amsawad
Tayri nem tuder g-ul inu
L’artiste amazigh libyen, Abdellah Achini, a entamé une grève de la faim dans sa cellule dans une prison en Libye.
Et ce, pour protester contre sa condamnation à une peine de prison ferme de cinq ans qu’il qualifie de complètement inique.
A. Achini a été accusé par le tribunal de s’adonner au trafic des migrants clandestins. S’il a été déclaré innocent dans un premier jugement, le tribunal a fait volte-face pour le condamner à cinq ans ferme.
L’artiste Achini a dénoncé les deux poids les deux mesures du système judiciaire libyen tout en proclamant son innocence des crimes qui lui sont reprochés.
Sa grève de la faim est une manière pour attirer l’attention des organisations humanitaires sur son cas pour qu’elles fassent pression sur le régime libyen.
À rappeler que les autorités libyennes ont retiré le passeport à M. Achini. Elles lui reprochent d’avoir participé au festival amazigh des Îles Canaries.
Il a été aussi interdit de quitter le territoire national avec sa troupe musicale pour participer au festival amazigh de Tanger.
Abdellah Achini a aussi été exclu de l’aide publique pour enregistrer son album parce qu’il y chante en langue amazighe.
Source : tawalt.com
Et ce, pour protester contre sa condamnation à une peine de prison ferme de cinq ans qu’il qualifie de complètement inique.
A. Achini a été accusé par le tribunal de s’adonner au trafic des migrants clandestins. S’il a été déclaré innocent dans un premier jugement, le tribunal a fait volte-face pour le condamner à cinq ans ferme.
L’artiste Achini a dénoncé les deux poids les deux mesures du système judiciaire libyen tout en proclamant son innocence des crimes qui lui sont reprochés.
Sa grève de la faim est une manière pour attirer l’attention des organisations humanitaires sur son cas pour qu’elles fassent pression sur le régime libyen.
À rappeler que les autorités libyennes ont retiré le passeport à M. Achini. Elles lui reprochent d’avoir participé au festival amazigh des Îles Canaries.
Il a été aussi interdit de quitter le territoire national avec sa troupe musicale pour participer au festival amazigh de Tanger.
Abdellah Achini a aussi été exclu de l’aide publique pour enregistrer son album parce qu’il y chante en langue amazighe.
Source : tawalt.com