Limmortalité, un fantasme scientifique?

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Amine

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La potion d’éternité n’est pas pour demain,mais la révolution scientifique en cours (biologie,génétique, informatique) alimente notre utopie et pourtant de réelles avancées…

Recherche sur les maladies dégénératives ou sur le vieillissement précoce aidant, la porte ouverte aux plus belles avancées vient de l’étude du vieillissement, dont les mécanismes se cachent au coeur des cellules. Il semble qu’il y en ait plusieurs :oxydation, diminution de la capacité cellulaire à éliminer les déchets… En activant un gène impliqué dans cette élimination, des chercheurs de l’université Yeshiva, à New York, aux États-Unis, ont ainsi récemment réussi à multiplier par quatre la longévité du foie de leurs souris de laboratoire.
Les espoirs portent aussi sur les cellules souches totipotentes, qui pourraient, en théorie,régénérer n’importe quel organe. Mais l’allongement de la durée de vie par thérapie génique ou manipulation génétique ne conduit pas à l’immortalité (la cellule finit par mourir), et son application à l’organisme entier reste proche de l’utopie – impliquant une dimension électromagnétique encore peu étudiée.
 
La potion d’éternité n’est pas pour demain,mais la révolution scientifique en cours (biologie,génétique, informatique) alimente notre utopie et pourtant de réelles avancées…

Recherche sur les maladies dégénératives ou sur le vieillissement précoce aidant, la porte ouverte aux plus belles avancées vient de l’étude du vieillissement, dont les mécanismes se cachent au coeur des cellules. Il semble qu’il y en ait plusieurs :oxydation, diminution de la capacité cellulaire à éliminer les déchets… En activant un gène impliqué dans cette élimination, des chercheurs de l’université Yeshiva, à New York, aux États-Unis, ont ainsi récemment réussi à multiplier par quatre la longévité du foie de leurs souris de laboratoire.
Les espoirs portent aussi sur les cellules souches totipotentes, qui pourraient, en théorie,régénérer n’importe quel organe. Mais l’allongement de la durée de vie par thérapie génique ou manipulation génétique ne conduit pas à l’immortalité (la cellule finit par mourir), et son application à l’organisme entier reste proche de l’utopie – impliquant une dimension électromagnétique encore peu étudiée.


Je trouve l'idée bonne mais j'ai du mal à voir les limites particulièrement lors des affections neoplasiques avec perte de l'inhibition de contact et dans les therapeutiques cytotoxiques.....En plus du problème psy de la longevité....
a suivre et merci pour l'info
 
Je trouve l'idée bonne mais j'ai du mal à voir les limites particulièrement lors des affections neoplasiques avec perte de l'inhibition de contact et dans les therapeutiques cytotoxiques.....En plus du problème psy de la longevité....
a suivre et merci pour l'info

Oui je comprends ce que tu veux dire et je partage ton avis. Malheureusement, je n’ai pas tous les éléments sous la main pour évaluer cette théorie des cellules souches qui attendons nous bien n’est qu’en phase théorique contrairement à celle de longévité qui est en phase 1 test. Par contre dés que j’ai un peu de temps, je pourrai t’en dire un peu plus sur le coté psychologique..Au plaisir de te lire
 
il est facile de comprendre que l'espérance de vie de l'homme et de chaque espece animal est deja programmé dans le code genetique
il semble donc possible de reprogrammer cet age limite !
jusqu a quel ages ? et quelles conséquences psychologiques et biologiques?
bien malin celui qui pourra le dire , on verra ce qu il y a dans la boite de pandore quand on l'aura ouvert
 
il est facile de comprendre que l'espérance de vie de l'homme et de chaque espece animal est deja programmé dans le code genetique
il semble donc possible de reprogrammer cet age limite !
jusqu a quel ages ? et quelles conséquences psychologiques et biologiques?
bien malin celui qui pourra le dire , on verra ce qu il y a dans la boite de pandore quand on l'aura ouvert

La science s’échine aujourd’hui à nous soigner, à nous aider à rester en bonne santé, à prolonger nos vies jusqu’à 100 ans et je pense qu’elle devrait se limiter à cela. De nombreuses recherches biologiques, génétiques, médicales ont pour but ultime, sans l’avouer clairement, de nous délivrer de notre condition de mortels, personnellement je n’y crois pas vraiment pour des raisons que je développerai un peu plus tard.
 
La science s’échine aujourd’hui à nous soigner, à nous aider à rester en bonne santé, à prolonger nos vies jusqu’à 100 ans et je pense qu’elle devrait se limiter à cela. De nombreuses recherches biologiques, génétiques, médicales ont pour but ultime, sans l’avouer clairement, de nous délivrer de notre condition de mortels, personnellement je n’y crois pas vraiment pour des raisons que je développerai un peu plus tard.

tu sais bien que la science par essence meme ne peut s'imposer de limites , et qu elle avancera tant qu'elle verra un horizon vers lequel aller
maintenant sur la capacités de la science a rendre un organisme biologique immortel , je n'y crois pas une seule seconde !
 
tu sais bien que la science par essence meme ne peut s'imposer de limites , et qu elle avancera tant qu'elle verra un horizon vers lequel aller
maintenant sur la capacités de la science a rendre un organisme biologique immortel , je n'y crois pas une seule seconde !

Cher ami, quand je parle de limite, c'est plutôt dans le contexte de l'immortalité. Mais il faut se rendre à l'évidence, la science dispose d'un code d'éthique qui veille aux dérives scientifiques qui pourraient porter atteinte aux principes moraux. Et c’est pour cela, que chaque projet de recherche doit être jugée nécessaire à la société avant qu’elle ne reçoive l’approbation de l’agence de biomédecine.
 
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