. Le Maréchal de Bourmont débarquent à Sidi-Ferruch puis les Français pénètrent dans Alger et conservent quelques positions sur les côtes. A partir de 1834, décision d’organiser la conquête. Le général Drouet d’Erlon est nommé gouverneur général et doit limiter l’occupation du pays à la seule zone littorale (occupation restreinte). La France se heurte à Abd-el-Kader dont la ruse, l’intelligence et l’autorité sur les tribus font un adversaire redoutable et avec lequel s’engagent des négociations (Traité de La Tafna en 1837).
- Octobre 1837 : prise de Constantine par la France qui amène l’émir à dénoncer le traité; une brusque attaque lui livre la plaine de la Mitidja en novembre 1839.

ce qui compte pour nous les marocains est que le colonisateur francais a amputer le territoire marocain pour l annexer a l Algerie francaise
et au lieu de restituer ces territoire au Maroc vous avez apprecier l heritage francais et vous continuez de les occuper
 

moi je te file des références sérieuses , des Maitres , des précurseurs , des savants reconnus par leurs pairs et toi tu me sors bernard lugan ? un réactionnaire frontiste pro OAS
et pro colonialisme , suprématiste de la race européene et anti algérien notoire ?
tu ose le comparer à charles andré julien et aux autres Maitres du siécle passé ?

soyons sérieux stp ...

je t'ai donné une référence sérieuse et mondialement connu ..si tu veux en apprendre un peu plus sur la région..
 


Bernard Lugan, c'est un historien faussaire, c'est unu mercenaire au service du Makhzen.

Bernard Lugan a été payé grassement et en dollars par Hassan II pour pondre des mensonges propagandistes hideux.

Seuls les marocains, coutumiers des mensonges et de la falsification accordent de l'importance à cet Historien, fasciste, islamophobe et raciste pied-noir viscéralement anti-algérien.

Juste une question: Pourquoi on ne voit jamais Bernard Lugan, dans les plateaux de télé français, lui qui se prétend spécialiste du Maghreb et qui est tant vénéré par les marocains.

Ce satanique Bernard Lugan est interdit de séjour en Algérie :D, alors il peut raconter tout ce qu'il veut, et bien entendu les marocains ennemis et haineux de l'Algérie boivent ses paroles comme du petit lait!!! :D

Réponse: C'est un historien bidon, très proche des groupuscule nazi d’extrême droite, faschiste et raciste, islamophobe. le Hasard a juste voulu que Bernard Lugan soit engagé par Hassan II pour écrire l'histoire de Hassan et faire de la propagande pour lui contre des millions de dollars versés à des institutions impérialo-sionsites soutenus par Bernard Lugan!!!!

C'est une honte pour le Maroc de faire travailler ce mécréant Bernard Lugan contre l'Algérie, il vous pompe votre argent en vous fabriquant des raisons pour haïr El Djazaïr, quelle déchéance morale!!!

Nous ne l'oublierons jamais.
 
la république surement !
quand au pays ...constantine était déja sa capitale il y'a de celà 23 siécles ....!!!:)
eh oui il n'a pas fallu attendre un certain idriss pour enfin rentrer dans l'histoire ..;)

ah non désolé mais on a toujours vécu en république !
tu crois qu'on avait le plus grand empire pour rien ??
on l'oublie souvent mais jugurtha c'est du portugal a la syrie !


et en parlant de république , le calendrier républicain c'est le calendrier berbère n'en déplaisent a certain, et c'est le vrai calendrier des croyants depuis Adam !

qui correspond parfaitement au coran !
et donc depuis les omeyades c'est l'obscurantisme qui nous a saisie !


les maures c'est un mot qui vient de m'rabat c'esty a dire ceux qui étudiaient toutes les science a rabat et en Andalousie

et le plus drole c'est que ces meme personne ont été appelé d'un autre nom , les Goths ! wisigoth

goth c'est la traduction de Goy, tout simplement

donc c'est nos ancêtre qui du Maroc a la Syrie ont colonisé l’Europe ..

et c'est pour ça que les européens arrêtent les recherches sur les goths en 180 .. c'est a dire au moment ou il y a eu l'église qui a jouer son grand rôle d'obscurantisme !
 
