L’Iran a affirmé mardi qu’il avait rejoint le club des très rares nations qui disposent d’armes hypersoniques

Le missile hypersonique «Fattah», dont vient de se doter l’Iran, est avant tout une arme de dissuasion​


L’Iran a affirmé mardi qu’il avait rejoint le club des très rares nations qui disposent d’armes hypersoniques, dont on pense que seuls la Russie, la Chine et la Corée du Nord sont actuellement dotés.


Le président iranien Ebrahim Raïssi a assisté à une cérémonie de dévoilement du nouveau missile hypersonique «Fattah» (littéralement, «Conquérant») de fabrication iranienne à Téhéran, au cours de laquelle il a déclaré :


«Aujourd’hui, nous avons le sentiment que la puissance de dissuasion a été formée».


Il a ajouté :


«Cette puissance est un point d’ancrage pour une sécurité et une paix durables pour les pays de la région».



L'Amérique n’a pas encore de missiles hypersoniques, plusieurs essais ont échoué.
Question armements les américains ont perdu leur suprématie !

Missiles tomahawk, patriotes, chars Abraham, porte avions ne valent plus rien !

Un site de généraux français explique l'arnaque bien qu'aucun média n'en parle.

https://www.officierunjour.net/
( taper hypersonique )
 
Dans une tournure imprévisible des événements, la Russie a asséné un coup calculé aux États-Unis et à Israël en armant l’Iran de missiles hypersoniques avancés, faisant de ce pays un instrument de choix. Les implications de cette manœuvre stratégique sont considérables et pourraient modifier l’équilibre des forces dans la région instable du Moyen-Orient.


Le conflit entre les États-Unis et la Russie s’est progressivement transformé en une guerre par procuration. Les USA ont d’abord rallié les pays occidentaux à leur cause. En rejoignant cette alliance occidentale, Israël s’est aligné étroitement sur le Commandement central américain (CENTCOM), chargé de protéger les intérêts américains dans la vaste région qui s’étend de la Corne de l’Afrique à l’Asie centrale. Les dirigeants de Tel-Aviv ont ouvertement condamné les actions de la Russie et ont activement soutenu l’Ukraine en lui fournissant du matériel d’écoute et des renseignements de sécurité pour tuer des soldats russes. Cet effort conjoint qui rassemble cinquante pays a été coordonné à la base américaine de Ramstein, en Allemagne. Dans ce contexte, la Russie, qui travaille avec diligence mais en toute discrétion, a porté un coup terrible aux États-Unis et à Israël en fournissant à l’Iran une technologie de missiles hypersoniques de pointe, une capacité que seuls quelques pays possèdent dans le monde.


L’annonce par l’Iran de la mise au point du Al-Fatah, un missile balistique hypersonique d’une portée de 1400 kilomètres, marque une étape importante. Avec une vitesse de Mach 13-15, soit environ 15 000 kilomètres par heure, le Al-Fatah peut changer de vitesse en plein vol, ce qui rend son interception pratiquement impossible. Cet exploit place l’Iran dans un groupe exclusif de pays qui possèdent cette technologie de pointe, y compris la Russie, la Chine et la Corée du Nord, ce que n’avaient pas vu venir de nombreux pays européens.


Pendant des années, la Russie a maintenu un équilibre précaire au Moyen-Orient, s’abstenant d’armer l’Iran avec des missiles avancés pour éviter de provoquer les États-Unis et Israël. Mais cette réticence a changé au milieu de 2022, peu après le déclenchement du conflit entre la Russie et l’Occident en Ukraine. À ce moment-là, un accord historique de coopération en matière de défense entre l’Iran et Moscou a ouvert la voie au transfert de milliers de drones iraniens à Moscou (un accord dont j’ai été le premier à parler) et à l’appui à la construction d’une usine de drones en Russie. La décision du Kremlin de se tourner vers l’Iran s’explique par le fait qu’il s’est rendu compte qu’il se battait seul. L’Iran était le seul pays à apporter un soutien militaire sans faille et à ne pas craindre les sanctions américaines et occidentales. L’Iran a montré sa détermination à se tenir debout, à soutenir la Russie et à défier les États-Unis, malgré les quelque 3800 sanctions qu’il subit depuis la Révolution de 1979. Téhéran a démontré son engagement envers ses amis en demeurant inébranlable malgré une adversité de longue date.


