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Tayri nem tuder g-ul inu
- La police de Toronto a lancé mercredi un appel à témoins à la suite de l'arrestation pour 13 agressions sexuelles de l'imam d'une mosquée de la grande ville canadienne, laissant entendre qu'il pouvait y avoir d'autres victimes, hommes et femmes.
Une porte-parole de la police de Toronto, Karen Armstrong, a souligné que Mohammad Masroor, imam de la mosquée Baitul Mukarram (qui porte le même nom que la grande mosquée nationale du Bangladesh à Dacca) occupait une position de confiance dans sa communauté et que d'éventuelles victimes, notamment parmi ses élèves, pouvaient avoir des réticences à se manifester.
Elle a assuré, lors d'une conférence de presse transmise par les télévisions, qu'elles pouvaient compter sur le soutien d'une unité spéciale qui prend en charge les victimes des crimes sexuels.
L'enquête s'étend bien au delà de Toronto et du Canada, car le suspect se déplaçait beaucoup, prêchant en Floride, dans le Michigan et au Bangladesh. Il a été arrêté la semaine dernière à Calgary, en Alberta, dans l'ouest.
paru dans l'observatoir de l'islamisation
Une porte-parole de la police de Toronto, Karen Armstrong, a souligné que Mohammad Masroor, imam de la mosquée Baitul Mukarram (qui porte le même nom que la grande mosquée nationale du Bangladesh à Dacca) occupait une position de confiance dans sa communauté et que d'éventuelles victimes, notamment parmi ses élèves, pouvaient avoir des réticences à se manifester.
Elle a assuré, lors d'une conférence de presse transmise par les télévisions, qu'elles pouvaient compter sur le soutien d'une unité spéciale qui prend en charge les victimes des crimes sexuels.
L'enquête s'étend bien au delà de Toronto et du Canada, car le suspect se déplaçait beaucoup, prêchant en Floride, dans le Michigan et au Bangladesh. Il a été arrêté la semaine dernière à Calgary, en Alberta, dans l'ouest.
paru dans l'observatoir de l'islamisation