L’Iran choqué par des affaires d’empoisonnement d’écolières

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Bjorn
  • Date de début Date de début

Bjorn

Мир без Путина، زندگی، آزادی Слава Україні
Bladinaute averti

35 collégiennes ont respiré mardi des substances gazeuses inconnues dans leur école sise dans une ville de la province de Téhéran . Il ne s'agit pas d'un cas isolé.​

Ces intoxications collectives, qui ont fait grand bruit, ont débuté à la fin novembre lorsque les médias ont fait état de premiers cas d’empoisonnement par voies respiratoires de centaines de filles âgées d’environ 10 ans dans les écoles de la ville sainte de Qom (centre). Certaines d’entre elles ont été brièvement hospitalisées

Une vague de colère s'est répandue dans le pays, où des voix ont dénoncé le silence des autorités face au nombre croissant d’écoles touchées.
 
La mollahrchie a trouvé de quoi freiner la contestation qui ne faiblit pas.
En Iran on essaye de faire régner l'ordre par la terreur.
Il ne reste plus qu'à accuser la main de l'occident.
 
L’Iran a annoncé de premières arrestations dans l’enquête sur la série d'intoxications qui a affecté près de 5'000 écolières dans près de 250 écoles de filles.

Le vice-ministre de l’intérieur, Majid Mirahmadi, est apparu mardi 7 mars à la télévision d’Etat pour annoncer que « plusieurs personnes » avaient « été arrêtées dans cinq provinces » sur « la base des enquêtes menées par les services de renseignement ». Il n’a pas donné de détails sur leur identité, les circonstances de leur arrestation et leur présumée implication.

Est-ce que des iraniens auraient pu commettre ces attentats ?
Habituellement, lorsque quelque chose dérape en Iran, le gouvernement désigne des agents de l'étranger.
 
Retour
Haut