La possession par l’Iran de missiles hypersoniques représente un saut qualitatif sans précédent et témoigne de l’étroite coopération entre la Russie et l’Iran. Elle envoie un message clair aux États-Unis, qui maintiennent une présence militaire importante autour de la République islamique, à savoir que l’Iran possède des capacités de dissuasion avancées pour sauvegarder ses intérêts en Asie et menacer éventuellement l’allié israélien des USA.


Le message adressé à Israël est on ne peut plus clair. En permettant à l’Iran d’acquérir des missiles capables d’échapper au système de défense « Dôme de fer » de Tel-Aviv, la Russie a effectivement neutralisé la capacité d’Israël à intercepter les missiles iraniens. Cette évolution représente un défi de taille pour Israël, qui est désormais confronté à la perspective de frappes potentielles sur son sol s’il s’attaque aux installations nucléaires iraniennes. L’Iran a déjà fait preuve d’audace en attaquant Ain al-Assad en 2020, la plus grande base militaire américaine en Irak, en réponse à l’assassinat du général Qassem Soleimani par le président de l’époque, Donald Trump.


Par conséquent, l’Iran dispose de plusieurs cartes de dissuasion puissantes dans son jeu :


1. Il bénéficie d’alliés solides au Moyen-Orient, prêts à entrer en guerre pour défendre l’Axe de Résistance mis en place par Téhéran.


2. Son arsenal de drones s’est révélé très efficace, en faisant des ravages dans l’armée ukrainienne et en détruisant des armes occidentales dans le conflit en Ukraine, ce qui a aidé la Russie à reprendre le contrôle du champ de bataille.


3. Les capacités de l’Iran en matière de missiles ont démontré leur potentiel et leur efficacité en menant des attaques fructueuses contre des bases de Daech en Syrie, des bases de l’Organisation des moudjahiddines du peuple iranien en Irak et même d’une base du Mossad israélien au Kurdistan irakien.
 
En munissant ses alliés de missiles avancés et précis, l’Iran a créé un équilibre se situant entre la terreur et la dissuasion, qui limite la liberté d’action militaire d’Israël au Liban et en Syrie contre le Hezbollah, par crainte d’une riposte rapide et robuste.


La Russie n’a pas reconnu publiquement son implication dans le programme de missiles iranien, tout comme l’Iran a tenté à plusieurs reprises de nier avoir fourni ses drones à Moscou. N’empêche que les actions de la Russie en disent long sur sa détermination à répondre aux griefs et marquent une nouvelle approche stratégique à l’égard de Téhéran. Le Kremlin a ouvert ses portes à un pays (l’Iran) qui a tenu bon dans les circonstances les plus sombres, qui a ignoré les menaces américaines et européennes et qui fait preuve d’une conviction inébranlable en restant imperméable à l’intimidation occidentale.


Le message russe a des répercussions auprès des parties concernées à Washington et à Tel-Aviv, car il efface les dernières lignes rouges et ouvre la voie à un avenir sans précédent pour la coopération russo-iranienne. Ce partenariat, forgé par le respect des accords, est susceptible de produire d’autres surprises qui pourraient avoir des répercussions durables. Lorsque la poussière sera retombée, les coûts de la mise en œuvre de l’accord deviendront de plus en plus évidents, remodèleront le paysage géopolitique et modifieront éventuellement la dynamique du pouvoir dans la région.


Face à l’initiative stratégique de la Russie, le monde retient son souffle quant aux répercussions de la possession par l’Iran de missiles hypersoniques. Doté d’un armement de pointe et d’un engagement inébranlable envers ses intérêts, l’Iran est prêt à protéger sa souveraineté et à remettre en question la dynamique traditionnelle du pouvoir au Moyen-Orient. Alors que les tensions restent vives et que les enjeux ne cessent de croître, l’évolution de l’alliance russo-iranienne devient un point focal de l’attention internationale, dont les retombées potentielles s’étendent bien au-delà des frontières de ces pays.


