Les États-Unis jouent un jeu de dupes en parlant de diplomatie tout en applaudissant l’assassinat de Hassan Nasrallah.
L’enjeu : le remodelage de la région et la normalisation des relations entre Israël et l’Arabie saoudite.
Depuis le début de la campagne de bombardements massifs d’Israël sur les fiefs du Hezbollah dans le sud du Liban, l’est et la banlieue sud de Beyrouth, plus de 700 personnes ont été tuées, pour l’essentiel des civils, et cela a provoqué un million de déplacés dans le pays, selon Nasser Yassine, responsable de la cellule de crise du gouvernement libanais.
Des attaques qui ont culminé avec l’assassinat, vendredi 27 septembre, du chef de l’organisation chiite, Hassan Nasrallah, dans la capitale libanaise, après l’élimination des plus hauts commandants du mouvement.
Une carte que le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a finalement décidé de jouer, sa stratégie visant à faire sombrer la région dans une guerre de haute intensité ayant jusque-là échoué.
Ce dimanche, l’armée israélienne annonçait avoir tué un nouveau cadre du Hezbollah, Nabil Kawak, présenté comme « membre du conseil central » et « commandant de l’unité de sécurité préventive » de l’organisation.
En un an d’affrontements transfrontaliers, en marge de la guerre à Gaza, le Hezbollah, selon la plupart des analystes, a semblé retenir ses coups.
Il s’est bien gardé de déployer son arsenal et de frapper massivement des cibles en territoire israélien, notamment pour ne donner aucun prétexte à Tel-Aviv, qui veut viser l’Iran.
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L’enjeu : le remodelage de la région et la normalisation des relations entre Israël et l’Arabie saoudite.
Depuis le début de la campagne de bombardements massifs d’Israël sur les fiefs du Hezbollah dans le sud du Liban, l’est et la banlieue sud de Beyrouth, plus de 700 personnes ont été tuées, pour l’essentiel des civils, et cela a provoqué un million de déplacés dans le pays, selon Nasser Yassine, responsable de la cellule de crise du gouvernement libanais.
Des attaques qui ont culminé avec l’assassinat, vendredi 27 septembre, du chef de l’organisation chiite, Hassan Nasrallah, dans la capitale libanaise, après l’élimination des plus hauts commandants du mouvement.
Une carte que le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a finalement décidé de jouer, sa stratégie visant à faire sombrer la région dans une guerre de haute intensité ayant jusque-là échoué.
Ce dimanche, l’armée israélienne annonçait avoir tué un nouveau cadre du Hezbollah, Nabil Kawak, présenté comme « membre du conseil central » et « commandant de l’unité de sécurité préventive » de l’organisation.
En un an d’affrontements transfrontaliers, en marge de la guerre à Gaza, le Hezbollah, selon la plupart des analystes, a semblé retenir ses coups.
Il s’est bien gardé de déployer son arsenal et de frapper massivement des cibles en territoire israélien, notamment pour ne donner aucun prétexte à Tel-Aviv, qui veut viser l’Iran.
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