La condition féminine a toujours été un des aspects témoignant clairement du degré d’évolution d’une société. La civilisation préislamique conférait à la femme un statut équivalent à celui d’objet, mais l’avènement de l’Islam bouleversa les us et coutumes des Arabes du VIIème siècle.
De la pratique cultuelle aux relations commerciales, rien n’a été laissé au hasard. Chaque membre de la société musulmane joue un rôle spécifique ; notamment la femme qui, libérée du joug machiste, y occupe une place prépondérante. Les femmes ne furent en rien les instigatrices de ces principes émancipateurs, Dieu Seul en est l’Auteur : Il les révéla à un homme répondant au nom de Mouhammad , le sceau de Ses prophètes. Le Coran et la tradition prophétique deviennent ainsi les sources desquelles découlent les droits et les devoirs des femmes.
Du droit à l’humanité et à l’égalité dans la spiritualité
Jusqu’au Moyen-âge, la femme, en Occident, était considérée comme un être sans âme ; et plus tard une possession de son époux. Or, depuis quatorze siècles, en terre d’Islam, Dieu a déclaré que la femme est de la même essence que l’homme, elle est une âme à part entière : « Ô hommes ! Craignez votre Seigneur qui vous a créés d’un seul être et qui, ayant tiré de celui-ci son épouse, fit naître de ce couple tant d’êtres humains, hommes et femmes ! Craignez Dieu au nom duquel vous vous demandez mutuellement assistance ! Respectez les liens du sang. En vérité, Dieu vous observe en permanence. », s. 4 An-Nissâ’ (Les Femmes), v. 1.
Allâh a honoré l’être humain : « Certes, Nous avons honoré les fils d’Adam. Nous les avons transportés sur terre et sur mer, leur avons procuré d’agréables nourritures, et Nous les avons nettement préférés à plusieurs de Nos créatures. », s. 17 Al-Isrâ’ (Le Voyage nocturne), v. 70.
Il a également établi l’égalité spirituelle entre l’homme et la femme : en matière de dévotion à Dieu, les filles de Hawwâ’ (Eve) ont les mêmes devoirs et récompenses que leurs frères, les fils d’Adam : aucune limite ne restreint leur progression spirituelle.
Etant donné que l’homme et la femme proviennent d’une essence vitale commune et unique, ils sont égaux en humanité. Le Prophète s’est prononcé sur le sujet en disant : « Les femmes sont les sœurs des hommes », (rapporté par At-Tirmidhî). Il est donc inconcevable que les femmes incarnent par nature le mal, selon la prétention de certaines religions, sinon il en serait de même pour les hommes.
De la pratique cultuelle aux relations commerciales, rien n’a été laissé au hasard. Chaque membre de la société musulmane joue un rôle spécifique ; notamment la femme qui, libérée du joug machiste, y occupe une place prépondérante. Les femmes ne furent en rien les instigatrices de ces principes émancipateurs, Dieu Seul en est l’Auteur : Il les révéla à un homme répondant au nom de Mouhammad , le sceau de Ses prophètes. Le Coran et la tradition prophétique deviennent ainsi les sources desquelles découlent les droits et les devoirs des femmes.
Du droit à l’humanité et à l’égalité dans la spiritualité
Jusqu’au Moyen-âge, la femme, en Occident, était considérée comme un être sans âme ; et plus tard une possession de son époux. Or, depuis quatorze siècles, en terre d’Islam, Dieu a déclaré que la femme est de la même essence que l’homme, elle est une âme à part entière : « Ô hommes ! Craignez votre Seigneur qui vous a créés d’un seul être et qui, ayant tiré de celui-ci son épouse, fit naître de ce couple tant d’êtres humains, hommes et femmes ! Craignez Dieu au nom duquel vous vous demandez mutuellement assistance ! Respectez les liens du sang. En vérité, Dieu vous observe en permanence. », s. 4 An-Nissâ’ (Les Femmes), v. 1.
Allâh a honoré l’être humain : « Certes, Nous avons honoré les fils d’Adam. Nous les avons transportés sur terre et sur mer, leur avons procuré d’agréables nourritures, et Nous les avons nettement préférés à plusieurs de Nos créatures. », s. 17 Al-Isrâ’ (Le Voyage nocturne), v. 70.
Il a également établi l’égalité spirituelle entre l’homme et la femme : en matière de dévotion à Dieu, les filles de Hawwâ’ (Eve) ont les mêmes devoirs et récompenses que leurs frères, les fils d’Adam : aucune limite ne restreint leur progression spirituelle.
Etant donné que l’homme et la femme proviennent d’une essence vitale commune et unique, ils sont égaux en humanité. Le Prophète s’est prononcé sur le sujet en disant : « Les femmes sont les sœurs des hommes », (rapporté par At-Tirmidhî). Il est donc inconcevable que les femmes incarnent par nature le mal, selon la prétention de certaines religions, sinon il en serait de même pour les hommes.