Constantine a 25 siecles, et non 23 c'est la Capitale Numide "Cirta"
je me suis borné qu'aux éléments historiques qui ont été relatés par des narrateurs contemporains des faits .

constantine , l'antique cirta était bien la capitale du roi massinissa (MSNSN) il y'a de cela 23 siécles , ca été narré par les historiens de l'antiquité ..

surement que cirta était également la capitale des ancétres de massinissa comme gaya ou méme navaras mais personnellemnt je n'ai pas vu de témoignage dans ce sens ..

quand à l'histoire de la ville en elle méme ...elle serait habitée sans discontinuité depuis prés de 6000 ans ..c'est ce qu'on révélés les fouilles archéologiques..
 
ce qui compte pour nous les marocains est que le colonisateur francais a amputer le territoire marocain pour l annexer a l Algerie francaise
et au lieu de restituer ces territoire au Maroc vous avez apprecier l heritage francais et vous continuez de les occuper
ce territoire que vous considérez marocain le touat et la saoura a été pris un moment par les alaouites de force sur leur chemin de tombouctou..il n'a jamais été "marocain" auparavent ..et à l'arrivée des français ..il n'yavait aucun soldat marocain pour le défendre ..

cette terre algérienne a été libérée du joug colonialiste par le sacrifice des centaines de milleirs de martyrs..
vous n'avez rien à réclamer..
 
ah non désolé mais on a toujours vécu en république !
tu crois qu'on avait le plus grand empire pour rien ??
on l'oublie souvent mais jugurtha c'est du portugal a la syrie !


et en parlant de république , le calendrier républicain c'est le calendrier berbère n'en déplaisent a certain, et c'est le vrai calendrier des croyants depuis Adam !

qui correspond parfaitement au coran !
et donc depuis les omeyades c'est l'obscurantisme qui nous a saisie !


les maures c'est un mot qui vient de m'rabat c'esty a dire ceux qui étudiaient toutes les science a rabat et en Andalousie

et le plus drole c'est que ces meme personne ont été appelé d'un autre nom , les Goths ! wisigoth

goth c'est la traduction de Goy, tout simplement

donc c'est nos ancêtre qui du Maroc a la Syrie ont colonisé l’Europe ..

et c'est pour ça que les européens arrêtent les recherches sur les goths en 180 .. c'est a dire au moment ou il y a eu l'église qui a jouer son grand rôle d'obscurantisme !


je ne suis pas tout à fait de ton avis..
 
pt etre c est vrai :D j ai entendu de cleopatra l algerienne ,apparemment le nain qui gouverne la coree du nord africain est le descendant de Tut an khamun.

vite commencez a creuser y a des pyramides qlq s part !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
 
pt etre c est vrai :D j ai entendu de cleopatra l algerienne ,apparemment le nain qui gouverne la coree du nord africain est le descendant de Tut an khamun.

vite commencez a creuser y a des pyramides qlq s part !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Moi j'ai entendu d'un certain Astérix....qu'un supposé Obélix se prenait pour le descendant du Prophéte :D....en Afrique nu Nord toujours !
 
ce territoire que vous considérez marocain le touat et la saoura a été pris un moment par les alaouites de force sur leur chemin de tombouctou..il n'a jamais été "marocain" auparavent ..et à l'arrivée des français ..il n'yavait aucun soldat marocain pour le défendre ..

cette terre algérienne a été libérée du joug colonialiste par le sacrifice des centaines de milleirs de martyrs..
vous n'avez rien à réclamer..

ce territoire vous l avez heriter de la France et on vous a aider pour obtenir votre independance
le Maroc a refuser l offre francaise de negocier les frontieres avant que les algeriens obtiennent leur independance
 
ce territoire vous l avez heriter de la france et on vous a aider pour obtenir votre independance
le maroc a refuser l offre francaise de negocier les frontieres avant que les algeriens obtiennent leur independance

...........................................:d
 

Pièces jointes

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