L'inconnue

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1ere partie.

D'aussi loin que je me souvienne, je n'ai connu que ce vaste paysage de terre aride où des générations se sont battue pour en tiré de maigres récoltes.
Je suis le dernier d'une famille de 4 enfants tous des garçons a la plus grande fierté de mon père mais dans le village nous sommes une grande famille ou mon père est l'un des hommes les plus respecté.

Il assume la charge ô combien importante d'enseigner la religion au enfants du village.Je suis moi le plus rêveur de mes frères, ils me taquinent gentillement avec ça,tout le monde sait que j'apprend un peu moins vite que les autres, et que j'adore rester avec ma mère la regarder travailler avec sur le visage un air mélancolique qui la rend belle.
Nous sommes pauvres mais heureux, et les années de mon enfance et de l'adolescence passent lentement et paisiblement comme dans un rêve dont on ne voudrait pas qu'il s'arrête.

Mon père finit par nous quitter il était déja vieux lorsque je suis né, il avait le jour de sa mort sur le visage comme une lumière qui nous empêchat d'être triste.
Cet évenement marqua pour moi la fin d'une certaine insoucience ,bientôt mes frères s'en iront les un après les autres chercher fortunes dans les grandes villes parfois a plus d'une centaines de kilomètre et je resta ainsi seul avec ma mère.

Les evenements de la vie font parfois que la réalité nous rattrape, sensible emotif et reveurs, je me mis aux travaux agricole je ne reconnaissais plus, ma mère elle déja de nature mélancolique tomba rapidement malade de tristesse disait-on.
 
1ere partie.

D'aussi loin que je me souvienne, je n'ai connu que ce vaste paysage de terre aride où des générations se sont battue pour en tiré de maigres récoltes.
Je suis le dernier d'une famille de 4 enfants tous des garçons a la plus grande fierté de mon père mais dans le village nous sommes une grande famille ou mon père est l'un des hommes les plus respecté.

Il assume la charge ô combien importante d'enseigner la religion au enfants du village.Je suis moi le plus rêveur de mes frères, ils me taquinent gentillement avec ça,tout le monde sait que j'apprend un peu moins vite que les autres, et que j'adore rester avec ma mère la regarder travailler avec sur le visage un air mélancolique qui la rend belle.
Nous sommes pauvres mais heureux, et les années de mon enfance et de l'adolescence passent lentement et paisiblement comme dans un rêve dont on ne voudrait pas qu'il s'arrête.

Mon père finit par nous quitter il était déja vieux lorsque je suis né, il avait le jour de sa mort sur le visage comme une lumière qui nous empêchat d'être triste.
Cet évenement marqua pour moi la fin d'une certaine insoucience ,bientôt mes frères s'en iront les un après les autres chercher fortunes dans les grandes villes parfois a plus d'une centaines de kilomètre et je resta ainsi seul avec ma mère.

Les evenements de la vie font parfois que la réalité nous rattrape, sensible emotif et reveurs, je me mis aux travaux agricole je ne reconnaissais plus, ma mère elle déja de nature mélancolique tomba rapidement malade de tristesse disait-on.

la suite la suite la suite !!!!!
 
L'être humain présente une faculté d'adaptation exceptionnelle, en résumé on s'habitue a tout, je fini par m'habitué a la rigueur du labeur sur les champs, j'en arrivait même parfois a éprouver un certain plaisir dans la douleur du travail.
Je fis par la même une rencontre, celle de Nordine qui lui avait une histoire assez peu commune, il n'était comme moi pas bavard mais au fil des jours il m'expliquat que lui venait de la ville a l'heure de l'exode rurale ils avaient lui et sa famille fait le chemin inverse !
La ville lui et sa famille ne la supportait plus son visage marqué lui faisait paraitre plus que son age, dans le village ils vivaient en reclue dans une petite maison a l'écart et ne participaient nullement la vie en communauté.
Les mois passèrent et l'etat de santé de maman se degradait, tout autant que ma solitude, Nordine par sa discretion, sa pudeur et son calme était devenu mon unique ami dans ce village ou j'avais l'impression que personne ne me comprenait.
Nordine était d'humeur joyeuse, aujourd'hui il avait enfin pû finir de construire cette maison de campagne dont il rêvait temps et c'est tout naturellement qu'il me proposat de venir partager en fin d'après-midi un thé.

Modestement meublé la demeure de Nordine présentait un certain charme, dans son aménagement et il y régnait une atmosphère qui chez moi avait depuis longtemps disparu, c'est a cet instant que je la vis pour la première fois Myriam, nos regards ce croisèrent un court instant qui me sembla une éternité, dans l'hiver de mon coeur elle a fait a cet instants précis soufflé par sa seule présence le vent du désert.
 
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