L'Italie est décidée à sortir de la dépendance au gaz russe. Depuis le début de la guerre en Ukraine, le 24 février, le gouvernement italien agit comme s'il s'était réveillé d'un long sommeil. Ce lundi 11 avril, c'est le président du Conseil du gouvernement qui se rend en Algérie pour discuter du gaz avec les autorités du pays.
En effet, le président du Conseil Mario Draghi se serait rendu ce lundi à Alger. Objectif : Augmenter la quantité de gaz importée d'Algérie afin de réduire la dépendance de l'Italie au gaz russe. Le dirigeant italien aurait arraché une hausse de 50 % des quantités de gaz importées d'Algérie, selon l'agence britannique Reuters et certains médias français. Soit une augmentation d'environ 10 milliards de m³.
Avec cette hausse, l'Italie atteindra environ 30 milliards de m3 de gaz algérien transporté via le gazoduc TransMed, soit sa capacité maximale. C'est ce que Mario Draghi vient signer à Alger, à l'occasion de sa visite officielle effectuée en compagnie des ministres des Affaires étrangères et de la transition énergétique, ainsi que le patron de la principale compagnie pétrolière italienne ENI, Claudio Descalzi. L'objectif principal de l'action italienne en ce moment reste la diversification des sources d'approvisionnement en gaz pour sortir de la dépendance du gaz russe.
ObservAlgerie
En effet, le président du Conseil Mario Draghi se serait rendu ce lundi à Alger. Objectif : Augmenter la quantité de gaz importée d'Algérie afin de réduire la dépendance de l'Italie au gaz russe. Le dirigeant italien aurait arraché une hausse de 50 % des quantités de gaz importées d'Algérie, selon l'agence britannique Reuters et certains médias français. Soit une augmentation d'environ 10 milliards de m³.
Hausse de 50 % de la quantité de gaz importée d'Algérie
Avec cette hausse, l'Italie atteindra environ 30 milliards de m3 de gaz algérien transporté via le gazoduc TransMed, soit sa capacité maximale. C'est ce que Mario Draghi vient signer à Alger, à l'occasion de sa visite officielle effectuée en compagnie des ministres des Affaires étrangères et de la transition énergétique, ainsi que le patron de la principale compagnie pétrolière italienne ENI, Claudio Descalzi. L'objectif principal de l'action italienne en ce moment reste la diversification des sources d'approvisionnement en gaz pour sortir de la dépendance du gaz russe.
ObservAlgerie