La Russie arme la Biélorussie et arme l’Iran … Deux AVERTISSEMENTS très CLAIRS à l’adresse de l’OTAN et d’Israël … via les VRAIS boute-feux … les Etats-Unis !!! S’agissant de l’Iran, la Russie devrait même aller ENCORE plus LOIN : lui fournir l’arme NUCLEAIRE dont dispose Israël !!! Une fois de plus, voilà où mène la “politique” des Etats-Unis : le RENFORCEMENT … pour ne pas dire l’ALLIANCE de nations qu’ils croyaient ou espéraient sujétionner !!!
 
Pendant ce temps là, les américains critiquent le matériel français pour favoriser le leur dans les commandes futures!!


De toute façon la France a été réduite au stade de prostituée de l’ogre Sam. Et une prostituée c’est connu subit toutes les perversions de son “patron”. Et le Mac Ron en demande toujours plus à ses prostituées de l’état fantôme français et de ses “affidés” !
 
L’impuissance totale de la technologie occidentale promue avec la domination de l’aviation russe dans les airs. Les Léopards allemands sont en feu, les véhicules blindés français sont en feu. Cependant, nous n’avons pas de quoi nous réjouir. Paradoxalement, plus les choses vont mal pour l’armée ukrainienne, plus la probabilité d’un conflit mondial est élevée !


Kiev espère l’aide de l’OTAN, et l’alliance aide vraiment de toutes les manières possibles. Les réunions du groupe de contact sur la défense de l’Ukraine au format dit Ramstein se sont tenues hier au siège de l’OTAN à Bruxelles. Le secrétaire général de l’Alliance, Jens Stoltenberg, a promis un soutien total aux forces armées ukrainiennes.

Toute cette rhétorique de maintien de la paix, tous ces euphémismes et ces belles paroles cachent des objectifs militaires parfaitement clairs. Et non, ce n’est pas un soutien pour l’Ukraine. Dans les plans militaires du Pentagone depuis 2014, la Russie est désignée comme le principal adversaire. Et aujourd’hui, le bloc pro-américain de l’OTAN va atteindre les objectifs de vaincre la Russie principalement par des moyens militaires. Si l’Ukraine s’effondre, les forces de l’alliance interviendront.

Un autre “signal pour Moscou” a été l’exercice à grande échelle “Air Defender” programmé avec défi pour coïncider avec l’anniversaire de l’attaque d’Hitler contre l’URSS. Formellement, ils ne sont pas organisés par la direction de l’alliance. Mais, en fait, presque tous les pays de l’OTAN y participent, ainsi que la Suède et le Japon qui les ont rejoints.

C’est ainsi que toutes les invasions de l’OTAN sur le territoire d’États souverains ont commencé par des bombardements.

L’idée de “frapper en premier” a constitué la base du tristement célèbre plan Dropshot, qui impliquait le bombardement atomique des mégapoles de l’URSS, et sous Bush et Obama est devenu le concept officiel d’une “frappe nucléaire décapitante préventive”, qui est appliquée aux silos de missiles et au quartier général d’un ennemi stratégique afin qu’il n’ait pas le temps de réagir.
 
Le Corps des gardiens de la révolution islamique d’Iran (CGRI) a signalé un incident naval avec les États-Unis dans le détroit d’Ormuz. Cet incident est survenu peu après l’envoi par les États-Unis de plus de 3000 marines dans le golfe Persique pour protéger les pétroliers commerciaux contre d’éventuels actes de piraterie de la part de l’Iran.
Selon les responsables du CGRI, leurs bateaux, alors qu’ils patrouillaient, ont repéré un porte-hélicoptères américain dans les eaux du détroit, d’où plusieurs hélicoptères ont décollé. L’Iran a réagi en envoyant des forces supplémentaires vers le navire, notamment des drones qui ont repéré l’avion américain et la flottille Zolfaqar.




Lorsque les forces iraniennes ont encerclé le porte-hélicoptères américain, le commandement du CGRI a exigé que l’équipage du navire ramène immédiatement sur le pont les hélicoptères qui avaient décollé. Face à la menace de tirs de défense aérienne sur ces hélicoptères, le navire américain s’est empressé d’accéder aux demandes des Iraniens.
Cet incident souligne l’impuissance totale des États-Unis dans la région.

source : Avia.pro
 
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