L’histoire vraie du garçon que l’on transforma en fille

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أَسْتَغْفِرُ اللهَ الذِي لا إِلَهَ إِلاَّ هُوَ
VIB
Le récit tragique et bouleversant de Bruce Reimer, un garçon né à Winnipeg, en 1967, et qui, suite à une erreur chirurgicale, se voit amputé de son pénis. Affolés, les parents se rangent aux conseils d’un psychiatre américain, John Money qui les convainc de le transformer en petite fille, via une chirurgie de réattribution sexuelle.

En effet, le médecin soutient que le sexe d’un individu est une simple construction mentale et que si on transforme Bruce en Brenda et qu’on l’élève comme une fille, tout se déroulera pour le mieux.

Mais la petite Brenda ne s’est jamais identifiée à une fille et surtout pas an regard de son frère jumeau, Brian, qu’elle envie et auquel elle tente de s’approprier les jeux et les vêtements. À quatorze ans, sexuellement attiré par les filles, il confronte sa mère qui lui avoue la vérité et il amorce un traitement hormonal pour (re)devenir un homme : David.


L’histoire ne s’arrête cependant pas là et se termine tragiquement par la mort de Brian, des suites d’une overdose de médicaments, puis de David qui, au cœur d’une réalité qui lui devient de plus en plus insupportable, lève le canon d’une arme contre sa tempe.

Un parcours fascinant, sur les déchirements et le parcours parfois cahotants de la science, mais surtout des êtres qui sont parfois sacrifiés sur son parcours.

L’histoire vraie du garçon que l’on transforma en fille / John Colapinto. Paris : Édito, 2014. 311p.

 
En effet, le médecin soutient que le sexe d’un individu est une simple construction mentale et que si on transforme Bruce en Brenda et qu’on l’élève comme une fille, tout se déroulera pour le mieux
La on voir que l’erreur n’est pas anodin et que les parents n’avais pas la lumière au bon étage …
 
Le récit tragique et bouleversant de Bruce Reimer, un garçon né à Winnipeg, en 1967, et qui, suite à une erreur chirurgicale, se voit amputé de son pénis. Affolés, les parents se rangent aux conseils d’un psychiatre américain, John Money qui les convainc de le transformer en petite fille, via une chirurgie de réattribution sexuelle.

En effet, le médecin soutient que le sexe d’un individu est une simple construction mentale et que si on transforme Bruce en Brenda et qu’on l’élève comme une fille, tout se déroulera pour le mieux.

Mais la petite Brenda ne s’est jamais identifiée à une fille et surtout pas an regard de son frère jumeau, Brian, qu’elle envie et auquel elle tente de s’approprier les jeux et les vêtements. À quatorze ans, sexuellement attiré par les filles, il confronte sa mère qui lui avoue la vérité et il amorce un traitement hormonal pour (re)devenir un homme : David.


L’histoire ne s’arrête cependant pas là et se termine tragiquement par la mort de Brian, des suites d’une overdose de médicaments, puis de David qui, au cœur d’une réalité qui lui devient de plus en plus insupportable, lève le canon d’une arme contre sa tempe.

Un parcours fascinant, sur les déchirements et le parcours parfois cahotants de la science, mais surtout des êtres qui sont parfois sacrifiés sur son parcours.

L’histoire vraie du garçon que l’on transforma en fille / John Colapinto. Paris : Édito, 2014. 311p.



Un monstre . Il a leur 2 morts sur la conscience.
 
Pas de bol , le gamin avait une phymosis qui a nécessité une circoncision qui a foirée et dont les parents désespéré s'en sont remis à un charlatan dans l'espoir de travestir la réalité.

Moralité : si votre fils a la chance de naître avec un organe saint, n'y toucher pas, au risque de le lui faire payer cher.
 
Pas de bol , le gamin avait une phymosis qui a nécessité une circoncision qui a foirée et dont les parents désespéré s'en sont remis à un charlatan dans l'espoir de travestir la réalité.

Moralité : si votre fils a la chance de naître avec un organe saint, n'y toucher pas, au risque de le lui faire payer cher.

Tu es contre la circoncision ?
 
Pas de bol , le gamin avait une phymosis qui a nécessité une circoncision qui a foirée et dont les parents désespéré s'en sont remis à un charlatan dans l'espoir de travestir la réalité.

Moralité : si votre fils a la chance de naître avec un organe saint, n'y toucher pas, au risque de le lui faire payer cher.
Tu utilises cette tragédie très particulière pour pour en faire de la récupération contre la circoncision. Tu nous a habitué à mieux, mais il semble que la raison l'emporte sur ton aversion envers la circoncision.

