L'iSSraelien et l'un des plus grands leaders de la RF, l'islamophobe bebert badinter se donne à 95 ans la mission divine de traduire Vlad en justice..

En 1994, la France instaure le « Visa Balladur » qui empêche la libre circulation des Comoriens dans l’ensemble de leur territoire. Ce visa est à l’origine d’un drame humain innommable. Plusieurs Comoriens trouveront la mort dans ce bras de mer qui sépare Mayotte des autres îles.

Depuis 94, la France considère comme « clandestins » les Comoriens des autres îles qui sont traqués, arrêtés et déportés dans la partie indépendante. Dont plusieurs enfants. Un déplacement forcé de population au regard du droit international. Le 25 juin 2020, la Cour européenne des droits de l’homme a même condamné la France pour la rétention administrative puis le « renvoi expéditif » vers les Comores de deux enfants de 3 et 5 ans entrés illégalement à Mayotte en 2013, constatant pas moins de sept violations de la Convention européenne. Cela ne s’est d’ailleurs jamais arrêté. Des centaines d’enfants sont déportés chaque année mais aussi des parents arrêtés, déportés, séparés de leurs enfants restés seuls à Mayotte.

En 2023, Gérard Darmanin, ministre de l’intérieur va organiser l’opération « Wuambushu » considérée comme la plus vaste opération de traque de « clandestins » pour les renvoyer vers les Comores. Une opération de déplacement forcé de population sous les tropiques. Là aussi, il y aura des enfants.

Les présidents français seront-ils poursuivi par la CPI ?

 
la pseudo déportation des enfants, c’est simplement que poutine leur a évité d’être pris dans les mailles des réseaux pédophiles occidentales
Le deux poids deux mesures . Lisez ci après
—par Samuel Ravier-Regnat
publié le 13 juin 2020 à 9h26
(mis à jour le 13 juin 2020 à 11h36)
«Les actes de la Cour pénale internationale constituent une attaque contre les droits du peuple américain et menacent d’empiéter sur notre souveraineté nationale». En un communiqué de presse virulent publié le 11 juin, la Maison blanche a annoncé des sanctions économiques à l’encontre de tout responsable de la Cour pénale internationale (CPI) qui poursuivrait des militaires américains, alors que l’institution sise à La Haye a ouvert au mois de mars une enquête concernant, entre autres, les crimes commis en Afghanistan par les forces américaines dans la guerre engagée en 2001. Spécialiste de justice pénale internationale et professeur à l’université Paris-II, Julian Fernandez détaille les enjeux de l’offensive inédite déclenchée par l’administration du président Donald Trump.””

Et j’ajoute qu’en plus des sanctions économiques et de circulation contre le président de ce tribunal et certains juges,le président américain a menace d’employer la force pour délivrer de la CPI, un americain qui serait arrêté et emprisonné ??????
 
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