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Les acteurs de la protection des espèces en voie de disparition à travers la planète ont désormais les regards braqués sur le Maroc. Et pour cause ! Le royaume chérifien abrite actuellement la population sauvage d’Ibis chauve la plus viable au monde. Le programme BirdLife Maroc lancé il y a quelques années, pour la sauvegarde de cet oiseau suit son cours et les ONG sur le terrain sont fortement encouragées par la forte reproduction de cette année.
Cet oiseau est en effet suivie de près depuis la disparition soudaine, des forêts chérifiennes, de plusieurs espèces rares ( http://www.yabiladi.com/articles/details/7084/maroc-especes-mammiferes-disparues-especes.html ). D'autant plus qu'à ce jour, les populations sauvages d’Ibis chauve sont réduites à un groupe semi-captif en Turquie et une très petite population extrêmement menacée et redécouverte il y a quelques années en Syrie. La colonie marocaine « est la seule grande population qui reste au monde. Le succès de la reproduction de cette année est [donc] la meilleure nouvelle que nous pouvions espérer », a affirmé M. Jorge F. Orueta, technicien à SEO/BirdLife
En effet, 113 paires reproductrices d’Ibis chauve au total ont niché dans les localités du parc national du Souss-Massa et Tamri, cette année, d'après les données de l'ONG. Il s’agit de la meilleure saison en terme de couples nicheurs depuis le début des années 1980, période à laquelle SEO/BirdLife a commencé à mener des enquête sur cette espèce dans la côte atlantique marocaine, près d’Agadir, note la même source.
Cela pourrait s’expliquer, d’après l’Organisation, par « les bonnes conditions météorologiques depuis l'automne 2012, avec des précipitations bien réparties entre septembre et avril 2013 ».
Afin de garantir la pérennité de la colonie marocaine, une équipe de cinq personnes, dont une femme, est chargée d’en assurer la surveillance. Il faut dire que les espèces en voie de disparition au Maroc sont souvent menacées par le trafic, et parfois, malgré la surveillance. Mais « l’Ibis chauve ne risque rien, car le contrôle est bien assuré par les gardes forestiers », assure à Yabiladi Adel Bouajaja, responsable de la conservation à l’ONG marocaine "Groupe de Recherche pour la Protection des Oiseaux au Maroc"
L’équipe marocaine réalise un suivi sur le terrain et assure la disponibilité de l’eau douce aux alentours des colonies dont l’influence positive sur la productivité a été vérifiée.
Source: Yabiladi
Cet oiseau est en effet suivie de près depuis la disparition soudaine, des forêts chérifiennes, de plusieurs espèces rares ( http://www.yabiladi.com/articles/details/7084/maroc-especes-mammiferes-disparues-especes.html ). D'autant plus qu'à ce jour, les populations sauvages d’Ibis chauve sont réduites à un groupe semi-captif en Turquie et une très petite population extrêmement menacée et redécouverte il y a quelques années en Syrie. La colonie marocaine « est la seule grande population qui reste au monde. Le succès de la reproduction de cette année est [donc] la meilleure nouvelle que nous pouvions espérer », a affirmé M. Jorge F. Orueta, technicien à SEO/BirdLife
En effet, 113 paires reproductrices d’Ibis chauve au total ont niché dans les localités du parc national du Souss-Massa et Tamri, cette année, d'après les données de l'ONG. Il s’agit de la meilleure saison en terme de couples nicheurs depuis le début des années 1980, période à laquelle SEO/BirdLife a commencé à mener des enquête sur cette espèce dans la côte atlantique marocaine, près d’Agadir, note la même source.
Cela pourrait s’expliquer, d’après l’Organisation, par « les bonnes conditions météorologiques depuis l'automne 2012, avec des précipitations bien réparties entre septembre et avril 2013 ».
Afin de garantir la pérennité de la colonie marocaine, une équipe de cinq personnes, dont une femme, est chargée d’en assurer la surveillance. Il faut dire que les espèces en voie de disparition au Maroc sont souvent menacées par le trafic, et parfois, malgré la surveillance. Mais « l’Ibis chauve ne risque rien, car le contrôle est bien assuré par les gardes forestiers », assure à Yabiladi Adel Bouajaja, responsable de la conservation à l’ONG marocaine "Groupe de Recherche pour la Protection des Oiseaux au Maroc"
L’équipe marocaine réalise un suivi sur le terrain et assure la disponibilité de l’eau douce aux alentours des colonies dont l’influence positive sur la productivité a été vérifiée.
Source: Yabiladi