Malheureusement, Il y a toujours eu des erreurs médicales et chirurgicales (ça ne s'arrête pas à la circoncision...) et il y en aura toujours, malheureusement encore.

PS : organe sain, non saint. Le premier paragraphe était bien.
 
Dernière édition:
Il y a peut-être aussi l’intérêt pour le psychiatre de faire vendre des médicaments pour faire tourner la boutique d’à côté
 
Tu utilises cette tragédie très particulière pour pour en faire de la récupération contre la circoncision. Tu nous a habitué à mieux, mais il semble que la raison l'emporte sur ton aversion envers la circoncision.

Malheureusement, Il y a toujours eu des erreurs médicales et chirurgicales (ça ne s'arrête pas à la circoncision...) et il y en aura toujours, malheureusement encore.
Mais non, la cause est idéologique, elle l'emporte au contraire sur la raison. Parce que justement de façon raisonnable... pourquoi prendre le risque d'abîmer un organe quand celui-ci fonctionnait à comme il faut? Qui paiera l'addition si ça se passe mal... les parents? Ou l'enfant?

Plus haut le soucis est le transgenre ou le transgenre imposé par les parents sous influence?

C'est exactement le même problème de fond dans l'histoire de Bruce Reimer...
 
Pas de bol , le gamin avait une phymosis qui a nécessité une circoncision qui a foirée et dont les parents désespéré s'en sont remis à un charlatan dans l'espoir de travestir la réalité.

Moralité : si votre fils a la chance de naître avec un organe saint, n'y toucher pas, au risque de le lui faire payer cher.
Le phymosis empêchera le garçon d'avoir des rapports sexuels ordinaires et ça rend l'érection douloureuse et qu'un oedème se forme sur le gland avec le risque d'une nécrose, ce n'est pas à prendre à la légère et l'opération était nécessaire (pour info j'ai été circoncis très tôt à cause de ça).

C'est l'échec de la chirurgie qui est à blamer, pas l'opération elle-même et surtout c'est la théorie absurde qui voudrait que c'est l'éducation qui fait les filles et les garçons et non le sexe biologique, ce garçon Bruce a servi de cobaye malgré lui avec toutes les suites tragiques qui ont menées à son suicide.

Ce drame a inspiré l'auteur de roman policier Franck Tilliez, 1991, qui a imaginé la victime d'une de ces opérations qui revient pour se venger des chirurgiens qui l'ont opérés ainsi que de ses parents qui ont permis une telle mutilation, un roman à couper le souffle (sans jeu de mots).
 
Mais non, la cause est idéologique, elle l'emporte au contraire sur la raison. Parce que justement de façon raisonnable... pourquoi prendre le risque d'abîmer un organe quand celui-ci fonctionnait à comme il faut? Qui paiera l'addition si ça se passe mal... les parents? Ou l'enfant?

Plus haut le soucis est le transgenre ou le transgenre imposé par les parents sous influence?

C'est exactement le même problème de fond dans l'histoire de Bruce Reimer...
Les erreurs médicales et chirurgicales de toutes sortes ne remettent pas en cause ces pratiques quand ils sont bien appliquées. Tu sais très que tu as tort ...
Quand tu demandes à un chirurgien si une opération comporte un risque il te répondra que toutes interventions les plus anodines sont elles comportent des risques.
Ce sont à eux pour de faire en sorte que ces risques soient écartés.
 
Dernière édition:
Les erreurs médicales et chirurgicales de toutes sortes ne remettent pas en cause ces pratiques quand ils sont bien appliquées. Tu sais très que tu as tort ...
Quand tu demandes à un chirurgien si une opération comporte un risque il te répondra que toutes interventions les plus anodines sont elles comportent des risques.
Ce sont à eux pour de faire en sorte que ces risques soient écartés.
Justement, raison supplémentaire pour ne pas amener les enfants à subir une chirurgie sans nécessité thérapeutique sachant que potentiellement le risque zéro n'existe pas. En cas de ratage c'est la double peine pour lui : celle d'être mutilé et en plus d'avoir ses propres parents comme bourreau.
 
Justement, raison supplémentaire pour ne pas amener les enfants à subir une chirurgie sans nécessité thérapeutique sachant que potentiellement le risque zéro n'existe pas. En cas de ratage c'est la double peine pour lui : celle d'être mutilé et en plus d'avoir ses propres parents comme bourreau.
Le risque zéro n'existe pas même pour les vaccins...
 
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